Vues: 645 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 20

Une romance imprévue - 77 ► 80

Alors que je sens que je vais venir rapidement, Solange qui continue de fixer le rythme du va-et-vient de mon pénis dans son intimité, entre deux gémissements, pour ne pas dire râles, me donne quelques indications supplémentaires sur ce qui va se passer: "Au moment où ton sperme jaillira de ta jolie petite queue,... bon d'accord, là, elle est plutôt grosse et crois-moi que j'apprécie, d'ailleurs tu as dû remarquer, il y a quelques minutes, que tu m'as déjà donné un bel orgasme… donc à ce moment, si tu me regardes bien dans les yeux comme tu le fais maintenant, tu vas avoir droit à un orgasme spécial, un super-orgasme, à peu près dix fois plus fort que tous ceux que tu as pu connaitre jusqu'ici, en particulier dans ta relation avec notre chère Chantal ces derniers jours… Elle s'interrompt un instant, laissant échapper un râle particulièrement violent: "Cà, c'est le deuxième orgasme que tu me provoques aujourd'hui… " Interrompant ses mouvements, restant empalée sur ma queue, elle ajoute: "D'ailleurs, tu sais sans doute que l'orgasme féminin est huit ou neuf fois plus fort que celui des hommes, donc l'orgasme que tu vas avoir d'ici quelques minutes ou secondes, ne sera pas plus fort que ceux que tu nous as provoqué, à Chantal et moi… "

Ça y est, je jouis….je sens les jets successifs de ma semence qu'expulse avec vigueur mon pénis. Je fixe les yeux de Solange avec toute l'intensité que je suis capable de mobiliser. J'ai l'impression que Solange cligne des yeux avec une certaine ironie dans son regard. Et c'est là que, comme annoncé, quelque chose d'extraordinaire, d'indescriptible se produit…

Alors que la sœur de Chantal se dégage de mon pénis et s'assoit au bord du lit, toujours allongé sur le lit, J'ai la sensation d'un flash de lumière d'une intensité exceptionnelle, suivi d'un spasme qui provoque chez moi un tremblement de la tête aux pieds, qui dure un temps qui me parait très long, mais qui ne doit pas excéder quelques secondes. Dans le même temps, je commence par grelotter quelques instants de froid avant qu'une sorte de chaleur moite ne me fasse transpirer abondamment. Ce que je ressens ensuite correspond à ce que j'ai pu éprouver lors de mes baises avec Chantal, pour ne pas dire lors de mes masturbations de jeune homme solitaire. C'est "simplement" une question d'intensité. Tout est beaucoup plus fort. Une sensation de plénitude m'envahit. C'est vraiment extraordinaire. Je me sens vraiment heureux. Je suis infiniment reconnaissant à Solange de ce qu'elle m'a fait connaitre, mais je garde malgré tout la conviction que c'est Chantal la "femme de ma vie" même la formule peut apparaitre excessive.

Comme lors de mes orgasmes antérieurs, la phase d'euphorie est suivie d'une phase d'abattement, d'autant plus forte que la jouissance a été intense. Je ressens tout à coup une fatigue extrême. En même temps, soudain, je me sens mal, de plus en plus mal, j'ai du mal à respirer, ça ne va vraiment pas bien. Je veux crier, mais aucun son ne sort de ma bouche. Je ne vais quand même pas tomber dans les pommes…

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Je reprends conscience, mais me sens passablement vaseux. Je ne sais plus où je suis. J'ouvre les yeux et constate que les deux sœurs médecins sont "à mon chevet". Je vois le doux visage de Chantal penché sur moi alors qu'elle promène le disque froid de son stéthoscope sur ma poitrine pendant que Solange me prend la tension et que je perçois la pression du brassard sur mon bras. "Ah, il se réveille" constate Chantal. Poursuivant son auscultation, ma copine et néanmoins médecin poursuit: " Tu nous as fait une belle peur, Honey, tu t'es évanoui comme une pucelle au moment où je venais voir ce que vous deveniez, tous les deux..". Solange interrompt sa sœur: "Il a une tension vachement faible: 8-5" ." Ca s'appelle une chute de tension, c'est normal dans ce cas-là" réplique Chantal qui cesse à ce moment son auscultation et déclare: "Le cœur bat comme une horloge, peut-être un peu lentement, ce qui est inhabituel chez lui, , mais a priori rien de grave".

Posant sa main, qui me parait chaude, sur mon front, elle semble hésiter un instant sur la conduite à tenir: "On va quand même vérifier la "tuture cucul", je pense que tu n'auras pas d'objection, hein Honey" fait-elle de sa voix la plus chaude et avec un sourire sans ambiguïté. "Attends un instant, dis-je d'une voix qui ne doit pas être très vaillante, je ne me sens pas bien, j'ai très envie de vomir". Chantal m'aide à me lever, je constate qu'elle porte une jupe plissée et un chemisier blanc de bon ton, elle insiste pour m'accompagner jusqu'à la salle de bain, heureusement toute proche. J'ai la tête qui tourne et je vois des étoiles lorsque je me redresse. Chaque pas me semble difficile. A bout de souffle, soutenu par Chantal, j'atteins la salle de bain où je dégobille un volume impressionnant de vomi malodorant. Je me sens un peu mieux lorsque je regagne le lit de mes précédents exploits sexuels. Après m'avoir laissé quelques instants pour reprendre mes esprits, Chantal demande à sa sœur de lui donner un thermomètre et m'intime l'ordre de me mettre sur le ventre.

Je me sens de mieux en mieux alors que Chantal, avec sa délicatesse habituelle, m'écarte les fesses et m'enfonce un thermomètre au plus profond de mon rectum. Toujours cette sensation extraordinaire alors que ma copine ne se gêne pas pour insuffler de petits mouvements de va-et-viens au thermomètre pour mon plus grand plaisir, tout en me caressant mes petites fesses. Je me demande, un peu bêtement si je ne serais pas déjà en train de bander. " Tu sais, Honey, me dit-elle de sa voix la plus chaude, au risque de me répéter, je suis vraiment amoureuse de ton petit cul" Elle retire le thermomètre, j'attends son verdict. "C'est curieux, annonce-t-elle après quelques instants, tu as une température anormalement basse, 36,1" Il n'en faut pas plus pour affoler l'hypocondriaque que je suis D'une voix assourdie par la panique qui m'envahit, je demande: "C'est grave ? ". "Mais non" répond-elle d'un air qui me semble peu convaincu. "On va quand même revérifier" déclare Chantal après un instant d'hésitation. Se tournant vers Solange qui n'a rien perdu du spectacle de la prise de ma température, elle lui demande: "Tu peux me donner un autre thermomètre, soeurette"

Solange se tourne pour aller vers une table basse et montre ainsi à sa sœur le spectacle de ses fesses striées de rouge. Chantal s'exclame: "Mais qu'est ce que tu as fait à tes fesses ? Chantal énonce sans complexe la vérité: "J'ai demandé à Honey de me donner une fessée pour me punir pour la blague de l'appendicite…..D'abord, il ne voulait pas, mais j'ai insisté….Ca partira très vite, ça ne fait pas très mal…" Chantal déclare, tout en souriant d'un air malicieux: "Vous êtes vraiment impossibles, les jeunes, on ne peux pas vous laisser seuls", mais elle ajoute: " Mais, tu me donnes des idées, soeurette,.... je veux ma fessée moi aussi,.... avant que tu partes aux States, hein Honey!".

Pour la seconde fois en quelques minutes, Chantal me prend la température selon le même protocole que précédemment. Le résultat est le même, pour ne pas dire pire: 36,0. "Tout ça n'est pas très grave, conclut Chantal, je pense que ton évanouissement est dû à l'ensemble des émotions, pas seulement sexuelles, je pense à la séance d'hypnose, que nous t'avons infligées depuis hier soir….en plus, tu n'as pas beaucoup dormi la nuit dernière….et, depuis une semaine, tu as déjà eu quelques journées chargées…. pour la température, tu m'avais plutôt habituée à des températures trop élevées, je pense qu'elle va remonter très vite"

Elle propose: "Tu vas te reposer, pendant que les autres dineront. Comme tu viens de dégobiller, je pense qu'il vaut mieux que tu ne manges pas. Après, on reprendra le chemin de Paris, mais désolé, c'est moi qui conduirai…" Elle indique par ailleurs qu'elle veut rester avec moi, par mesure de sécurité, pour ne pas me laisser seul, pendant les agapes familiales. Je proteste avec une vigueur qui m'étonne, compte tenu de mon état: "Tu ne vas rester à me regarder dormir, au lieu d'être avec ta famille.". "Et si moi, je veux rester avec toi" décrète-t-elle avec fermeté. Solange quitte la pièce et nous laisse. Chantal me caresse doucement les tétons en m'assurant de son amour. Son dévouement à mon égard me touche profondèment. Je m'endors rapidement.

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Plus tard, Chantal me réveille avec sa délicatesse habituelle. Elle me signale qu'il se fait tard et que nous devons nous préparer pour notre retour à Paris. Cependant, elle tient à m'examiner à nouveau pour s'assurer que je suis bien remis de ce malaise vagal que j'ai eu tout à l'heure. Je suis très ému et gêné que Chantal soit restée à me regarder dormir au lieu de diner avec ses parents et je me permets de le lui dire: "Ca ne t'a pas trop ennuyé de me regarder dormir...c'est tellement gentil de ta part". "Mais non, répond Chantal avec son sourire le plus angélique, j'adore te voir dormir, j'ai l'impression que je fais l'amour avec toi quand je te regarde" Après ces paroles qui me semblent un peu excessives, elle chausse son stethoscope et commence à promener le disque froid de son instrument en différents points de ma poitrine. Son examen est rapide et semble la satisfaire: "Ton cœur bat comme une horloge, tu es a priori en pleine forme, Honey" dit-elle en glissant le brassard de son tensiomètre. Je perçois la pression du brassard sur mon bras, Chantal annonce avec satisfaction: 11-6.

Ma doctoresse préférée veut bien sûr vérifier également ma température. Puisque je me sens manifestement mieux, elle propose que nous donnions à la chose un aspect érotique, ou du moins ludique, en me la prenant sur ses genoux Se disant, elle retrousse au maximum sa jupe pour m'accueillir dans les conditions les plus confortables. Et lorsque je me place en équilibre sur ses genoux, en fait sur ses cuisses charnues, elle constate que ma queue est pour le moins en voie d'érection, et le contact entre ma bite et l'intérieur de la cuisse de la jeune fille est déjà plus que troublant pour nous deux. Chantal glisse la thermomètre au plus profond de mon rectum. Accentuée par le pression de mon pénis contre la cuisse de Chantal, la sensation est extraordinaire et je suis rapidement au bord de la jouissance. Selon son habitude, Chantal joue avec le thermomètre auquel elle insuffle des mouvements de moins en moins subtils de va-et-viens qui augmentent encore mon trouble. De manière un peu surprenante, alors qu'elle me caresse doucement les fesses, la jeune femme me fait une véritable déclaration d'amour; "Tu sais, je t'aime vraiment très fort…Je crois que c'est vraiment sérieux entre nous… Je n'ai jamais ressenti cela" Au terme de cette déclaration, elle fond en larmes au moment où elle retire le thermomètre; Entre deux sanglots, elle annonce:" En plus, ta température est presque revenue à la normale.Tu as 36,8"....Je ne peux répondre à la déclaration de Chantal qu'en l'assurant de mon amour réciproque, et de manière moins romantique en accentuant la pression de ma queue tendue contre la cuisse de ma copine.

Alors que je suis encore sur les genoux de ma copine, la porte de la chambre s'ouvre et Solange, qui porte un jean et un Tshirt qui mettent en valeur son corps mince, se présente devant nous. L'air grave, elle annonce: "Il faut que je vous parle,...."

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Ayant annoncé qu'elle avait quelque chose à nous dire, Solange réalise seulement après quelques instants qu'elle nous a surpris dans une situation relativement intime, moi nu à plat ventre sur les genoux de Chantal, cette dernière sanglotant tout en me caressant, peut-être inconsciemment, les fesses. Se méprenant sans doute sur la nature de cette situation, la jeune fille craint de nous avoir dérangés et s'excuse platement: "Pardon de vous importuner, ..je continue de tout mal faire,....je voulais vous voir avant votre départ,....je peux revenir dans cinq minutes". Chantal interpelle sa sœur et l'invite à entrer: "Ce que tu vois n'est pas du tout ce que tu peux imaginer,..je pleure parce que je suis heureuse, très heureuse, et je te rappelle que c'est nous qui occupons ta chambre. alors, entre et dis nous ce que tu as de si important à nous dire" Pour ma part, pendant que Solange entre timidement dans sa propre chambre, je me lève de ma position quelque peu ambigüe sur les genoux de Chantal et m'efforce bêtement de cacher ma queue, encore tendue, dont les deux sœurs ont largement profité pendant tout le week-end.

Plantée face à Chantal, Solange prend la parole d'une voie faible; "Tout est encore de ma faute,....je n'aurais jamais dû proposer à Honey de lui donner un super-orgasme,...en fait, depuis mon retour d'Inde, j'ai fait çà avec cinq copains, enfin petits copains,...et deux fois, le copain est tombé dans les pommes, toujours sans gravité heureusement...et vous savez quoi, les deux copains en question avaient les yeux bleus, les autres non,....j'aurais dû au moins vous prévenir et surtout vous le dire quand Honey s'est évanoui….A cause de moi, vous vous êtes inquiétés…. Je vous demande pardon".

Un peu brutalement, Chantal lui rétorque: "Et alors, tu veux une nouvelle fessée ?" Solange reste un instant sans réagir, puis éclate en sanglots. Chantal s'excuse de sa réaction brutale et prend sa jeune sœur dans ses bras. On pleure décidément beaucoup dans notre histoire d'amour. Debout au milieu de la pièce, je reste en dehors des explications entre les deux nanas avec un mélange de soulagement et de dépit. Je suis un peu jaloux de la complicité entre les deux sœurs. Chantal et Solange essuient leurs larmes et se calment. Solange reprend sa position debout face à sa sœur et me gratifie au passage d'un bisou pas si chaste et d'une caresse rapide mais sans ambigüité à ma queue.

Chantal, qui n'a pas vu ou a fait semblant de ne pas voir le dernier mouvement de sa jeune sœur, résume la situation: "Bon, Solange, tout ça n'est pas si grave, mais tu devrais éviter de renouveler tes "expériences", imagine qu'un pauvre garçon, malade du cœur, ou même pas d'ailleurs, te claque entre les doigts. Là, ce que tu me dis me rassure pour Honey, et devrait le rassurer lui-même puisque tu sais qu'il a un problème avec son corps et tout ce qui est médical" Ma copine regarde alors l'heure à sa montre et juge qu'il est largement temps que nous nous mettions en route. Je m'habille rapidement et récupère mes affaires dans la chambre d'hôtes qui nous était attribuée. Les adieux aux parents sont expédiés, faute de temps. Je m'installe avec une pointe de regret à la place du passager de la Mustang. Chantal fait vrombir le moteur et me promet un retour en mode "24 heures du Mans" (note de l'auteur: nous sommes en 1972 , date à laquelle il n'y a pas encore de limitations de vitesse sur les autoroutes).

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