Vues: 494 Created: 2014.12.14 Mis à jour: 2014.12.14

Encore des histoires

Les fantasmes de Veronique

Les fantasmes de Veronique (ou les malheurs de Delphine)

J'ai trente-deux ans, je suis infirmière dans un lycée. Ce jour-là, j'ai décidé de faire passer une visite médicale à Delphine.

C'est une petite brunette toujours bronzée, du style BCBG et du genre "tête à claques"

J'effectue sur la jeune femme les mesures habituelles, taille, poids, etc. Je lui demande également de déboutonner son chemisier et de dégrafer son soutien-gorge. En glissant la main sous les bonnets, je libère ses deux tétons et je lâche négligemment :

"Ce n'est pas bien gros tout ça ! A ton âge, il y a pas mal de filles qui ont des seins un peu plus développés !"

Pour toute réponse, elle me regarde l'air buté, et je l'envoie s'installer à quatre pattes sur la table d'auscultation.

Dans cette position, les petits seins à l'air sous son chemisier, avec sa petite jupe plissée bleu marine et ses socquettes blanches, elle a un peu perdu son arrogance.

J'arrive derrière elle et, soulevant la jupette, je constate ironique :

"Tiens, tu portes encore une culotte petit bateau ?"

Elle me réplique, très sûre d'elle :

"C'est un slip "Triumph" madame !"

Pour lui clouer le bec, je me tourne vers elle, un thermomètre à la main, et lui dis :

"Tiens, tu mets ça dans ta bouche !"

Et je lui place le menton sur la table.

Dans cette position inconfortable, je la contourne et j'observe son petit derrière blanc. Prestement, je descends le slip, accompagnant mon geste d'une exclamation :

"Eh bien, mademoiselle Triumph, ça n'a pas l'air d'être le triomphe de la propreté, ici !"

D'un doigt que je promène entre ses lèvres, je ressors un petit dépôt. Le lui mettant sous le nez, je ponctue, agacée :

"Bon ! Nous allons nettoyer tout ça !"

J'ai bien sûr une poire vaginale à portée de la main, contenant une préparation désinfectante que j'approche de son trou, j'appelle Lucie, mon assistante à mon aide :

"Lucie, s'il te plaît, veux-tu venir ici pour lui écarter les fesses ?"

Sans rien dire, elle approche, pose ses deux mains fines et longues sur les deux globes blancs et les étire avec beaucoup de précautions, pendant que j'introduis la canule sans ménagements excessifs dans la barquette de la chère demoiselle. J'appuie alors sur la poire, lui envoyant tout ce qu'elle contient jusqu'à ce qu'elle déborde de partout, et j'ajoute :

"Voilà, il y en a pour un quart d'heure maintenant, surtout tu ne bouges plus !"

Son thermomètre dans la bouche et la poire ainsi placée, elle me regarde, furieuse.

Toujours sur sa table d'auscultation, j'entends Delphine qui s'impatiente. Me tournant vers elle comme si je l'avais oubliée, je lui déclare :

"Oh ! Ma chérie, je ne pensais plus à toi ! Tu peux ôter le thermomètre et dire combien il affiche ?"

Elle ôte l'instrument, le lit et m'annonce "36°".

"Ce n'est pas possible !"

"Lucie, Occupe-toi de mademoiselle !"

C'est une belle femme de quarante ans, blonde comme moi, très élégante et sensuelle, qui est l'épouse d'un de nos amis et dont Je connais le penchant pour les jeunes filles.

"D'accord, je regarde ça de près !"

Se plaçant derrière Delphine, elle constate la présence de la poire vaginale déjà introduite et fait quelques aller retours, entraînant un tortillement des fesses de la fillette. Donnant une petite claque sur une fesse de sa jeune patiente, elle ajoute :

"Allons, jeune demoiselle, nous allons bien trouver une place pour ce thermomètre !"

Tout en parlant, elle lui place une noix de vaseline sur l'anus et, avec un clin l'œil complice, lui enfonce le thermomètre, lentement et très profondément.

"Aie, trop loin !"

Une autre claque sur la seconde fesse.

Après une grimace de circonstance, Delphine se calme.

"Ose dire qu'elle t'a fait mal !"

Delphine me jette un regard noir.

Pendant au moins dix minutes, Lucie s’assied à son bureau pour remplir le dossier de sa patiente. Puis revenant à Delphine, elle lui ôte d'abord la poire en l'agitant deux ou trois fois.

"Mais dis-moi donc ma petite chérie, serait-il possible que tu aies perdu ta fleur ?"

La jeune fille est devenue toute rouge.

"Allons rassure-toi, ça ne nous regarde pas ; dis-toi bien que la plupart de tes camarades sont dans le même cas. Fais attention quand même, tu étudies encore c'est tôt pour avoir un bébé !"

Puis ce fut au tour du thermomètre, qu'elle retira très lentement, faisant quelques aller et retours, qui semblèrent être appréciés par la patiente. Elle déclara :

"Bon, c'est fini pour toi, tu peux te rhabiller et descendre à tes cours !"