Vues: 564 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2020.11.17

Une romance imprévue

Chapitre 22

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Nous nous étreignons avec fougue. alors que nous nous roulons une pelle monumentale, nos mains retrouvent les repères de nos caresses. Mon pénis dur frotte contre le pubis de ma copine. Tout en me caressant de manière experte et audacieuse, Chantal me fait des déclarations enflammées, alors que, un peu plus tôt dans la soirée, elle parlait de me larguer, ... pour mon bien, Il est vrai. "Tu sais, je t'aime vraiment très fort,.... je suis triste que tu partes en Californie, mais je veux que tu y ailles pour toi, et après, ...si tu ne m'as pas oublié, hein Honey,...je veux qu'on trouve le moyen de continuer à être ensemble". Pour ma part, je rappelle à ma girlfriend que, moi, j'ai toujours été persuadé que notre "histoire" devait durer plus de dix jours et j'aurais été prêt à renoncer à mon voyage. "D'ailleurs, je serai toujours prêt à le faire si tu me le demandes" assuré-je ma copine qui proteste: "On en a assez parlé… tu iras en Californie, un point c'est tout,...Hein Honey…" Alors que nous avons ces conversations sérieuses, nous continuons de nous caresser. je glisse un doigt dans le rectum de ma copine et je lui murmure à l'oreille: "J'aurais adoré te prendre la "tuture-cucul" puisque tu me l'as prise à moi…". Chantal répond: " Si je t'ai pris la température, croie-moi ou pas, c'était pour des raisons médicales". Elle ajoute, en étouffant un râle de satisfaction: " Et là, en ce moment, je croie que ton doigt remplace avantageusement tous les thermomètres,"

Le souffle court, Chantal se dégage de notre étreinte pour se coller contre l'aile de sa voiture, m'offrant une vue parfaite de son cul, m'invitant implicitement, puis de manière plus directe et d'une crudité assumée à honorer son "orifice garçonnier": "tu m'encules, oui ou merde". Personnellement, je veux prendre mon temps pour accomplir la chose. Placé derrière la jeune femme, je lui caresse, avec j'espère douceur, ses fesses et m'aventure de plus en plus précisément dans la raie des fesses pour investir sa corolle étroite. Chantal n'est pas insensible à mes caresses: "tu fais ça bien..., c'est si bon" mais insiste pour que ma queue remplace le plus rapidement passible mes mains: " Viens,....Je veux ta queue dans mon cul,....Qu'est ce que tu attends". Voulant faire valoir mes talents, je m'accroupis avec difficulté derrière ma copine pour poursuivre mes caresses avec ma bouche et ma langue. Mais, alors que j'entame ce que je crois être un anulingus de qualité, Chantal proteste véhémentement: "Mais, qu'estce que tu fais,,...tu es fou,...je ne suis pas une chienne,... C'est ta queue, ta bite que je veux…." Difficile d'être plus explicite. Je me remets debout et place mon pubis au niveau des fesses de ma copine. j'aide ma queue à se glisser dans la raie des fesses de la jeune femme; Puis je donne un formidable coup de rein qui force le sphincter et permet à ma queue d'invertir le rectum de Chantal; Cette derrière gémit, puis hurle au moment de la pénétration. Elle tremble de tout son corps alors que j'entame mes mouvements de va-et-viens. Ma queue est entrée, la sensation du fourreau de son rectum qui emprisonne ma queue est extraordinaire, douloureuse même, mais je suis conscient que c'est Chantal qui souffre véritablement. Elle le dit d'ailleurs: "tu sais,....tu me fais mal, très mal, mais en même temps c'est si bon,.... continue,....encule-moi,....je t'aime tant" Un peu ennuyé de faire souffrir ainsi ma copine mais mû par l'instinct, je poursuis mes mouvements de va-et-viens en elle. Dans le même temps, j'ai agrippé sous son buste les seins fermes et durs de Chantal. Soudain, je réalise que je jouis et que ma semence se déverse dans l'intimité de ma copine. Elle a, à ce moment une sorte de spasme et tout son corps se crispe. Alors que je m'effondre sur elle, Chantal me dit: "c'était vraiment bien, Honey….je crois que tu n'as plus rien à apprendre"

Alors que je reprends lentement mes esprits, tout à coup, je réalise que mon visage se trouve pris dans le faisceau d'une lampe-torche. Dans le même temps, une voix sonore se fait entendre: "Police nationale, vos papiers".

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La torche électrique bascule rapidement et éblouit le visage de Chantal, qui pousse un cri de surprise, puis, réalisant ce qui se passe, se met à sangloter bruyamment en se plaquant contre la tôle de la voiture. Petit étudiant (trop?) sage, c'est la première fois que j'ai affaire à la police et je panique complétement. Mes jambes sont prises du même tremblement irésistible que j'éprouve lorsque je passe une visite médicale, alors que je me dégage de ma copine, ma queue flasque glissant de la raie des fesses de Chantal, exposant le superbe fessier de la jeune femme à la vue des deux pandores. Je me tiens, face à ceux-ci, mes mains cachant ce qui peut persister de ma virilité dans une telle circonstance.

Je serais presque tenté de rigoler tant le duo de policiers me fait penser à Laurel et Hardy, mais je n'ai vraiment pas le cœur à rire. Est-ce parce que nous devons avoir l'air tous les deux très jeunes et complétement paniqués, ou à cause des pleurs de Chantal, ou bien sont-ils "émus" par le beau cul de ma copine, le fait est que, après leur entrée en matière quelque peu brutale, les policiers semblent vouloir se montrer plus accommodants. L'un des policiers, s'exprimant avec un accent méridional à couper au couteau, s'adresse à nous: "Calmez-vous, les enfants, ce n'est pas si grave, on ne va pas vous mettre en tôle,...Rhabillez-vous rapidement , prenez vos papiers et ceux du véhicule et retrouvez nous dans l'estafette".

Je réalise alors qu'une estafette de la police, vers laquelle se dirigent les deux flics, est garée à une vingtaine de mètres de la Mustang. Je me dis que nous ne les avons pas entendu arriver et qu'il n'est pas impossIble qu'ils se soient rincé l'œil avant d'intervenir. Les sanglots de Chantal semblent s'apaiser, elle se redresse à son tour et ouvre la porte de la bagnole. Nous nous rhabillons rapidement. De nouveau présentables, Chantal insiste pour que nous marchions main dans la main jusqu'au véhicule des flics. Durant le bref trajet, elle me murmure doucement et avec tendresse; "tu sais, je t'aime très fort. tout ça n'est pas grave"

Nous entrons par la porte arrière du véhicule de la police et nous retrouvons dans une sorte de bureau. Là, on nous fait assoir sans brutalité, mais aussi sans amabilité particulière;; Les deux flics détaillent nos papiers et ceux de la voiture. C'est celle-ci qui semble particulièrement les intéresser; Chantal doit leur expliquer que la Mustang est un cadeau de son oncle qui est arrivée il y a trois ans par le port d'Anvers avec des plaques américaines avant d'être immatriculée en France après être passée aux "mines" et avoir subi quelques aménagements. Ils nous demandent ce que nous faisions sur ce parking, notre point de départ, notre destination. Finalement, les policiers nous annoncent que nous sommes coupables d' "attentat à la pudeur sur la voie publique".et devons acquitter une amende de 1200 Francs, chacun. La somme me parait énorme. Chantal me fait un signe d'apaisement et sort son chéquier de son sac-besace. Elle doit rédiger deux chèques séparés pour régler les deux amendes.

Le policier qui n'a pas ouvert la bouche jusqu'ici conclut l'entretien: "En fait, si on vous colle une amende, c'est surtout pour que vous vous en souveniez et ne recommenciez pas….c'est très dangereux de s'arrêter la nuit sur un parking désert,...Il y a deux jours, un jeune couple de Danois s'est arrêté au même endroit que vous, une bande de voyous les a attaqué, les a roué de coups et les a violé tous les deux, le garçon comme la fille, ils sont encore en réa à l'hôpital le plus proche". Nous regagnons notre voiture, un peu assommés par l'incident et par ce que l'on vient de nous raconter. Arrivés à la voiture, Chantal me dit: "Je ne sais pas pour toi, mais moi, je me sens vraiment pas en état de conduire,...alors, si tu te sens assez bien, je te laisse avec plaisir le volant"; Même si je ne me sens moi-même pas spécialement en forme, je veux jouer au "mec" et je m'installe, avec tout de même une certaine satisfaction, au volant de la bagnole de ma copine.

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Je m'efforce de me concentrer sur la conduite de la Mustang, qui avale les kilomètres en direction de Paris, mais mon esprit est largement occupé par ce qui vient de nous arriver sur un parking sordide de l'autoroute. Je n'aime pas l'idée que les deux flics nous ont vraisemblablement observé en train de faire l'amour avant d'intervenir. Chantal confirme qu'elle est également perturbée par cet incident puisqu'elle prend la parole: "Allez, Honey, tout ça n'est pas si grave, même si, encore une fois, tout est de ma faute,....Tu te doutes que, pour moi, l'amende, c'est "peanuts"...Et si les deux connards de flics ont vu ta jolie queue défoncer mon gros cul, si ça peut les exciter, très bien,....Je te propose qu'on oublie tout ça et pour changer de sujet, si tu pouvais nous raconter ta "baise romantique" avec ma chère petite sœur.".

Je réponds à Chantal: "Je t'ai déjà dit que j'avais l'impression de te tromper. Je me sens très gêné pour en parler". "C'était si bien que ça? " fait mine de m'interroger la jeune femme, " Mieux qu'avec mo ? i". Je m'enferre dans mes réponses: "je ne veux pas dire ça, voyons…" Chantal rigole maintenant franchement: "Je vois que j'ai encore du travail pour te décoincer, hein, mon petit Honey…" Après une pause, ma copine propose: "Si ca te gêne vraiment, raconte moi plutôt les visions que tu as eu pendant ta séance d'hypnose". Elle prévient cependant: "Je dois te dire que je suis très sceptique sur ces histoires de visions,....Juste à son retour d'Inde, Solange a voulu essayer avec moi, j'ai vu des choses, mais rien ne s'est réalisé."

Peut-être soulagé de ne plus parler de ma baise avec Solange, je donne à ma copine un compte-rendu "tronqué" de mes visions. Je décide de ne pas parler à ce stade du retard de vingt-quatre heures de l'avion, qui amènerait Chantal à me rejoindre au Hilton d'Orly, ni de mon copain Philippe que j'ai vu avec un thermomètre dans le cul dans le cabinet de la jeune femme, mais j'indique que ma première vision portait sur ma visite médicale de demain, qui me fait si peur. Ma copine connait Marina Vlady et comprend que je ne suis pas insensible au charme de l'actrice. "Je me doute que tu préfères ça à un vieux schnock vaguement pédophile ou un jeune mec viril troublé par ton petit cul. Chantal rigole quand je lui dit que, selon la vision, la doctoresse juge que je suis "bien élevé" parce que je ne bande pas devant elle. " On verra demain si tout cela se réalise" conclut Chantal sur ce point. Mais elle ajoute: "Pour ta visite médicale de demain, prévue à 14.00 je crois, je propose que tu viennes à mon cabinet demain matin à 10:00 pour qu'on se fasse une petite répétition générale. Normalement, le lundi, je commence à 14:00 avec les consultations, mais demain j'ouvrirai spécialement à 10:00 et là, gare à tes fesses,...petit Honey" . Je tente de protester: "Mais enfin , Chantal, tu sais bien que je déteste les visites médicales, pourquoi tu veux faire ça?" " Justement, C'est pour ton bien" déclare ma copine, retrouvant son coté "bossy".

Je révèle ensuite à Chantal ce que la troisième vision m'a dévoilé. La mêre de ma famille d'accueil en Californie, elle-même médecin, aurait l'intention de ma faire participer avec ses trois filles à la visite médicale qu'elle organise chaque samedi. Je précise que cette visite, où les participants seraient intégralement nus les uns devant les autres, se terminerait par une prise de température rectale. Chantal réagit " j'adore l'idée, cela te ferait le plus grand bien, mais je pense que tu "vision" a été provoquée par ton obsession des visites médicales et que, là, tu délires complétement...J'imagine mal qu'une famille d'accueil puisse organiser ce genre de choses sans avoir des ennuis avec les organisateurs du voyage, ou même la justice". Je n'ose insister sur mon angoisse face à cette perspective, mais j'ai toujours cette impression que personne, et surtout pas Chantal, ne me comprend.

Un ange passe. Soudain Chantal reprend la parole: "Si nous deux, c'est vraiment sérieux, et si en septembre, on prendra des dispositions pour que ça continue pour nous, il y a une chose que je veux faire, voir tes parents" Même si cette demande de Chantal peut paraitre logique, puisque nous rentrons de chez ses parents à elle, je me sens pris de cours et je freine un peu tardivement, et donc brutalement, pour éviter un "chauffeur du dimanche" qui double un camion à tout juste 90 kilomètres/heure.

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Chantal réagit vivement à ma brève perte de contrôle de la Mustang: "Hé, Honey, fais attention, ...Est ce que ça te dérange tellement de me présenter à tes parents ?" La jeune femme poursuit dans l'ironie: " Est-ce-que c'est parce que je suis trop vieille ou peut-être parce que je suis juive? "Mais non" je réponds, tout en réfléchissant à la situation. Chantal poursuit: "Si je ne me trompe, tes parents ne savent même pas que j'existe, pas vrai?" Je corrige: "Ce n'est pas vrai,...c'est ma mère qui t'a appelé au téléphone pour prendre rendez-vous pour moi, et quand j'ai dit à mes parents que j'allais te voir pour mes coups de soleil,, ma mère a insisté pour que je t'invite à prendre un café", Je m'abstiens de dire à Chantal que j'ai alors répondu vivement à ma mère que si j'invitais la jeune femme à prendre un café, au moment où elle me prendrait la température, elle serait capable de me donner une fessée"

" Je me suis mal exprimé, réplique Chantal, je sais que ta mère est au courant que je suis la remplaçante du Docteur Blom, mais tes parents ne savent pas qu'on est ensemble, qu'on baise, si tu préfères". La jeune femme précise sa pensée: "Je veux que tes parents sachent qu'il y a quelque chose entre nous, je pense qu'ils apprécieront si on leur dit, que, comme notre histoire n'a qu'une semaine, nous considérons tous les deux, que ton voyage sera une occasion pour nous deux de réfléchir et de nous assurer que notre relation est vraiment durable".

Je ne peux qu'être d'accord avec ce que Chantal vient d'exprimer. Je me dis que j'aurais peut-être dû renoncer à ce voyage, mais je me suis soumis à l'avis de Chantal. En fait, j'ai un peu peur, très peur en fait, de la réaction de mes parents. Ils ne m'ont jamais vu avec une fille et me considèrent toujours comme un petit garçon Je pense qu'ils considéreront que je me suis laissé draguer par Chantal. Ils jugeront sans doute que notre relation, qui ne dure que depuis une semaine, n'est pas forcément sérieuse. j'espère que je pourrais compter sur le soutien de ma mère, qui trouvera dans notre relation la réalisation de son rêve, que je me trouve une copine médecin. L'ironie de cette situation est que je me serais toujours opposé avec véhémence à cette proposition.

Chantal annonce d'un ton ferme: "Bon, tu pars jeudi, si j'ai bien compris. Je pense que mercredi soir, tes bagages seront prêts,...Je passerai vous voir vers 21:00, cela te laisse deux jours pour préparer les choses,...si tu es d'accord, bien sûr" Je ne peux pas ne pas être d'accord. Nous approchons de Paris. J'entends vaguement un clic qui semble indiquer que Chantal a détaché sa ceinture. Je réalise l'instant d'après que la main de Chantal se pose sur la jambe de mon jean, puis sur mon entre-jambes. Elle me peut que constater que je bande, et pas mal. " Whaouh, ne me dis pas que tu pourrais encore…." constate la jeune femme. "Tu permets que je vérifie" fait-elle en ouvrant largement mon jean et en dégageant mon sexe dur de mon slip. Chantal prend en main ma queue et commence à la manipuler fermement. Une sensation de plénitude m'envahit. Je réduis la vitesse de la Mustang Comme lors du voyage aller, Chantal rampe jusqu'à mon ventre et prend mon sexe dans sa bouche.

La jeune femme me suce avec avidité, mais aussi tendresse, et disons-le amour. La sensation est comme d'habitude extraordinaire. Je pense très fort à la visite médicale de demain pour retarder ma jouissance. Sans succès, Chantal est trop habile Je viens, trop vite, Chantal avale avec application ma semence. Alors que la Mustang entre dans Paris, Chantal réajuste sa ceinture et m'assure de son amour: "Je t'aime très fort, tu sais".

Comments

clyso Il ya 5 ans  
arthur Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
kytty Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans