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Vues: 957 Created: 2014.08.09 Mis à jour: Il ya 1 an

Une romance imprévue

Chapitre 27

une romance imprévue - 105 ► 108J'obéis à la dernière lubie de Pénélope et je me tourne donc, exposant mes fesses à la jeune fille. Là, j'ai de nouveau droit à un "wouaouh" de la part de la petite Sciences po: "Tu as vraiment un beau cul" , me dit-elle alors que, instinctivement, je serre les fesses lorsqu'elle pose ses mains sur mon postérieur. Pénélope me révèle: "tu sais,...je rêve de ton cul depuis que je t'ai vu avec ta copine quand nous vous embrassiez comme des malades quand elle t'a déposé à la réunion samedi. Vous étiez si mignons tous les deux. Et quand tu étais serré contre elle, on voyait ton petit cul moulé dans ton jean, et là, je crois que toutes les filles du groupe ont mouillé leur culotte en te voyant et ont maudi ta copine,... avec sa superbe bagnole en plus". Alors que Pénélope me caresse doucement et que je rends mentalement hommage à la stratégie de communication de Chantal, la petite Sciences po remarque mes coups de soleil en voie de guérison et m'interroge: "Tu fait du nudisme, en plus,..je te prenais pour un garçon sage…" Je lui dis presque la vérité: "ma copine à une terrasse et elle m'a obligé…" .Pénélope poursuit ses caresses, qui sont extrêmement douces et sensuelles et stimulent pour le moins mon érection, puis elle m'écarte carrément les fesses, je me demande un instant si, après tout ce qu'elle m'a dit sur la prise de température qu'elle vient de subir, elle n'aurait pas l'idée de gratifier mon "joli petit cul" d'un thermomètre. A priori, me mettre un thermomètre n'est pas à l'ordre du jour, mais je constate rapidement que le sujet préoccupe et intéresse néanmoins la jeune fille. Tout en matant sans vergogne mes fesses qu'elle a largement écartées, elle me demande, naivement: "Et tu n'as pas peur du thermomètre que la folle va te mettre tout à l'heure ?" Sans attendre ma réponse, elle poursuit, tout en continuant d'apprécier la texture de mes fesses: "Moi, j'étais complétement paniquée….je ne crois pas que mes parents m'aient jamais pris la température, c'était la bonne ou la fille au pair qui me faisait ça jusqu'à dix, douze ans. ,Le gynéco de ma mêre m' a mis un thermomètre dans le cul la première fois que je l'ai vu, quand j'étais dans les étriers en plus, et j'en ai pleuré…..mais je dois reconnaitre que tout à l'heure, la toubib ne m'a pas fait tellement mal,....mais c'est ce sentiment d'humiliation d'être traitée comme un bébé que j'ai ressenti, et puis bien sûr ses commentaires déplacées…."je n'ose pas dire à Pénélope le début de la vérité sur mes rapports avec la température rectale, que je me masturbe depuis des années avec un thermomètre dans le cul ou que, depuis que je connais Chantal, la "tuture cucul" a joué le rôle que l'on sait dans nos "jeux" érotiques et je lui dit simplement: "ma mère me prenait de temps en temps la température et en terminale, il y a deux ans, à la visite médicale annuelle de mon lycée, la doctoresse scolaire, une nana par ailleurs jeune et sympa, a pris la température rectale de toute le classe, ce qui m'a indéniablement marqué, un mélange d'humiliation et, je l'avoue, d'excitation,... Alors oui, j'ai un peu peur du thermomètre de la toubib, mais pas plus que du reste de la visite….". Apparemment satisfaite de ma réponse, Pénélope me donne une tape sur les fesses et conclut le sujet: "Si tu ne veux être en retard pour montrer ton joli cul à la foldingue, il faut peut-être qu'on accélère un peu…" Elle se débarrasse rapidement de ses habits et s'allonge sur le dos sur le lit, les jambes légèrement écartées, offerte. Pour que les choses soient encore plus claires, elle m'invite sans ambiguïté: "viens..., prends-moi...., baise-moi"Je ne peux que répondre à l'invitation de Pénélope. Je la rejoins sur le lit. Nous nous embrassons avec fougue et nous nous caressons sans retenue. La petite Sciences po a un corps splendide. Plus ou moins de la même taille que Solange, donc un peu plus grande que Chantal, elle est mince sans être maigre. Ses jambes sont superbes, ses seins sont plus petits que ceux de Chantal, mais bien ronds comme des petites pommes ,et plus consistants que ceux de la pauvre Solange, puisque fermes et si doux sous mes doigts. Ils sont dans un premier temps le principal objet de mon attention. Mes caresses se font bientôt plus précises et je fais profiter la jeune fille du peu que j'ai pu apprendre en une semaine avec Chantal,...et Solange. Sa chatte est bien dessinée, sous une toison rousse épaisse et mes doigts, puis ma bouche, l'investissent. La jeune fille, qui dit n'avoir rien fait depuis sa rupture il y a trois mois avec un fiancé peu satisfaisant, s'accommode de mes maladresses et gémit avec ostentation de contentement. Elle se crispe légèrement, quand ayant caressé ses mignonnes petites fesses, mes doigts font mine de s'aventurer dans le sillon fessier de la jeune fille. Là, tout à coup, elle se refuse avec fermeté et me dit, d'une voix soudain plus ferme: " Non, ne me pénètre pas là, ...je ne veux pas…"; Un peu frustré, mais soucieux de ne pas commettre, à ce stade, un impair, je cède aux injonctions de la jeune fille, qui me dit alors, sur un ton qui se veut sérieux: "Et ne t'avise pas de me mettre ta queue là,...hein". Et d'ailleurs, juste à ce moment, peut-être pour m'éviter toute tentation malheureuse, elle saisit ma verge et la place à l'entrée de son vagin. Je donne plusieurs coups de rein énergique et je pénètre la jeune fille dans la position classique du missionnaire. J'entame rapidement mes mouvements de va-et-viens.Nous faisons l'amour,...c'est fantastique…je ressens rapidement un sentiment de plénitude. La sensation de mon pénis prisonnier dans le fourreau étroit, si doux, si chaud, du vagin de la jeune fille est extraordinaire. Pénélope a noué ses jambes autour des miennes et agrippe mes fesses avec énergie. La jeune fille manifeste sa satisfaction, "oh oui, c'est bon,....tu baises bien,...continue" et multiplie les serments, "je t'aime,....je t'aime tant". Il me suffit de penser à cette visite médicale, qui approche à grand pas, pour retarder ma jouissance. je refuse de faire des comparaisons pour savoir si c'est mieux qu'avec Chantal ou Solange. Je vis une sorte de plénitude, ternie par le fait que, puisque cette "baise" confirme bien les prédictions des visions dont m'a gratifié Solange, normalement Pénélope me jettera comme une vieille chaussette dans trois jours. Alors que je sens que je ne vais pas tarder à venir, Pénélope me murmure à l'oreille qu'elle propose de changer de position pour terminer notre échange en beauté. Nous roulons sur le lit, malgré son étroitesse, et Pénélope se retrouve sur moi, me chevauchant dans la cow-girl position, pour laquelle elle ne peut pas savoir que j'ai une tendresse particulière. C'est donc la petite Sciences po qui fixe le rythme de la fin de notre "baise", s'empalant en cadence sur mon pénis au bord de la jouissance et elle fait ça avec une rare sensualité. C'est fantastique. Difficile de croire qu'elle aurait été "sage comme une image" depuis trois mois, comme elle l'a soutenu. Finalement, nous jouissons ensemble au moment où ma semence gicle, ,en une dizaine de jets successifs, en elle. "C'était merveilleux,,….tu m'as baisée comme un dieu, il faudra qu'on remette ça…pourquoi pas dans l'avion". dit Pénélope, qui s'est effondrée sur moi. Après quelques instants pour reprendre mon souffle, je jette un coup d'œil à ma montre et je constate avec effroi qu'il me reste à peine une demie heure avant le rendez-vous avec le Dr Bernard, ma Marina Vlady. Je me précipite dans la salle de bain, vaste mais vétuste, attenante à la chambre et je réalise rapidement qu'il n'y a pas d'eau chaude. Je suis un peu fâché.Une romance imprévue - 106Je me lave rapidement, à l'eau froide. Alors que je retrouve mon angoisse face à la perspective de la visite médicale, qui est désormais toute proche, je me demande si la doctoresse risque de remarquer que, moins d'une heure avant de me présenter devant lle, j'étais en train de baiser. Au moins, elle ne saura pas que la fille avec qui j'ai baisé a été examinée par elle-même au début de l'après-midi. Je me rhabille, non moins rapidement; J'ai à peine un quart d'heure pour retourner au lieu de la visite médicale. Pénélope s'excuse de ne pas m'accompagner; Elle me dit de sa voix suave: "Tu m'as un peu crevé, là, tu sais…" Mais elle ajoute: "Et puis, je n'ai pas très envie de me retrouver là-bas,...je veux oublier au plus vite ce souvenir". Je me donne le temps de donner un baiser enflammé à la jeune fille. Je lui avoue que j'ai maintenant vraiment très peur de la visite médicale qui m'attend. Pénélope a juste le temps de m'encourager: "ne t'inquiète pas, tout va bien se passer" et de m'assurer de son amour, qu'elle espère réciproque: "Avec notre phobie de tout ce qui est médical, on est vraiment faits l'un pour l'autre, non ?" Je dévale l'escalier, pique un sprint jusqu'à la station de métro, trépigne en attendant une rame, puis pendant que la rame se traine pour franchir les trois stations qui me séparent de mon but, J'arrive enfin à ma station, et au moment où je me pointe devant l'immeuble, je manque heurter l'étudiant en cinéma, qui, après un instant de surprise, me rassure, au moins quant à mon supposé retard: "Ah ,c'est toi,... Eh bien, tu as pris ton temps, on dirait, il est pile six heures…. en fait, tu as de la chance, la doctoresse fait durer les choses et a pris une demie heure de retard sur son planning,...tu ne passeras pas avant 18:30...". Soulagé par ce qu'il m'annonce, J'écoute avec bienveillance les commentaires de l'étudiant sur l'examen qu'il vient de subir. ""Je t'avouerai que j'ai trouvé ca assez pénible. La toubib m'a engueulé parce que je bandais quand elle m'a baissé le slip; Elle est pourtant plutôt bandante comme nana, ….elle devrait être contente de nous faire de l'effet, non…..puis après ça, ça a été l'interrogatoire style Gestapo/:: avec combien de filles j'ai couché, si j'ai une copine, etc....et pour finir, j'ai eu droit, comme tous les autres si j'ai bien compris, au thermomètre dans le cul….moi, je me souviens pas quand on 'a pris la température comme ça,...une fois au lycée, en sixième ou en cinquième, je crois, ça nous avait tous fait rigoler;;;aujourd'hui, j'ai vraiment pas aimé…..et je peux te dire qu'elle l'enfonce bien, la salope,....après ca, elle m'a signé mon papier, mais elle ne m'a même pas dit quelle était ma température…." Même si après le récit de Pénélope, j'ai une idée assez précise de ce qui m'attend, maintenant dans moins d'une demi-heure, les déclarations de l'étudiant-cinéaste ne peuvent que renforcer mon angoisse. Abandonnant le sujet de la visite médicale, l'étudiant m'interroge: "Et toi, tu a passé plus de trois heures avec la petite Sciences po, dis, tu te l'ais faite? ,....elle est pas mal foutue en plus….entre elle et ta copine à la Mustang, tu ne t'embêtes pas, hein". Je ne donne pas de réponse précise à mon interlocuteur, je le salue rapidement, et je m'engouffre dans l'entrée de l'immeuble de la compagnie d'assurance pour me préparer à subir cette visite médicale.Je m'assoie dans la salle d'attente alors que je devrais "passer" d'ici un petit quart d'heure. Je retrouve cette angoisse qui m'a toujours accompagné à chacun de ces examens. J'ai une grosse boule dans la gorge et je ressens une envie de plus en plus forte de vomir. La petite pilule bleue que m'a donnée Chantal semble ne faire aucun effet, ou peut-être est-il trop tard. Je ne me sentais pas si mal tout à l'heure avec Pénélope. Je repense à tout ce qui s'est passé cet après-midi. Ai-je trompé Chantal ? Est-ce mal ? Au delà du problème moral, je ne peux qu'être perturbé par ces visions dont Solange m'a gratifié. Si celles-ci continuent de se vérifier, et je devrais en avoir la confirmation dans quelques minutes, Pénélope sera prise de remords d'ici peu et jeudi, deen attendant l'avion, m'annoncera, la bouche en cœur,que finalement elle ne veut plus de moi, et tout ça pour ne pas remettre en cause mon amour pour Chantal. Tout ca est bien compliqué. Est-ce que je n'étais pas plus heureux, plus tranquille en tout cas, il y une semaine quand j'étais encore un petit puceau ridicule, alors que aujourd'hui, j'ai couché avec trois nanas, superbes, chacune dans son genre, qui, , pourrait devenir sans difficulté la femme de ma vie, et je ne sais plus où j'en suis. J'en suis là de mes réflexions quand je vois sortir du cabinet, le visage rubicond et décomposé, un autre des participants à ce voyage que je n'ai pas identifié, et que mon nom est appelé par un haut-parleur. Je sens mes jambes qui tremblent alors que je me dirige vers le cabinet médical qui m'a été désigné.Une romance imprévue - 107Le cœur battant la chamade et une énorme boule dans la gorge, les jambes agitées d'un léger tremblement que j'espère pouvoir contrôler, j'entre dans le cabinet du Dr Bernard. Je constate que, malgré tous les jeux où Chantal et Solange m'ont examiné, malgré les assurances de Chantal comme quoi je n'ai rien et les résultats en ce sens de la prise de sang que ma copine m'a fait subir et malgré la pilule bleue qu'elle m'a fait prendre ce matin, je reste toujours dans le même état quand je franchis la porte d'un cabinet médical. Il faut reconnaitre que j'ai un motif supplémentaire d'anxiété par rapport à mes visites médicales précédentes, je ne suis plus puceau et je me demande ce que je devrai(s) répondre à la doctoresse quand elle m'interrogera sur ma vie sexuelle, ce qui ne manquera pas d'arriver d'après les confidences que m'ont faites Pénélope et l'étudiant en cinéma. Enfin, je suis préoccupé de savoir si ma première "vision" va continuer à se réaliser, ce qui laisserait supposer que les autres prédictions vont également devenir réalité, aussi bien mon "larguage" par Pénélope dans trois jours, que les visites médicales hebdomadaires de ma famille d'accueil en Californie.Le docteur Bernard m'accueille, assise derrière un lourd bureau, chargé d'un joyeux désordre de papiers divers. Comme dans ma vision, je suis frappé par le physique de la femme, dont j'ai dit la ressemblance avec Marina Vlady. Elle a un corps splendide et un visage d'une grande douceur. Son allure générale et sa blondeur de beauté "russe" correspondent à mes fantasmes de fille idéale de type scandinave. Je trouve que son chignon compliqué accentue encore sa classe. J'ai en général beaucoup de mal à donner un âge aux gens, mais je pense que la doctoresse doit avoir autour de quarante ans. Tout cela devrait plutôt me mettre en confiance, mais ce n'est pas le cas. Marina Vlady, donc, m'invite à m'assoir sur le fauteuil qui fait face au bureau. Elle ne peux pas ne pas voir que je suis complétement paniqué. Elle m'accueille par ces paroles: "Tu viens aussi pour ce séjour en Californie, tu as bien de la chance….Je te trouve bien nerveux,....ne t'inquiête pas,...c'est juste une petite visite médicale de routine,...." J'essaie de lui expliquer que je souffre de cette phobie de tout ce qui est médical depuis que je suis tout petit". La doctoresse m'assure qu'elle va s'efforcer de "ne pas trop m'embêter", mais me déclare froidement:: "Ce serait peut-être bien de voir un psy pour ton problème….Ils sont là pour aider, tu sais", puis elle ajoute: "Sans violer le secret médical, je peux te dire que j'ai vu tout à l'heure une jeune fille de votre groupe, très brillante par ailleurs, qui a le même problème que toi". Je suppose que la doctoresse veut parler de Pénélope, et je me sens un peu gêné pour elle et pour nous deux.La toubib m'ordonne alors de me déshabiller. Elle précise ''entierement''. je me souviens que Pénélope avait été mortifiée de devoir ôter sa culotte dès le début de la visite. Pendant que je retire mes vêtements, Marina me pose les questions habituelles de ce genre d'examen, mon âge, mon poids, ma taille, mes études, mes problèmes médicaux éventuels (il n'y en a pas), si je fais du sport. Comme je réponds "non" à cette question, Marina estime: "cela te ferait peut-être du bien pour ta nervosité de faire un sport". A ce stade, elle ne me pose pas de questions intimes, sur ma vie sexuelle ou autre, je présume que je ne perds rien pour attendre. Je retire mon slip. Je constaté que mon pénis est minuscule et que je dois être ridicule. L'étudiant en cinéma vient de me dire que la doctoresse l'a enguellé parce qu'il bandait. Lorsque je suis nu, Marina se lève de son siège et vient se placer debout face à moi. Elle m'observe, completement nu donc. Je me sens très gêné,. Après quelques instants, la doctoresse rend son verdict: "Tu ne devrais pas avoir de problème avec ton corps; je pense que tu sais que tu es plutôt mignon. Tu fais plus jeune que ton âge, si je ne savais pas que tu as vingt ans, je t'en donnerais dix-huit ou seize". Ses mains se posent sur mon ventre;, palpe mon abdomen, je suis de plus en plus gêné et Marina s'en rend compte. "Tu n'est pas très musclé" commente-t-elle . Elle ajoute avec un sourire ambigu; "Je sens que tu as la peau douce,...Avec tes airs de grand timide, tu dois avoir pas mal de succès avec les filles…."Marina m'examine rapidement la gorge, puis elle chausse son stéthoscope et place le petit disque froid sur différents endroits de mon thorax. Elle me donne ses instructions d'une voix douce. Le contact de ses doigts sur ma poitrine est également très doux. Cela contribue à me calmer partiellement. Ayant trouvé un point qui la satisfait, elle maintient le disque de son appareil dessus pendant un temps qui me parait très loin. Pendant qu'elle écoute mon cœur, je repense avec émotion à Chantal qui m'a fait écouter mon cœur il y a tout juste une semaine. Marina n'aura pas le même geste. Je réalise que je suis maintenant au moment où commençais ma première vision. Après avoir écouté cet endroit précis de ma poitrine, la doctoresse me déclare, comme dans ma vision, "ton cœur bat beaucoup trop vite", je lui réponds que j'ai ce même problème à toutes les visites médicales. "ce serait sans doute bien de faire un électrocardiogramme" décrète la toubib. Marina m'ordonne ensuite de me retourner pour ausculter mes poumons. Comme d'habitude, j'aborde cette partie de l'examen avec une relative sérénité puisque je peux déclarer sans mentir que je ne fume pas, alors que le médecin me recommande formellement de ne pas fumer, ne serait-ce qu'en raison de ma nervosité. L'examen du cœur et des poumons étant terminé, Marina me demande lui faire à nouveau face. Elle-même se saisit d'un tabouret qui se trouve là, s'y assoie. Elle me fait signe de m'approcher d'elle. Mon bas-ventre se trouve maintenant au niveau de la tête de la femme. Je sais ce qui va se passer et mon rythme cardiaque s'accélère à cette pensée.Une romance imprévue - 108Alors que Marina Vlady, puisque je l'appelle comme ça, palpe mon bas-ventre juste au dessus du pénis., je me dis que le moment que je crains le plus est proche. Et, en effet, a ce moment, la toubib, saisit mon pénis rabougri. Le battement de mon cœur accélère encore. Je me sens complétement ridicule, Il me semble qu'un garçon normal de mon âge, même puceau, devrait bander comme un âne devant cette femme désirable, d'autant que Marina Vlady, assise sur ce tabouret, avec sa blouse blanche ouverte, en jupe courte comme toutes les femmes à cette époque, laisse voir des cuisses bronzées qui, malgré mon état, ne me laissent pas indifférent Je me souviens qu'une heure plus tôt, quand la petite Pénélope m'a baissé mon slip, j'affichais une érection tout à fait respectable. Après une pause de quelques instants, j'entends Marina Vlady déclarer: "Ah, voila un garçon bien élevé". Devant mon air ahuri, dont elle ne peut comprendre la raison profonde, c'est-à-dire le fait de voir ma "vision" est en train de se réaliser, la toubib précise: "Tes petits camarades ont trouvé malin de se présenter devant moi avec leur sexe en érection, ils bandaient,...toi, tu sais te tenir en société et te contrôler, ...c'est bien".Je suis vraiment surpris de la réaction de la toubib, il me semble qu'en tant que médecin, elle devrait comprendre que c'est ma nervosité qui m'empêche de "bander" comme mes camarades. Ou bien, elle se fout joyeusement de moi. La toubib fait sauter ma verge entre ses doigts. Dans un premier temps, elle la soulève contre mon pubis, puis la laisse retomber. C'est la première fois que l'on me fait ça dans ce genre d'examen. Je me sens de plus en plus gêné. Marina prend ensuite mon sexe dans sa main pour le décalotter à plusieurs reprises. Le contact des doigts agiles de la doctoresse sur mon sexe n'est pas si désagréable, même si la sensation n'a rien à voir avec celle que j'ai ressentie quand c'était mes "amantes" qui manipulaient ma queue. Marina examine ensuite longuement le gland alors que je suis toujours aussi mal à l'aise. A mon relatif soulagement, elle finit par laisser mon pénis à son triste sort pour s'intéresser à mes testicules. La toubib soupèse mes petites couilles, puis les fait rouler entre ses doigts, puis les palpe longuement. Le contact des mains de la toubib reste excitant, mais sans comparaison avec celui de mes copines lors de nos jeux érotiques, et ne provoque pas le moindre début d'érection. Je crois que mon appareil génital n'a jamais été examiné avec autant d'attention. Je me demande bêtement si la toubib peut voir (comment ?) que ce dernier n'a pas chômé ces dernier jours. J'ai rapidement la réponse à ma question stupide, lorsque, s'estimant satisfaite de son examen, la toubib abandonne mes organes sexuels et décrète: "Tout est parfaitement normal" puis,, levant la tète et me regardant dans les yeux, m'interroge: "Est-ce-que tu es vierge ?" En petit mâle satisfait de mes récents coïts avec Chantal, Solange et Pénélope, je me sens un peu vexé et je réponds fermement "non". La doctoresse en reste là, pour l'instant. Après une brève pause, la femme déclare: "la visite est presque finie, mais je dois encore te prendre la température,...mets-toi sur le ventre sur le lit d'examen".Obéissant à la femme, je me place sur le ventre sur le lit d'examen, soulagé que la toubib ne m'impose pas pour cette prise de température la "diaper change position" que semblent affectionner certains de ses confrères, mais ne pouvant me départir d'un certain sentiment d'humiliation à l'idée de me trouver, dans quelques instants, avec un thermomètre dans le cul comme un bébé. Je constate que me première vision s'est réalisée, au geste près, au mot près prononcé par la doctoresse, et cela m'affole un peu. Je me dis que je dois donc logiquement m'attendre à ce que Pénélope me largue jeudi comme une vieille chaussette et à me retrouver en Californie pour un mois dans une famille adepte du medfet et des thermomètres. Ce voyage, dont je me faisais une joie, deviendra-t-il un enfer, mais peut-être que cet enfer se transformera finalement en une sorte de paradis, avec trois, pour ne pas dire quatre, nanas à mes pieds. Wait and see, comme on dit….J'en suis là de mes réflexions quand je réalise que Marina Vlady m'écarte, avec sa fermeté qui n'exclue pas une certaine douceur, les fesses. Elle mate un instant mon cul, auquel elle aura épargné les compliments que lui ont adressés ces derniers jours la gente féminine, y compris mes copines. Je sens la pointe du thermomètre qui se glisse entre mes fesses, trouve l'anus, force le sphincter, puis s'enfonce au plus profond de mon rectum.Me retrouver à vingt ans avec ce thermomètre dans le cul, c'est pour moi le comble de l'humiliation, mais quelque part, c'est si bon.........

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clyso Il ya 5 ans  
arthur Il ya 5 ans