Vues: 535 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 23

Une romance imprévue - 89 ► 92

Les derniers kilomètres sont un peu difficiles. La fatigue accumulée au cours de ce week-end et le dernier épisode par lequel Chantal m'a manifesté son amour font que je ne tiens littéralement plus debout. Pour sa part, ma copine roupille sans retenue sur son siège.

Il est deux heures du matin et je tombe de sommeil lorsque la Mustang s'arrête devant le pavillon de mes parents. Chantal me donne un chaste bisou et me rappelle sa "convocation" pour 10;00 à son cabinet avant de démarrer, à son habitude, sur les chapeaux de roue. Quand mes parents rentrent de Normandie le week-end, ils arrivent normalement vers minuit et je m'attends à devoir expliquer les raisons de mon absence du domicile familial où mes parents seraient arrivés. Aurais-je, pour une fois, de la chance ? , je pénètre dans le pavillon et manifestement, il n'y a personne, ni au rez-de-chausée, ni dans les chambres à l'étage. Je suppose que mes parents ont décidé, comme parfois, de rentrer demain matin. Fatigué par ce week-end finalement assez mouvementé, je me couche dans ma chambre de petit garçon sage et je m'endors rapidement. Deux heures plus tard, je suis réveillé par mes parents, qui m'expliquent brièvement qu'ils ont été retardés par un accrochage sans gravité. Malgré mon inquiétude concernant cette fameuse visite médicale prévue à 14:00, je me rendors sans trop de mal jusqu'au matin. Je me demande un peu où Chantal veux en venir avec son idée de "répétition générale". Lorsque nous avons joué à me faire passer des visites médicales, comme le soirée de samedi avec les deux sœurs, j'ai toujours su que je me trouvais dans une situation différente par rapport à un véritable examen..

A 09:45, je quitte donc la pavillon de mes parents pour le rendez-vous que Chantal m'a fixé à son cabinet, sans trop d'inquiétude à ce stade et même une certaine excitation à l'idée que ma copine va m'examiner et me thermomètrer, avec, je pense, sa douceur habituelle. J'arrive au cabinet du docteur Blom, où Chantal exerce son remplacement. La porte entre la salle d'attente et le cabinet proprement dit est grande ouverte et j'entends deux femmes qui parlent. Je m'attendais à "jouer" ma visite médicale de cette après-midi seul avec Chantal et je m'inquiête un peu de cette curieuse mise en scène. Je pénètre dans le cabinet et me trouve face à deux femmes, Chantal et une femme brune, carrure massive pas très féminine, cheveux courts, visage ingrat, portant une blouse blanche ouverte sur un jean et un Tshirt. Chantal me fait un large sourire et m'annonce: "Si je t'avais examiné moi-même, ça n'aurait pas été sérieux, alors là, j'ai demandé à ma copine Nathalie de te faire passer une visite sérieuse, comme elle le fait là où elle travaille,....Pour ton info, Nathalie est médecin militaire et examine les appelés dans un centre de sélection….". Je panique complétement et j'en veux plus qu'un peu à Chantal d'avoir organisé cette mascarade.

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Je me sens vraiment mal à l'aise face à cette initiative de Chantal et je suis tenté de prendre mes jambes à mon cou. Encore une fois, ma lâcheté est la plus forte et je reste. J'ai ce sentiment que Chantal ne me comprend vraiment pas et je me demande si c'est vraiment elle la femme de ma vie, malgré ses serments d'amour.. Pour l'heure, ma copine, appuyée à son bureau, invite Nathalie, la médecin militaire, a commencer sa visite. Cette dernière me dévisage avec un sourire ambigu et me demande : "Commence par te déshabiller".

Pendant que je retire mes vêtements, Nathalie m'interroge: "Et quel âge tu as ?" Je lui réponds: "vingt ans". La femme semble surprise: "Je t'aurais donné seize ans, dix-sept au maximum" Elle me pose une autre question: "Et quel sport tu pratiques ?"; Je réponds franchement, tout en retirant mon jean: "Je ne fais pas de sport, à part marcher dans Paris peut-être" La toubib est choquée: "Mais, c'est pas possible, tout le monde doit faire du sport…" Je "convoque" Chantal à mon secours et je déclare: "Il y a huit jours, Chantal m'a dit: "Si le sport, c'est pas ton truc…" La nana m'interrompt: "La médecine n'est pas une science exacte,.....Moi, je pense qu'il faut faire du sport…" dit-elle l'air butté.

Bombant inconsciemment le torse et étant sans doute encore plus ridicule vu mon gabarit, je me tiens maintenant en slip face à la femme. "enlève le slip aussi" ordonne Nathalie avant de me demader de lui communiquer mon poids et ma taille; "Un mètre quatre-vingts un, soixante deux kilos". Je suis maintenant nu, à trois mètres de la toubib, je fais mine de protéger de mes mains ma virilité, je me voie pas ce qu'il y aurait à protéger d'ailleurs, mon sexe est rabougri, minuscule, mais Nathalie m'ordonne: "les bras le long du corps, s'il te plait". On entendrait une mouche voler alors que la toubib détaille mon corps avec attention. Elle commente: "Tu as raison, Chantal, il est plutôt mignon, ton petit copain, même si d'après moi, il est un peu maigre et manque de muscles" Je me demande un peu ce que Chantal a pu raconter à sa collègue sur moi, lorsque j'entends cette dernière faire cet aveu qui me surprends un peu, ... quoique vue la nana en question: "Mais, tu sais que moi, je préfère les femmes" Presque amusé malgré les circonstances, je me demande un instant si Chantal et Nathalie…

La toubib fait deux pas et se retrouve juste devant moi, ses mains se pose sur mon corps et palpent ce qui devraient être mes muscles, notamment mes biceps, pour juger que ce n'est vraiment pas terrible de ce coté là. Le contact des mains de la toubib sur mon corps ne m'apporte pas de sensations particulières. D'une main, la nana soulève un instant mon pénis pour s'amuser à le laisser retomber. Ce geste me choque. Je me sens vraiment humilié par cette bonne femme et ses pratiques. Je crains de craquer, de me mettre à pleurer. La femme m'ordonne de me tourner. Soulagé de lui dissimuler ma virilité inexistante, je m'exécute. Je commence à penser que mon derrière ne doit pas être si mal, puisque après quelques antres nanas, la toubib semble tomber sous le charme de mon postérieur et j'entends Nathalie déclarer à sa copine Chantal: "Et tu as tout à fait raison, ce garçon a un adorable petit cul" Sur ce, la nana ne peut s'empêcher de me mettre la main aux fesses pour en apprécier la fermeté. Elle prend manifestement goût à la chose et me caresse les fesses de manière de plus en plus appuyée. Ses attouchements en règle de mon cul dure un long moment. Je me sens de plus en plus mal à l'aise. La femme met fin à son pelotage en me donnant une claque sonore sur mon postérieur. Puis, la toubib se détourne un instant pour sortir de son sac un stéthoscope et m'annonce qu'elle va maintenant m'ausculter.

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Nathalie est debout face à moi pour m'ausculter. Elle est presque aussi grande que moi. Le disque froid du stéthoscope se déplace sur ma poitrine pendant que la femme me donne ses instructions. Bien que le contact des mains et des doigts de la jeune femme ne m'apporte pas la sensation "érotique" qu'ont pu me procurer Chantal ou Solange quand elle m'ont ausculté, je me sens relativement serein face à cet examen puisque je sais que a priori, je n'ai rien. Cependant, cette chêre Nathalie me fait la même observation que les autres médecins qui m'ont examiné en estimant que mon cœur bat trop vite, "beaucoup trop vite" dit Nathalie, et en suggérant que l'on me fasse un électrocardiogramme dans un délai raisonnable. "Si on disait, quand tu rentreras de Californie", propose Chantal quand Nathalie évoque le sujet. Entendant ma copine qui semble donner raison à ce "médecin militaire" surgi en ne sait d'où, j'ai un peu l'impression d'une trahison et, mon hypocondrie aidant, je commence à m'inquiéter d'un point de vue médical Considérant qu'elle a suffisamment ausculté mon cœur, Nathalie m'invite à me retourner pour écouter mes poumons. Là encore, je me sens relativement confiant puisque tous ceux qui ont ausculté mes poumons ont jugé leur examen satisfaisant. Nathalie me recommande comme les autres médecins qui ont eu l'occasion d'écouter mes poumns de ne surtout pas commencer à fumer.

Nathalie met son stéthoscope en sautoir, prend possession d'un tabouret qui traine dans le cabinet et s'y installe. Elle m'invite à la rejoindre et à me placer debout devant elle assise. Je sais à quoi m'attendre et, à cette pensée,, je sens mon rythme cardiaque, déjà accéléré au moment de l'auscultation, battre la chamade. Avec ses gestes brutaux, dénués de toute sensibilité féminine, Nathalie se saisit de mon pénis, minuscule à ce moment, le fait sauter dans sa main, puis décalotte et recalotte plusieurs fois ma verge. Je me sens vraiment mal. Nathalie passe ensuite à mes testicules qu'elle fait rouler entre ses doigts, puis qu'elle malaxe avec énergie, me faisant vraiment très mal. Tout en me palpant les couilles, Nathalie se tourne vers Chantal avec un sourire égrillard: "Et tu me dis que ton petit copain baise bien….". Me faisant un clin d'œil, ma copine répond du tac au tac: "Je confirme" . Estimant son examen génital terminé, la toubib me demande d'aller m'allonger sur le lit d'examen du cabinet de Chantal.

Attendant que la toubib me rejoigne, la queue et les couilles endolories par les manipulations de la femme, priant pour que cette séance de tortures cesse, je me demande à quoi je dois encore m'attendre. En fait, j'ai rapidement droit à un examen, toujours aussi brutal et douloureux, de mon abdomen. j'ai une poussée d'angoisse quand la femme me palpe mon bas-ventre car je me souviens de la "blague" de Chantal et Solange, à peine trente-six heures plus tôt. Malgré un examen consciencieux, Nathalie ne trouve aucun motif d'inquiétude. Elle décide de passer au dernier élément de cette visite médicale, qui n'est pas celui qui m'indispose le moins. Nathalie tient en main un thermomètre rectal et m'indique qu'elle va me prendre la température. Nathalie me demande de rester allongé sur le dos et de ramener mes jambes sur ma poitrine. J'obéis et je sens bientôt le thermomètre qui se glisse dans mon rectum qu'il investit profondément. Encore une fois, la femme me fait mal, très mal; Elle a enfoncé son thermomètre plus loin qu'on ne m'a jamais mis ce type d'instrument. Pendant un temps qui me parait très long, d'une main, Nathalie maintient le thermomètre bien en place dans mon rectum, ne se gênant pas pour jouer avec, de l'autre, la femme manipule avec son évident manque de délicatesse ma queue et mes couilles largement exposés. En plus des douleurs que la nana m'inflige, je sais que c'est un sentiment ridicule, mais je me sens profondément humilié de me retrouver à vingt ans avec un thermomètre dans le cul comme un bébé. Je prends sur moi pour ne pas fondre en larmes.

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Alors que je commence à trouver le temps vraiment long, Nathalie, d'un geste sec, retire le thermomètre et fait mine de lire le résultat. Je ressens un véritable soulagement et me dit que mon calvaire devrait enfin se terminer. Je me trompe, hélas. La toubib marque sa surprise à la lecture du résultat de la prise de température et, sans indiquer le chiffre en question, décide: "C'est vraiment bizarre, on va vérifier ça" et, joignant le geste à la parole, me fait soulever les fesses, puis ramener les jambes sur la poitrine et me remet le thermomètre, toujours aussi profondément enfoncé. Je craque complétement et me laisse aller. J'éclate en sanglots. Chantal prend la parole pour m'engueuler: "Tu ne vas pas dire que ça fait mal quand même". Je suis désespéré, tant par les douleurs et l'humiliation du thermomètre que par la "trahison" de ma copine.

C'est alors que j'entends la sonnerie caractéristique de mon réveil et je réalise, avec un immense soulagement, que toute cette visite médicale par une doctoresse sadique n'était qu'un rêve et je me retrouve, en larmes, dans le lit de ma chambre dans le pavillon de mes parents. Je me prépare rapidement pour honorer mon rendez-vous à 10:00 au cabinet de Chantal.

J'arrive donc au cabinet de ma copine à l'heure prévue. Chantal, qui porte sa minirobe blanche que j'aime tant, semble m'attendre à la porte entre la salle d'attente et le cabinet. Ma copine me fait entrer dans la pièce, avec un sourire rayonnant. .La jeune femme se confond une nouvelle fois en excuses pour me dire: "Je suis désolée, je suis vraiment nulle, mon idée de faire une répétition générale de ta visite médicale de cet après-midi était complétement débile. Bien sûr qu'il valait mieux que tu te reposes. J'étais tentée de te téléphoner, mais je n'ai pas osé".

Au milieu du cabinet, la jeune femme se colle à moi. Sa bouche cherche la mienne et nous échangeons un baiser d'une sensualité profonde. Nos mains ne restent pas inactives. Les doigts de la jeune femme soulèvent mon Tshirt, puis ouvrent carrément mon jean pour se glisser dans mon slip et saisir ma queue, déjà dure. Je ne suis pas en reste, puisque mes mains, après s'être aventurées sous la robe de la jeune femme et avoir fait glisser la minuscule culotte de Cantal, agrippent les fesses charnues, nues, chaudes et si douces. Comme je l'ai déjà fait plusieurs fois avec Chantal en pareille circonstance, j'ai carrément mis un doigt dans le rectum de la jeune femme, qui manifestement apprécie. "Oh oui, Honey chéri, mets moi bien ton doigt dans mon cul, tu sais que j'aime ça".

Après cette étreinte sauvage, nous nous efforçons de nous calmer. Ma copine veut me parler; S'installant dans l'un des deux fauteuils qui font face au bureau du médecin, Chantal me désigne l'autre. Ellee propose que nous "jouions" malgré tout ce que devrait être la visite médicale de cet après-midi d'après ma "vision" que je ne lui encore que livrée dans les grandes lignes. Je ne peux qu'agréer à la proposition de ma copine, mais avant, je veux lui faire part du cauchemar que j'ai fait ce matin. Chantal est manifestement émue par ce que je lui raconte. Elle suggère que je lui raconte dans le détail mon rêve pendant qu'elle me prendra la température. J'accepte avec enthousiasme la proposition de ma copine.

Comments

kytty Il ya 5 ans  
arthur Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
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clyso Il ya 5 ans