Une romance imprévue - 69 . Cette deuxième vision m'a encore plus impressionné que la première. J'ai en particulier été "bluffé" par le fait de voir ce qui se passe chez mon interlocuteur au téléphone. J'ai été assez surpris de voir mon ami Philippe, un peu géné aussi de le voir nu, en plus avec un thermomètre dans le cul. J'espère qu'il ne le saura jamais, même si je lui en veux un peu d'être allé draguer ma copine au moment où j'étais sensé décoller pour LA . Philippe est peut-être mon meilleur ami, mais je ne l'ai jamais vu nu et s'il m'a souvent raconté par le menu ses conquêtes féminines, je ne lui ai jamais parlé de mon goût pour les thermomètres, c'est mon jardin secret.Je viens par ailleurs d'apprendre que Pénélope ne veux plus de moi, par respect pour ma relation avec Chantal si j'ai bien compris. J'ai également découvert que quelque chose, quelque chose d'assez chaud, s'est passée (ou va se passer) entre Pénélope et moi, entre nos visites médicales respectives. Il semble que la jeune Pénélope, traumatisée par sa visite médicale, se soit jetée à mon cou, dans la chambre d'une de ses copines en plus. Je dois avouer que je suis assez excité à l'idée de "me faire" une petite "sciences po", même si cela signifiera(it) tromper Chantal.Pour l'instant, la troisième vision commence et je me retrouve assis au bord d'une piscine somptueuse dans la chaleur moite d'une soirée d'été face à trois filles superbes, je suppose que je suis à Los Angeles avec les membres de ma famille d'accueil. La piscine est immense, en comparaison celle de la famille de Chantal en Alsace parait ridicule. En fait, si d'un coté, le bassin se présente comme une piscine normale, l'autre coté, adossé à un immense rocher reproduit une crique avec une plage de sable fin et une cascade qui se déverse avec régularité dans l'eau. Des jeux de lumière complétent le tableau. Trois jeunes filles, les trois sœurs de ma famille d'accueil je présume,, sont présentes. Je réalise qu'elles ne portent que leurs minuscules slips de bikini et exhibent, a priori sans gêne leurs poitrines. les quelles semblent aussi bronzées que reste de leurs objectifs corps. Je croyais que les Américaines étaient plus prudes que les Européennes et gardaient leurs soutien-gorge à la plage ou au bord des piscines. Les trois nanas se ressemblent beaucoup, elles ont toutes les trois des cheveux blonds très longs et, me semble-t-il , les mêmes yeux bleus, et je me dis que j'aurai du mal à les différencier. En les observant attentivement, je constate cependant que l'une est un peu maigre avec des petits seins en pointe, l'autre un peu forte avec des seins plus lourds et la troisième me semble remarquablement proportionnée avec une poitrine splendide. Elles sont toutes les trois très mignonnes. Je réalise que je suis moi-même en maillot de bain et me sens un peu géné d'exposer mon absence de muscles et ma maigreur à ces trois nanas superbes. Plus grave, j'ai l'impression que la vue de ces trois filles, en particulier de leurs jambes bien galbées et plus encore de leurs poitrines, me provoque un début d'érection que je n'arrive pas à contrôler La fille la plus mignonne prend la parole. Dans un français parfait, elle me rappelle qu'elle vient d'avoir son bac, avec mention précise-t-elle, au Lycée français de Los Angeles. Elle me dit que, puisqu'elle est celle qui parle le mieux le français, c'est elle qui s'occupera plus particulièrement de moi pendant mon séjour, même si ses deux sœurs et leurs parents comprennent plus ou moins le français. Elle me confirme que je serai considéré comme un membre de la famille pendant mon séjour et que je serai associé à toutes leurs activités."Justement, il y a un premier point dont je dois te parler , dit-elle avec un large sourire, demain, matin, ce sera la visite médicale du samedi et tu seras nu devant nous''.. Ahuri et peut-être perturbé par le "jet-lag", j'ai du mal à réaliser ce que dit la jeune Californienne. cette dernière précise: "tu as compris que Maman est médecin, même si elle n'exerce pas. Alors comme médecin, elle a mis en place ce qu'elle appelle la "visite médicale du samedi" et , une fois par semaine, elle nous examine, tous, les unes, ou les uns, devant les autresi.Tu as remarqué que c'est demain samedi et tu es invité à te joindre à nous. Ce sera à 9 heures, dans une salle spécialement prévue, on te montrera, Papa sera là aussi " Je ne suis pas sûr d'avoir bien entendu, mais je commence à paniquer. C'est bien ma chance, je me retrouve chez des fous qui s'amusent à se faire passer des visites médicales. Point positif, mon érection disparait. "Mais, votre mêre, qu'est-ce-qu'elle vous fait? et qu'est-ce-qu'elle va me faire, à moi?" demandé-je en essayant de cacher mon inquiétude. "Tu as l'air complétement paniqué, observe la jeune Américaine, Tu n'aime pas les visites médicales ?,...Ne t'inquiètpas. Notre mêre va juste nous peser, nous examiner rapidement, le coeur, la tension,etc, et puis à la fin, elle nous prend la température dans le cul". "It's no big deal" conclut-elle en anglais.Même si la perspective de voir mes trqmois hôtesses nues et même se faire prendre la température, n'est pas pour me déplaire, l'idée de leur offrir la réciproque de ma modeste part me fait froid dans le dos. Je panique complétement au moment où tout se brouille devant mes yeux. La vision s'interrompt, j'entends la voix de Solange, " Je pense que trois visions, c'est assez pour aujourd'hui" et je me retrouve dans le jardin de la famille Knescht. Je reprends lentement mes esprits, la troisième vision m'a quelque peu perturbé

.Une romance imprévue - 70Je dois avoir l'air complétement affolé quand j'émerge de cette troisième "vision" puisque Solange, l'air inquiète, me demande: "Ca s'est mal passé?". Je réponds d'une voix mal assurée: "C'est ce que j'ai vu pendant la troisième vision, quelque chose de terrible…." "L'avion ne s'est quand même pas écrasé ?" m'interroge la jeune fille, qui se méprend totalement sur la raison de mes angoisses. Je la rassure: "Non, ce n'est pas si grave, et tu vas encore te foutre de moi, comme Chantal dans des circonstances équivalentes…" "Mais non, m'assure Solange, dis moi vite…" J'explique ma vision: "Eh bien voila, je me suis retrouvé dans ma famille d'accueil en Californie au bord d'une piscine somptueuse avec les trois filles de la famille, toutes les trois superbes, et tout à coup, la bouche en cœur, la plus mignonne des trois, qui parle français comme toi et moi, m'annonce que le lendemain, leur mère, qui comme par hasard est médecin, nous examinera les uns devant les autres, moi y compris, à poil bien sûr, et elle m'a déjà précisé que l'examen se terminera avec un thermomètre dans le cul…..et tu sais que je déteste les visites médicales..." "Et c'est ça qui te met dans un état pareil, répond vivement Solange, Chantal a raison, tu as vraiment un problème,.." Malgré mon état, je relève que Chantal a utilisé exactement les mêmes mots hier quand je lui annoncé la visite médicale de demain après cette réunion à Paris. Après une hésitation, Solange poursuit: ".tu devrais voir le coté positif des choses, tu verras les trois filles à poil, et elles te verrons aussi, tout ca devrait renforcer vos relations entre vous pour ce séjour….et je suis sûr que les nanas seront encore plus excitées quand elles verront ton petit cul et ta jolie queue et elles auront encore plus envie de baiser avec toi…". Je me calme un peu . Solange reprend: "tu m'as fait peur, j'ai cru que tu allais m'annoncer une catastrophe, style tremblement de terre, ca peut arriver à LA, non…"Un ange passe, une nouvelle fois, j'ai été complétement ridicule avec ma phobie de tout ce qui est médical. Solange reprend: "D'ailleurs, tu sais, ce que tu as vu, dans tes différentes visions n'arrivera peut-être pas. Depuis mon retour d'Inde il y a quatre ans, j'ai fait ces expériences d'hypnose sur une centaine de personnes, famille, copains, copines, y compris mecs qui m'ont baisée. il n'y que la moitié des gens qui voient quelque chose, et que 5 à 10% qui ont de véritables visions comme toi. Et les visions qu'ils ont eu ne se sont pas forcément réalisées. C'est comme pour les rêves, les visions sont perturbées par tout ce que tu as dans ton cerveau à ce moment, et j'ai cru comprendre que les "visites médicales" sont un de tes grands sujets de préoccupation en ce moment, c'est peut-être pour ça que tu t'es imaginé que ta famille de Californie allait t'en imposer. Ca me parait d'ailleurs un peu bizarre comme histoire, je ne suis pas sûr qu'une famille qui s'amuserait ainsi avec ses petits hôtes étrangers n'aurait pas des ennuis avec l'organisateur du voyage et même avec la justice…"Après une nouvelle pause, Solange me remercie chaleureusement de m'être prêté à son expérience". "C'était vachement sympa Elle ne souhaite pas que je lui raconte mes trois visions, mais me demande avec insistance de lui faire part de ce qu'il sera advenu de ses prévisions. Voulant marquer que le sujet est clos, Solange se lève de sa chaise et se débarrasse de sa toge blanche. Elle est nue dessous et infiniment désirable à mes yeux. Ses petits seins et sa chatte parfaite me font bander comme un ane. Chantal est partie, comme annoncé pour voir une tante malade, nous sommes seuls dans le vaste jardin Solange fait le tour de la table et m'invite à me lever à mon tour. Elle se colle contre moi, approche son visage du mien pour m'embrasser. Je ne peux que répondre à son attente et nous nous roulons, pour la première fois, une pelle monumentale. C'est au moins aussi bien qu'avec Chantal. Nos mains parcourent nos corps et s'attardent sur les zones les plus érogènes. Si Solange est nue, ce qui facilite a priori mes caresses, la jeune femme ne se gêne pas pour glisser ses mains sous mes vêtements, d'abord sous mon Tshirt au bénéfice de mes tétons dressés, puis carrément sous mon jean, puis dans mon slip, pour caresser la peau de mes fesses et agripper ma bite et mes couilles..Après quelques instants de ces chaudes caresses, Solange se dégage de notre étreinte et, me tenant la main, m'entraine vers la maison de ses parents. De sa voix la plus chaude, la jeune esacienne m'annonce: "Je t'ai promis une "baise romantique dingue". C'cest peut-être un oxymore, mais tu ne vas pas être déçu…."Une romance imprévue - 71Le visage épanoui, Solange m'entraine à travers les couloirs de la maison, nous passons devant la chambre d'hôte où nous étions la nuit dernière et la jeune fille me conduit à l'étage supérieur dans une chambre d'une taille raisonnable. Solange ferme la porte et commente: "Je n'avais pas envie de revenir dans une pièce où ça ne s'est pas très bien passé hier soir, un peu par ma faute d'ailleurs, alors je t'ai amené dans ma chambre de jeune fille, ou d'étudiante si tu préfères. Tu excuseras le désordre" .Je suis impressionné par les piles de livres qui s'entassent, épais manuels de cours de médecine, mais aussi essais et romans purement littéraires. Solange me demande de m'assoir sur le seul fauteuil disponible et, restant elle-même debout, tient à me parler:"Avant qu'on baise, je veux te dire plusieurs choses; au départ, j'ai été un peu, un peu beaucoup comme on dit, choquée que Chantal décide pour moi que je devais baiser, tu préfère dire "faire l'amour" peut-être, avec toi et j'ai refusé tout net. Puis, quand je t'ai vu, tu m'as tout-de-suite plu, d'abord à cause de tes yeux, exactement de la même couleur que les miens, on l'a dit, mais aussi à cause de ta gentillesse. Bref, dès le diner avec mes parents, je suis tombée amoureuse de toi….Tu me diras que cela est un peu contradictoire avec cette idée idiote que j'ai eu de te faire croire que tu était malade….Je ne suis pas capable de te l'expliquer, c'est une idée que j'ai eu avant de te voir et je me suis trouvée maligne de la sortir à ma sœur après ce diner, justement. Bref, j'ai tout gâché, je me suis moqué de toi quand je t'ai pris la température, d'une manière humiliante en plus, et je comprendrais que tu me détestes...J'ai tellement honte, est ce que tu pourras un jour me pardonner?"*J'interviens au moment où je crains que Solange ne fonde en larmes: "Mais, bien sûr que je te pardonne, d'ailleurs Chantal, qui a marché à fond dans votre combine, me parait plus coupable, elle est plus agée que toi et elle est déjà docteur en médecine. Je te propose d'oublier toute cette histoire et je me souviendrai que tu m'as fais découvrir des choses fantastiques avec ta séance d'hypnose, c'était vraiment fascinant. "Solange semble visiblement soulagée. Elle souhaite cependant évoquer un autre point, le plus délicat: "Si on baise, et même si ca se passe bien, je pense que ce sera le cas, le ne veux absolument pas te prendre à Chantal. C'est elle qui t'a dragué, tu lui appartiens en quelque sorte, même si je suis plutôt contente si je ressemble plus qu'elle à ton idéal féminin, quelque chose entre Faye Dunaway et Catherine Deneuve.. Ce sera donc quelque chose d'exceptionnel aujourd'hui, qui pourra peut-être se renouveler si vous restez vraiment ensemble, je crois que Chantal m'aime assez pour cela, mais tu seras son mari, ou son "mec". Alors je veux que ce soit vraiment quelque chose de vachement super entre nous aujourd'hui, quel chose dont nous pourrons nous souvenir….d'accord ? ""Bien sûr que je suis d'accord" répondè-je. "Bien, fait Solange d'une voix chaude, pour ne pas carrément salope, alors déshabille toi". Je donne suite sans hésiter à la demander de Solange. Je me débarrasse rapidement de mes vêtements. La jeune fille s'est assise au bord de son lit. Je la rejoins et me tiens debout, face à elle comme hier quand elle prétendait me faire passer une visite médicale . Je bande comme un ane. Solange apprécie la fermeté de mon pénis. "il est encore plus dur qu'hier" note-t-elle avec amusement. Palpant mes testicules, la jeune fille propose: "Est-ce-que tu es d'accord pour qu'on commence par se prendre la température ? D'après Chantal, tu aimes ça". Un peu gêné d'évoquer ce type de détails, je donne mon accord. Solange indique qu'elle ne veut pas raviver les mauvais souvenirs de la nuit dernière en me prenant la température dans la même position et suggère que nous nous prenions la température sur les genoux l'un de l'autre, "si, en tant que mâle ,tu ne trouves pas cette position trop humiliante" . "On commence par toi" annonce Solange. Je me place sans trop de difficultés sur les genoux de la jeune Alsacienne. Mon pénis dur frotte déjà contre l'intérieur de la cuisse de la jeune fille. Solange a trouvé je ne sais où des thermomètres et me répète la consigne que Chantal m'a martelée: "Ne jamais partager un thermomètre". Imitant ce que sa sœur a fait de nombreuses fois, Solange me prend la montre qui est restée à mon poignet (je pense un instant à la Rolex que son père m'a offert ce matin) pour mesurer les cinq minutes sur lesquelles nous nous sommes accordés.La jeune femme m'écarte les fesses avec un mélange de douceur et de fermeté qui ne peux que me rappeler sa sœur et me glisse de la même manière le thermomètre dans mon petit cul. J'ai l"impression qu'on ne m'a jamais enfoncé un thermomètre aussi profondément dans mon intimité. La sensation est extraordinaire lorsque Solange joue avec l'instrument, le retirant légèrement pour mieux l'enfoncer à nouveau, à chaque fois un peu plus loin, ou le faisant tourner sur lui-même. Tout en jouant ainsi, la jeune fille commente: "Comme me l'a dit Chantal , tu as vraiment un beau cul, c'est dingue que tu sois resté puceau aussi longtemps. Tu sais que c'est la première chose que les filles regardent chez un mec. J'imagine qu'il y a dans Paris des centaines de nanas que ton cul a fait rêver et qui attendent que tu les abordes". Après cinq minutes, alors que j'ai le sentiment d'être au bord de la jouissance, Solange retire le thermomètre, toujours avec fermeté et délicatesse. Elle annonce une température normale de 37,4, et nous échangeons nos places.Une romance imprévue - 72Nous échangeons nos places pour cette prise de température. Avant de se mettre à plat ventre sur mes genoux, Solange dépose un thermomètre avec un petit clip rouge sur la table de nuit et m'en tend un autre avec un clip bleu; "Celui-ci ira dans mon cul, annonce Solange, l'autre qui vient de mesurer ta température, je le pose là pour d'autres usages éventuels". Je conclus de tout cela que Solange envisage de recourir à ces instruments pour d'autres étapes de notre soirée et je m'en réjouis. Pour l'heure, je suis assez excité à l'idée de "thermomètrer" la blonde enfant. Hier, quand nous avons fait les photos, j'ai été passablement frustré que Chantal ne me laisse à aucun moment même toucher sa chère sœur.La pose de Solange, nue sur mes genoux, fait plus que me troubler Je lui caresse doucement ses petites fesses avant de lui mettre le thermomètre. J'ai déjà indiqué que, surtout par rapport à "ma" Chantal, Solange a des fesses minces, voire osseuses, ce qui navre la jeune fille. J'écarte donc les petites fesses avec toute la délicatesse dont je suis capable, mais aussi mon inexpérience dans ce domaine. La peau des fesses se révèle d'une douceur absolue. Le spectacle de la corolle de l'anus, mais aussi de la vulve parfaitement dessinée de la jeune fille contribue encore à mon émoi. Mais c'est le geste de glisser le thermomètre dans le petit cul de la jeune fille qui m'impressionne le plus. Solange se laisse faire, savourant l'excitation du moment. j'hésite à trop enfoncer le thermomètre dans les reins de la jeune fille, mais c'est elle qui m'encourage en termes crus: "Vas y. mets le moi bien au fond de mon cul". Pendant les cinq minutes que dure l'examen, je joue avec le thermomètre comme Solange vient de le faire avec moi. la jeune Alsacienne m'encourage: "tu fais ça si bien,...c'est dingue ce que Chantal t'a appris en une semaine." Elle profite de l'occasion pour me confirmer que les deux sœurs ont l'habitude de se prendre mutuellement la température en toutes occasions, sans rien y voir, m'assure-t-elle, de choquant ou de perversTout à coup, alors que le terme des cinq minutes approche, je sens le corps de Solange s'agiter sur mes genoux, alors que la jeune fille se met à sangloter bruyamment. La jeune fille revient sur la blague que sa sœur et elle m'ont faite. "C'était vraiment déguellasse de te faire ça…..tu ne pourras jamais nous pardonner, ..j'ai tellement honte…tout est de ma faute." Les cinq minutes sont passées et je retire le thermomètre, avec délicatesse, du moins j'espère. Solange a une température un peu élevée, 38,2; peut-être à cause de la crise de larmes qu'elle vient de faire. Une fois le thermomètre retiré, Solange semble se calmer, elle me laisse lui caresser doucement ses fesses, une sensation merveilleuse pour moi, mais la jeune Alsacienne se lance bientôt dans un discours quelque peu exalté: " je mérite une punition pour cette blague, non…..alors je viens d'avoir une idée. Tu vas me donner une fessée, une vraie fessée qui fera vraiment mal à mon cul de pauvre conasse…. en plus, je suis déjà en position pour, non….." Je suis surpris, pour ne pas dire plus, par la requête de la jeune Alsacienne. Cette dernière se fait plus insistante: " je t'en prie, donne moi une fessée, là, maintenant, tout de suite…"