Vues: 711 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 24

Une romance imprévue - 93 ► 96

Chantal fixe le programme de la "répétition générale" de ma visite médicale de cet après-midi à laquelle elle a décidé de me soumettre. Toujours un peu bossy, ma copine déclare: "Finalement, c'est une bonne idée de commencer par la "tuture-cucul". Et, si nous y prenons du plaisir, en pervers tordus que nous sommes, j'y vois au moins une justification médicale .Après ton évanouissement d'hier, ta température est descendue plutôt bas, elle commençait à remonter cette nuit, quand on a rencontré nos amis les flics sur ce parking, je voudrais bien voir où on en est…."

Elle interrompt son discours parce qu'une idée lui vient: "D'ailleurs Honey, toi le parfait hypocondriaque, est-ce-que tu n'aurais pas eu l'idée de vérifier ta température ce matin ? " J'avoue ne pas y avoir pensé. Chantal me dévisage en rigolant et me lance: "Tu as encore des progrès à faire pour rejoindre la communauté medfet, mon petit". Chantal reprend son exposé: "Après, on pourra reprendre le cours de ta vision et poursuivre notre répétition….D'ailleurs, dans ta vision, est ce que l'on a parlé de la tuture-cucul ?" . J'indique à ma copine que, si ma vision m'a permis de voir a priori nettement la femme qui m'examinerait cet après-midi, en fait, elle a commencé alors que la visite devait déjà être engagée et s'est terminée quand la doctoresse m'a demandé de me mettre sur le ventre pour la prise de température. Je n'ai donc vu que l'auscultation et l'examen génital "Parfait, cela ne devrait pas prendre trop de temps" décrète ma copine.

Après une pause, Chantal reprend la parole pour annoncer d'une vois soudain rauque: "Mais, avant, il y a une chose que je veux faire et tu peux deviner laquelle". Ce disant, elle se lève du fauteuil qu'elle occupait et en quelques instants, elle envoie balader ses chaussures basses, puis fait passer sa robe par sa tête, et enfin se débarrasse de son soutif et de sa culotte. Superbe dans sa nudité assumée devant moi qui suis resté passif sur mon siège, elle me dit de sa voix la plus chaude: "J'ai tellement envie de toi, on va commencer par baiser. Prend moi là, maintenant, tout de suite…."

Même si Chantal m'a habitué à ce genre de comportement, je suis un peu interloqué, mais ne peux que donner suite à la demande de ma copine. Je me lève et c'est elle qui m'arrache littéralement mes vêtements. Lorsque je suis nu, elle saisit ma verge, heureusement déjà bien dure, et m'amène face à elle, appuyée contre le lourd bureau du docteur. Elle place elle-même mon pénis à l'entrée de son vagin et m'invite à la pénétrer, sans préliminaires. Je ne peux que m'exécuter et me retrouve quasiment faire l'amour par surprise à ma copine. Malgré la brusquerie de la chose, je retrouve cependant rapidement les sensations extraordinaires de l'acte physique avec Chantal, mon unique amour, alors que ma queue tendue investie lentement, mais sûrement le fourreau magique de son intimité, puis entame ses mouvements de va-et-viens. Les mains de Chantal agrippent avec fermeté mes fesses . je lui pétrie ses seins gonflés avec vigueur. Les jambes de la jeune femme se sont nouées autour des miennes. De sa voix si sensuelle, elle me supplie de la "baiser" , de lui "faire mal", et multiplie les "c'est bon" et les "je t'aime". Faire l'amour à la femme que j'aime est extraordinaire, merveilleux, magique, indescriptible. Je me laisse aller à jouir rapidement, ce qui semble ne pas déranger Chantal, qui, pour sa part, éprouve manifestement un violent orgasme au moment où ma semence, en plusieurs jets successifs et quelques fractions de secondes, se répand en elle. Le souffle court, elle s'effondre dans le fauteuil qu'elle vient de quitter.

Nous reprenons nos esprits tous les deux, nus dans les fauteuils que nous occupions juste avant. Sa respiration reprenant son rythme normal, Chantal me dit de sa voix la plus sensuelle: "C'était pas mal, hein Honey,.... je pense que tu sais qu'en anglais, on appelle ça un "quicky". Elle ajoute, avec une pointe de regret dans sa voix: "D'un point de vue médical, je continue de faire connerie sur connerie, je pense que notre petite "gymnastique" risque de fausser le résultat de ta prise de température". "On s'en fout, hein Honey" reprend-elle après une pause avec son sourire angélique que j'aime tant, en m'invitant d'un geste explicite à venir me placer sur ses cuisses superbes pour ma prendre, comme prévu, la température sur ses genoux, alors qu'elle s'est avancée sur le bord du fauteuil de manière à m'accueillir de la manière la plus confortable; Comme je m'installe sur les genoux, en fait plutôt sur les cuisses charnues, de Chantal, cette dernière note: "Et je ne pense pas que, cette après-midi, ta Marina Vlady, si sympa soit-elle avec son patient, te prendra la "tuture-cucul" sur ses genoux.

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Je ressens à nouveau cette impression curieuse quand je me place sur les genoux de Chantal pour qu'elle me prenne la température, la sensation que le haut de mon corps flotte dans le vide, alors que mon bas-ventre apprécie la douceur extrême de la peau de la jeune femme au niveau de l'intérieur des cuisses, zone érogène par excellence. Alors que ma copine, avec sa constante douceur, m'écarte largement les fesses avant de glisser au plus profond de mon rectum son thermomètre, elle ne peut s'empêcher de rendre une nouvelle fois hommage à mon derrière. "Ton mignon petit cul me rend vraiment folle". "Et tes jolie petites fesses sont presque guéries de leur coup de soleil, … elles seront parfaites pour ta visite médicale de samedi prochain dans ta famille californienne, si tout cela arrive bel et bien". Jouant sans vergogne avec l'instrument médical qu'elle laisse aller et venir dans mon intimité comme s'il me faisait l'amour, Chantal veut néanmoins me mettre une novelle fois en garde: "Ne t'excite pas trop avec ta Marine Vlady qui te mettrait son thermomètre tout à l'heure, je t'ai dit que je n'ai jamais vu les prédictions de man chêre sœur se réaliser,....tu auras peut-être droit à un vieux schnock…." Satisfaite de l'insertion du thermomètre, Chantal précise, sans que je sache si elle est sincère ou si elle se moque (gentiment) de moi: "Je te le laisse dix minutes pour que tu ais le temps de me raconter ton vilain rêve, ou dois-je dire ton cauchemar, pauvre petit Honey".

Je fais donc le récit de mon rêve, n'épargnant pas les éléments sadiques et reprenant même les moments où j'ai eu l'impression que ma copine prenait le parti de sa folle collègue. Je me remets si bien dans l'ambiance de mon cauchemar que, arrivé à la fin de mon récit, au moment où l'abominable Nathalie me remet le thermomètre après l'avoir retiré, je pars dans une crise de sanglots, ceci juste au moment où Chantal me retire le thermomètre et annonce: "Je ne sais pas si c'est l'effet de ton cauchemar, ou ton inquiétude pour ce qui va se passer cette après-midi…ou bien si c'est parce qu'on vient de baiser,.... tu as un joli petit 38,5". Face à ma crise de larmes qui se manifeste à ce moment, Chantal essaie de me calmer en accentuant ses caresses sur mes fesses et en déployant, de sa voix la plus douce, toute sa tendresse: "Calme-toi, mon petit Honey, c'est juste un mauvais rêve….je t'aime très fort, tu sais".

Alors que mes larmes se sèchent peu à peu, ma copine se fait plus sévère: "Je trouve que tu surréagis un peu, pour un rêve qui n'étais tout de même pas si abominable". Elle ajoute avec ironie: "C'est bien toi le mec dans notre couple, non". Quelque peu vexé quand même, je m'excuse auprès de Chantal de mon attitude ridicule. Elle modère alors ses critiques: "Tu sais bien que je t'aime comme ça, mon Honey" et, alors que je me dégage de la position inconfortable dans laquelle je me trouve, sa bouche cherche la mienne et nous nous roulons une pelle mémorable. Après ce baiser particulièrement sensuel, alors que nous nous retrouvons dans les fauteuils du cabinet que nous occupions tout à l'heure, Chantal semble frappée par une illumination et me dit: "Tu te souviens de ce rêve que tu as fait la semaine dernière, quand tu avais déjà eu une sorte de crise,...Là, c'était une stagiaire qui te faisait passer une visite médicale devant moi, ….Elle était très conne et s'appelait Magalie, je crois,....Eh bien, ta Magalie de l'autre jour avait les mêmes caractéristiques physiques que ta Nathalie, le médecin militaire d'aujourd'hui,.Toutes les deux moches, les cheveux courts, hommasses…...C'est intéressant et je crois que ça en dit long sur ta personnalité, tes fantasmes….Tu ne crois pas, Honey ?" (note de l'auteur: cf une romance imprévue 26-27) Je suis impressionné par la mémoire de Chantal, j'avais oublié ce rêve de la semaine dernière, mais je me souviens maintenant de celui-ci et notamment de sa conclusion où j'enculais joyeusement la gamine. Je me demande quelles conclusions Chantal pourrait tirer de tout cela. Pour l'heure, ma copine propose que, comme prévu, nous "rejouions" la "vision" de ma visite médicale de cette après-midi. Pour renforcer le sérieux de la "reconstitution", elle se rhabille promptement et, ayant confirmation que je portais bien un slip lorsque "Marina Vlady" m'a ausculté, elle me suggère de remettre le mien pour commencer notre exercice.

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Chantal et moi sommes debout face-à-face au milieu du cabinet pour (re)jouer ma première vision, celle qui correspond à la visite médicale qui m'attend cette après-midi. Comme avant chaque visite médicale, je suis angoissé, sans pouvoir vraiment dire pourquoi, d'autant que comme Chantal me le répète, depuis que je lui ai annoncé cet examen, "grâce" à la prise de sang qu'elle m'a imposée, je sais que je n'ai rien. La doctoresse que j'ai vue lors de ma vision m'excite physiquement, bien sûr, mais, comme Chantal d'ailleurs, j'ai des doutes sur la valeur de la prédiction de la petite sœur de ma copine. Chantal s'est rhabillée, remettant sa petite robe blanche que j'aime tant. Pour ma part, j'ai remis mon slip, genre mini, mais tout à fait décent compte tenu de l'état de mon sexe, minuscule en raison de ma baise quelques minutes plus tôt.

Tout en me gratifiant de son plus beau sourire, Chantal chausse son stéthoscope, mais avant d'entamer son examen, ses mains se portent sur mes tétons durcis qu'elles titillent allégrement. Tout en appréciant les caresses de ma copine sur mes seins, je lui fait observer que je n'ai pas vu la doctoresse me prodiguer de telles caresses au cours de ma vision. "On s'en fout" décrète Chantal en poursuivant son petit jeu. Abandonnant mes petits seins, à regrets confesse-t-elle, Chantal déplace le disque froid de son stéthoscope sur différents endroits de sa poitrine avant de trouver un point qui lui donne satisfaction. "Je ne pense pas que ta Marina Vlady te fera écouter ton cœur" observe Chantal. "Ton cœur est un peu rapide, 90 battements/minute d'après ma montre, je ne sais pas si c'est l'angoisse de ta visite ou ta petite fièvre" note ma doctoresse favorite, qui ajoute doctement; "Finalement, ce ne serait peut-être pas une mauvaise idée de te faire un électrocardiogramme". Chantal observe avec amusement que mon cœur accélère brusquement son rythme à cette proposition. "Tu es vraiment impossible, poursuit Chantal, tu sais, si on te fais un ECG, tu ne sentiras absolument rien". Je proteste: "Ce n'est pas la douleur qui me fait peur…" " J'oubliais, tu es un stoïcien" m'interrompt en rigolant ma copine, qui ajoute: " On pourrait faire ça en septembre à ton retour". Je n'aime pas trop l'insistance de Chantal à vouloir me faire faire des examens médicaux. Un moment agacé, avant de me laisser aller à mon hypocondrie, une idée me trotte dans la tète. Et si j'avais vraiment quelque chose au cœur? Chantal me ramène à notre examen présent en me demandant de me retourner pour qu'elle écoute mes poumons. Je suis relativement serein pour cette partie de l'examen. Chantal me félicite une nouvelle fois de ne pas fumer. Elle ajoute: "Je ne pourrais vraiment pas rester avec un mec qui fume" .

Je me tourne une nouvelle fois pour me retrouver face à ma copine. Chantal s'est installé sur un tabouret et son visage est à hauteur de mon bas-ventre. La jeune femme lève son visage vers le mien et me regarde les yeux dans les yeux, avec toute la tendresse qu'elle peut me témoigner, au moment où elle fait glisser mon slip jusqu'aux pieds. Comme je viens de baiser, je ne bande pas, même en face de ma copine. " C'est là qu'elle t'a dit que tu es un garçon bien élevé" demande Chantal alors qu'elle prend en main mon pénis flasque. "Tu joues très bien ton rôle, bravo" poursuit ma copine. "Comme tu sais, note la jeune femme, alors qu'elle décalotte plusieurs fois ma verge flasque, j'apprécie moi aussi quand mes patients ne bandent pas quand je les examine". Elle ajoute, avec un sourire un peu pervers: "Et puis tu sais, j'adore voir ta petite queue au repos, ….elle est si mignonne". Estimant avoir terminé l'examen de ma verge, la jeune femme passe à mes testicules, qu'elle fait rouler entre ses doigts puis palpe longuement. Une fois cet examen terminé, Chantal me fait une proposition, en clignant langoureusement des yeux: "Maintenant, si j'ai bien compris, la dame te demande de te mettre sur le ventre pour te prendre la température.... puisqu'on l'a déjà fait pour toi, j'ai une idée….tu vas me prendre la température à moi,...Si tu veux bien, hein Honey" Je ne peux qu'être d'accord.

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Il n'est que 10:40, j'ai donc tout le temps de répondre à la suggestion de Chantal puisque je suis convoqué à 14;00 au siège de la compagnie d'assurance de l'organisateur de mon voyage pour cette visite médicale. cela me fera un divertissement, au sens pascalien du terme (restons pédant). il est vrai que, comme toujours dans ces circonstances et malgré tout ce qui s'est passé depuis une semaine avec Chantal et Solange, j'ai toujours la même angoisse et le même boule dans la gorge. Chantal, qui a de nouveau ôté ses vêtements, s'est installée sur mes genoux et ses fesses pleines frétillent dans l'attente du thermomètre. Je sens que mon pénis, qui était resté flasque depuis notre coït de tout à l'heure, commence à retrouver sa vigueur à la vue du spectacle qu'offre ma copine. Je glisse donc le thermomètre entre les fesses plantureuses de Chantal et l'enfonce au plus profond du rectum de la jeune femme, qui apprécie manifestement la situation. Nous nous sommes mis d'accord pour que l'examen dure dix minutes, notre gourmandise habituelle par rapport à la nécessité médicale de trois, voire une seule, minutes.

La satisfaction que m'apporte le fait de prendre la température à ma copine devrait m'amener au septième ciel, cependant mon moral s'assombrit tout à coup. Alors qu'une de mes mains maintient le thermomètre en place tout en lui imposant de petits mouvements de va-et-vient qui excitent manifestement Chantal et que mon autre main caresse, avec j'espère assez de douceur, les fesses de ma copine, d'une part, la pensée de cette visite médicale me poursuit et, d 'autre part, je me dis que d'ici trois jours, je serai privé du plaisir, non seulement de faire l'amour avec ma bien-aimée, mais aussi de la thermomètrer. Toujours attentive à mes réactions et lisant quasiment dans mes pensées, Chantal m'interpelle: "Ca ne va pas, Honey…. C'est cette visite médicale qui te préoccupe à ce point ? " . Je réponds franchement: "Tu me connais, je suis toujours angoissé" J'ajoute: "Et puis, il y a le fait que nous allons être séparés pour un mois, et par ma faute, …remarque, je pourrais encore tout annuler, on aura d'autre occasions d'aller en Amérique ensemble". Chantal est presque fâchée: "Ecoute, pour ton voyage, je croyais qu'on avait dit qu'on en parle plus,,.. ou bien, est ce que tu as tellement peur de cette visite médicale que tu cherche encore un prétexte pour te défiller ?... tu débloques vraiment, Honey,....et puis, vois le coté positif des choses, tu seras avec trois nanas superbes, quatre si on compte la mère, … et si la prédiction de Solange se réalise, vous devriez bien vous amuser, elles ont l'air d'aimer les thermomètres, elles aussi….non". Je réponds vivement:"Justement, cette perspective de visites médicales hebdomadaire, tu te doutes bien que ça ne m'amuse pas.".

Un ange passe alors que, selon ma montre, les dix minutes sont largement écoulées; Chantal s'en inquiète: "Eh dis, tes minutes, elles ne sont pas un peu longues, tu ne profiterais pas un peu de la situation". Je me ménage deux minutes supplémentaires de "bonheur" et dis à Chantal: "on est à peine à huit minutes". La jeune femme rigole franchement: "Tu mens toujours aussi mal, Honey, mais tu sais que je t'adore". Le temps que les deux minutes passent et que je retire le thermomètre à Chantal et lui annonce un "37,2" idéal, ,ma copine reprend la parole: " tu te souviens que je t'ai dit hier, après ta performance avec Solange, que je voulais une fessée de ta part avant ton départ. et bien , là, maintenant,, tu vas me donner une fessée mémorable pour toutes les conneries que j'ai faites depuis qu'on se connait". "En plus, je suis déjà dans la position pour" ajoute-t-elle en agitant un instant de manière volontairement ostensible ses superbes fesses. Comme hier avec Solange, je suis un peu éberlué face à la demande de ma copine et j'hésite sur la réponse à y apporter.

Comments

arthur Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
kytty Il ya 5 ans  
Svensson Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans