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Vues: 868 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2020.07.22

Une romance imprévue

Chapitre 26

Une romance imprévue - 101 ► 104

La chambre de la copine de Pénélope est effectivement toute proche de l'endroit de notre visite médicale. Il nous faut moins d'un quart d'heure pour nous y rendre. La jeune fille reste prostrée pendant le court trajet, tant les trois stations de métro que les qquelques minutes de marche pour l'atteindre, mais elle continue de serrer fébrilement ma main dans la sienne. Des pensées se bousculent dans ma tête. Je me demande si la visite médicale a vraiment été si abominable, ce qui ravive mes angoisses égocentriques puisque je vais passer le même examen dans un peu plus de trois heures, ou si la jeune Pénélope ne surjoue pas un peu sa réaction, mais c'est surtout la réalisation des prédictions de mes visions qui me préoccupe, d'autant plus que la première vision, où j'ai vu trait pour trait l'actuel Docteur Bernard, ma Marina Vlady, m'examiner, semble en voie de se réaliser. Devrais-je donc m'attendre à ce que la jeune Pénélope "fasse plus que le premier pas" à mon égard. Malgré les encouragements que ma copine vient de me prodiguer au téléphone, je me sens plus que gêné à l'idée de "tromper" mon "premier amour". J'en suis là de mes réflexions, alors que la situation me rappelle celle de mardi dernier pour accéder à la terrasse de Chantal, puisque là aussi, nous montons un étroit escalier vermoulu pour atteindre la chambre de la copine de Pénélope et que la jeune fille marche devant moi, me laissant mater sans vergogne ses jambes fines, auxquelles je n'avais pas, à tort, porté attention tout à l"heure . La jupe courte du tailleur chic de la petite Sciences Po me dévoile, un peu plus à chaque marche qu'elle monte, ses superbes cuisses fuselées. Malgré les circonstances, la fille me fait bander, et pas mal.

Nous pénétrons dans une chambre d'étudiant minuscule, à l'aménagement méticuleux. Pénélope s'assied au bord du lit. La jeune fille a enlevé la veste de son tailleur, superbe et bandante, avec sa jupe courte mais classy et son chemisier blanc largement ouvert, malgré ou à cause de ses larmes. Je veux m'installer sur l'unique chaise disponible. Pénélope m'arrête: "Assieds-toi plutôt à coté de moi, tu veux bien" m'implore-t-elle. Je m'exécute, alors que la jeune fille, mise en confiance par la sécurité de cette chambre, laisse libre cours à ses larmes. En même temps, elle me prend une main pour la poser sur sa cuisse droite, puis l'autre pour la placer sur son sein gauche, protégé par le haut de son chemisier: " Tu peux me caresser, si tu veux,... ça me fera du bien me dit la jeune fille, pendant que je te raconte ce qui s'est passé"

Pénélope commence son récit. "Elle m'a tout fait, je ne vois pas ce qu'elle aurait oublié, et surtout tout ce qu'elle pouvait faire à une fille….D'abord, elle m'a fait me déshabiller,..., complétement,... j'avais gardé ma culotte, elle me l'a fait retirer….je ne vois pas pourquoi il fallait que je sois toute nue pour écouter mon cœur,...le soutif, je comprends, et encore… bien sûr, comme j'étais complétement paniquée, elle a trouvé que mon cœur battait trop vite,....elle a parlé de me faire faire un électrocardiogramme, rien que cette idée me fait très peur, tu t'en doutes…." Je suis touché par ce détail, je constate que Pénélope réagit exactement comme moi à l'idée de subir un électrocardiogramme. inconsciemment encouragé par cette proximité d'esprit, j'accentue ma caresse à la fois sur la cuisse et le sein de la jeune fille. Il me semble qu'elle a un bref sourire à ce moment.

Elle reprend: "Elle m'a demandé si j'examinais mes seins,...comme je devais avoir l'air complétement idiote face à sa question, j'ai eu droit à une palpation en règle, plutôt douloureuse d'ailleurs, de mes petits seins….et pour continuer à me saper le moral, elle m'a sorti: "et ne crois pas que tu risques moins un cancer parce que tu as des petits seins"....après, elle m'a fait allonger sur son lit d'examen et j'ai eu droit à un examen gynéco complet,...Je pense que c'est pas la peine que je raconte ça à un garçon,...." et, tout en me mettant ses sales pattes partout, sans gants en plus, elle m'a posé un tas de questions, quand j'ai perdu ma virginité, combien de partenaires j'ai eu, si j'ai un copain en ce moment, …elle a rigolé quand je lui ai dit que j'ai eu un fiancé pendant trois ans qui vient de me larguer et que depuis, je suis seule, désespérément seule,... depuis trois mois….". Face à ces aveux, faits par Pénélope devant un quasi-inconnu pour elle, je suis bien sûr ému, mais aussi un peu perplexe, la jeune fille ne me tendrait-elle pas une perche, pour ne pas dire une poutre. Après une pause, Pénélope reprend: "Après son examen gynéco, brutal et douloureux, c'est là que ca a été le pire, le plus affreux…."

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Alors que la jeune fille reprend son récit, je réalise que ,tout en parlant, elle a ouvert ma chemise et qu'elle titille mes mamelons déjà durs. Je me dis à nouveau que cette chêre Pénélope a quelque chose derrière la tête.

la jeune fille reprend donc: "Quand elle a terminé son examen gynéco, qui m'a fait très mal, je te prie de me croire, je tremblais de tous mes membres et je me sentais littéralement à bout. La toubib m'a alors dit, d'un ton presque aimable: "Le plus dur est passé, c'est presque fini, je dois encore te prendre la température, Mets toi sur le ventre". En obéissant à la femme, parce que je suis une fille sage, je paniquais complétement à l'idée de se qui allait arriver. Bêtement, j'ai émis une protestation: "Quoi, vous n'allez quand même pas me prendre la température dans les fesses, comme à un bébé, j'ai vingt ans…". La doctoresse a ricané: "Bien sûr que si,...ce n'est pas une question d'âge, je vais te prendre la température rectale parce qu'on me dit de le faire et parce que je pense que c'est la méthode la plus efficace, je vais la prendre aujourd'hui de cette manière à tous tes petits camarades, garçons et filles. D'après mes fiches, la plupart sont plus agès que toi" .

La mort dans l'âme, dans l'attente du thermomètre,je serrais mes fesses avec l'énergie du désespoir. Posant ses mains à plat sur mes fesses, la femme a déclaré: "Si tu te crispes comme ça, je vais te faire mal, essaie de te calmer",...Elle m'a alors donné une tape sur les fesses, peut-être sans méchanceté, juste pour me détendre, mais je peux te dire que je n'ai pas apprécié. L'instant d'après, elle m'a écarté les fesses au maximum et j'ai senti quelque chose de dur, de long, de froid qui me pénétrait au plus profond de mes entrailles. Je me suis senti humiliée comme jamais,..... me retrouver à vingt ans avec un thermomètre dans le cul comme une connasse,.... tu te rends compte. Là, mon beau diplôme de Sciences Po ne me servait à rien. J'avais très envie de pleurer, mais j'essayais de me retenir pour ne pas donner une satisfaction supplémentaire à la doctoresse. Et c'est là qu'est venu le pire" .

Après une pause, pour ménager, malgré tout, son effet, Pénélope poursuit: " Je sentais que la toubib avait gardé ses mains moites sur mes pauvres fesses et il me semblait qu'elle jouait avec le thermomètre, s'amusant à l'enfoncer encore plus. C'est alors qu'elle m'a dit: "Je parie que tu ferais moins d'histoires si c'était ton petit copain qui te mettait sa queue dans ton joli petit cul" . J'ai immédiatement réagi. "Un, je vous ai dit tout à l'heure que je n'avais pas de petit copain, deux, mon fiancé n'aurait jamais osé faire une chose pareille,...Il me respectait, lui…." Et là, n'en pouvant plus, j'ai éclaté en sanglots". La doctoresse, réalisant peut-être qu'elle avait été un peu trop loin, a voulu me calmer: "Ne pleure pas, tu vas faire monter ta température et je ne pourrais pas signer ton certificat". J'ai néanmoins continué de pleurer doucement pendant le temps, qui m'a paru une éternité, qu'a duré cette prise de température. Finalement, la toubib a retiré le thermomètre et m'a invité à me rhabiller. C'était fini. Elle m'a signé mon certificat, mais elle ne m'a pas dit quelle était ma température…."

Pénélope conclut son récit: "Voila,...tu vas peut-être me dire que tout ça n'est pas si grave, mais je peux te dire que je n'ai pas aimé….en particulier le coup de mon copain qui mettrait sa queue dans mon cul,...je te jure que mon pauvre fiancé n'aurait jamais même pensé à une chose aussi déguelasse". Sur ce, à l'évocation de son humiliation, la jeune fille repart dans une crise de larmes qui semble ne pouvoir s'arrêter. Elle finit néanmoins par se calmer. Après un long moment pour reprendre une respiration normale, elle me regarde dans les yeux. j'ai dit qu'elle a de très beaux yeux verts. "Tu dois me trouver complétement ridicule". Je l'assure que non et je lui avoue à nouveau que la visite médicale que je dois passer dans environ deux heures et demei me fait complétement flipper et que le portrait qu'elle me dresse de la doctoresse ne peut qu'ajouter à mon inquiétude. Le visage de Pénélope semble s'illuminer. Elle me dit: "Est ce que tu serais la seule personne qui me comprendrait" puis, l'instant d'après, elle me demande d'une voix soudain plus sensuelle: "Pour commencer, embrasse-moi"

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Pénélope me demande de l'embrasser. Cette requête déclenche une véritable tempête dans mon pauvre crâne, dont la jeune fille ne peut avoir idée. A priori, tout m'incite à satisfaire la jeune fille. Avec son joli visage, ses cheveux roux et son corps splendide, elle me plait vraiment beaucoup physiquement, même si elle ne correspond pas tout à fait à mon idéal de la fille du Nord, De ce point de vue, je reconnais que Solange la bat largement, Mais, il y a aussi, surtout peut-être, le fait que je l'admire du point de vue intellectuel puisqu'elle est diplômée de Sciences Po, école qui représente pour moi la perfection académique, et où je n'ai pas été capable d'entrer moi-même. Face à elle, je me sens comme "le ver de terre amoureux d'une étoile" de Victor Hugo (Ruy Blas).

Mais, je suis également très ennuyé à l'idée de tromper Chantal, j'ai en effet de plus en plus en moi la conviction que c'est la jeune doctoresse qui est la femme de ma vie, même si justement, en tant que médecin, elle représente tout ce qui me fait si peur….et enfin, il y a cet élément absurde qui vient d'apparaitre, si la deuxième vision qu'a provoquée Solange se révélé exacte, d'autant plus que le première vision semble en voie de se réaliser, si je baise Pénélope, je devrait plutôt dire "si je lui fais l'amour" aujourd'hui, ce devrait être pour la perdre dans trois jours, lorsqu'elle m'annoncera qu'elle ne veux plus de moi. Je me retrouve, bien malgré moi, au cœur d'un de ces paradoxes spatio-temporels que j'affectionne dans les livres de science-fiction dont je suis amateur.

Malgré mes hésitations, mon visage s'approche de celui de la jeune fille et nos bouches s'unissent en un baiser d'une rare intensité sensuelle. Pénélope se montre particulièrement excitée et nos langues s'agitent rapidement en un ballet fougueux. Je ne veux pas faire de comparaison avec les baisers que j'ai pu échanger ces derniers jours avec Chantal, ….ou avec Solange. Alors que mes mains à moi restent relativement sages et caressent, l'une les cuisses, l'autre les seins de la jeune fille, ses mains à elle se sont montrées plus audacieuses, et ayant forcé l'ouverture de mon pantalon, se sont glissé dans mon slip pour agripper ma queue et mes couilles. La sensualité de notre baiser nous laisse, tous les deux, pantois.

Reprenant son souffle, Pénélope confirme ses intentions: "J'ai envie de toi, fais moi l'amour, là, maintenant, tout de suite". Je tente de formuler une objection: "Mais, ce n'est pas possible,...tu oublies que je passe la visite médicale dans moins de deux heures,...." Pénélope répond d'un ton ferme: " Tu n'as peut-être pas remarqué que ma copine a une très belle salle de bain,...plus grande que sa chambre, je crois. Bien sûr que tu pourras l'utiliser….à part ça, dis-moi où est le problème, je ne vois pas comment la toubib foldingue qui m'a examinée pourrait voir ce que tu auras fait avec moi", "Ne t'inquiète pas, ajoute-t-elle en souriant, je ménagerai ton petit cœur". Voyant mon hésitation, Pénélope m'interpelle: "Ou bien, c'est que je ne plais pas,... parce que je suis trop moche,....parce que je suis rousse…...ou alors, je te fais peur avec mon diplôme de Sciences Po" énonce-t-elle, l'air navrée, " Bien sûr que non", je réponds avec sincérité. Pénélope reprend: "Ou alors, c'est à cause de ta copine ? Bah,....elle n'a pas besoin de savoir que tu as réconfortée une pauvre fille traumatisée par une visite médicale abominable…" Le regard sensuel des yeux verts de la jeune fille achève de me convaincre. Après une nouvelle étreinte d'une sensualité exacerbée, Pénélope me dit: "Maintenant, déshabille-toi, je veux te voir nu".

( à suivre) .

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Pénélope vient de me demander de me déshabiller devant elle. Je me sens, comme d'habitude, gêné par la requête de la jeune fille. Comme l'a noté Chantal, j'ai un problème avec mon corps. Néanmoins, les circonstances, l'impression que je fais en quelque sorte une bonne action en m'apprètant à baiser la jeune fille pour la remettre du traumatisme de sa visite médicale, mais aussi le corps parfait et les yeux verts ensorcelants de la fille et enfin l'excitation de me faire une petite Sciences po, font que je donne rapidement suite à la demande de la jeune fille. Alors que j'ai retiré le pantalon "chic" que j'ai ms pour être présentable pour l'examen médical au lieu de mes éternels jeans, je constate avec soulagement que, malgré mes états d'âme existentiels et malgré la proximité de la visite médicale tant redoutée, j'ai une érection convenable que mon slip, un genre mini, ne parvient pas à dissimuler; Et c'est également là que Pénélope , à ma surprise, m'interpelle pour déclarer"Tu sais que tu es vachement bien foutu". Je me remande si la jeune fille ne se moque pas de moi: "Tu rigoles,....je sais que je suis trop maigre,...que je n'ai aucun muscle….arrête de te foutre de moi." "Mais non, je suis sincère, m'assure de sa voix douce Pénélope, tu sais, j'ai horreur des mecs baraqués, qui en général n'ont pas grand chose dans le slip...et puis, tous les mecs sont si gros…" A moitié convaincu par la jeune fille, je bombe le torse de satisfaction et suis sans doute encore plus ridicule. J'ai tout de même une hésitation au moment de retirer mon slip. Pénélope le remarque-t-elle? Le fait est que la jeune fille me fait signe de venir me placer devant elle, assise au bord du lit. La petite Sciences po me lance alors: "Finalement, ce sera encore plus drôle, et ca te mettra encore plus dans le bain pour tout à l'heure si je te retire moi-même ton petit slip, d'accord" La petite Sciences po se révèlerait-elle aussi vicieuse que les doctoresses qui se sont amusées avec moi ce Week-end

Je me retrouve donc, vêtu de mon seul slip, debout face à Pénélope, qui a conservé ses habits, dans une situation qui reproduit celles que j'ai connues lors de mes visites médicales du lycée et que je crains de revivre dans environ deux heures. Comment fais-je pour ne pas perdre ma belle érection? Est-ce-que la petite pilule bleue que Chantal m'a fait prendre y serait pour quelque chose? Pénélope elle-même s'amuse de la situation: "Désolé si tout ça te fait penser à la visite médicale à laquelle tu auras droit sous peu" Palpant la bosse qui déforme mon slip, elle observe cependant: "Je remarque que ça ne t'empêche pas de bander, et pas mal on dirait" . Je suis à la fois gêné et excité au plus haut point. Pénélope fait durer les choses, à la limite du sadisme. S'assurant de la fermeté de mes cuisses, puis de mon ventre, juste audessus du slip, elle me lance: "Et ta copine, tu ne penses plus à ta copine, hein….." Bien sûr que si que j'y pense et je m'étonne du miracle qui fait que je bande encore; Je me dis que cela tient aussi aux promesses que je voie dans les cuisses fuselées et le galbe des petits seins attendrissants que m'exhibe sans vergogne la jeune fille dans la position qu'elle occupe . Enfin, les doigts fins de Pénélope saisissent l'étoffe de mon slip et le font glisser d'une vingtaine de centimètres puis le laisse tomber sur mes chevilles. Je suis nu devant une fille superbe, diplômée de Sciences po en plus, et mon sexe se dresse, majestueux. J'en éprouve une satisfaction idiote,, mais tout de même légitime. "Whaouh ! " fait Pénélope qui reste un moment sans voix en découvrant mon pénis dressé.

Pénélope entoure de ses doigts ma verge triomphante. Elle est visiblement impressionnée. "tu as vraiment une belle bite, petit salaud " , me dit-elle, tout en recherchant les caresses qui puissent rendre hommage à ma queue dressee, comme en son hommage. Après avoir apprécié la fermeté de ma verge, elle s'en prend, avec une même douceur à mes testicules qu'elle malaxe avec délicatesse et fermeté. Rigolant franchement, elle me dit: "Si tu bandes comme ça avec la folle tout à l'heure, tu ne sortiras pas vivant de son cabinet" "Je crois qu'il y a peu de chance, je réponds avec réalisme,, là, je serai tétanisé de peur et je pense que ma queue sera lamentable". J'ajoute: "Et puis , tu sais, si je bande maintenant c'est parce que tu me plais" Tout en continuant ses caresses habiles, la jeune fille se laisse aller à des confidences, qui me choquent un peu, puisque nous ne nous connaissons que depuis quelques heures: " Quand je vois ta queue, ta verge si tu préfères, j 'ai la confirmation de ce que j'ai toujours pensé, mon fiancé en avait une vraiment pas terrible, et avec ses muscles de sportif débile, ses abdo surtout, il se prenait pour un Don Juan" A cette évocation, son visage s'assombrit et je crains qu'elle ne se remette à pleurer "Quand je pense qu'il s'est trouvé une autre nana et m'a larguée" se lamente-t-elle. Après une pause, la petite Sciences po semble se reprendre et retrouve un sourire égrillard .Mettant un terme à ses caresses appuyées à mon sexe, elle me lance tout-à-coup: "Maintenant, tourne-toi, mon chéri" Je suis un peu surpris; "Mais pourquoi? " "Parce que je veux voir ton cul", répond-elle, l'air délicieusement salope;

Comments

clyso Il ya 5 ans