Vues: 417 Created: 2017.04.30 Mis à jour: 2017.04.30

Mona et Janig

Chapitre 4

Mona et Janig… (4)

Mona se prend une douche et nous quitte pour aller bosser, je reste un instant discuter avec Janig avant d'y aller à mon tour, elle a juste le temps de me faire la confidence sur le trouble qui l'habite, jamais elle ne se serait crue capable de faire ce qu'elle a fait avec Mona, elle pense que c'est dû à la quantité de bière de hier soir, elle était sous l'effet de l'alcool encore ce matin, je lui rétorque avec un sourire en coin que Mona aussi sans doute, à moins qu'elle ne se cherche une excuse, elle me raconte brièvement avoir eu une discussion avec elle pendant que je dormais encore et que j'en étais le sujet, en autre, elles ont parlées de sexe aussi…

Elles s'étaient questionnées l'une et l'autre, laquelle m'aimait le plus, étais-je moi-même amoureux d'elles ou n'étais-je intéressé que par le sexe, d'ailleurs elles supposaient que comme tous les mecs cochons, j'avais le fantasme de les voir se gouiner devant moi et que c'était cela que je cherchais à leur faire goutter, du coup elles ont parlées de ce que j'aimais dans le sexe et de ce qu'elles ne faisaient pas, Mona lui à révélée les raisons de son dégout pour la fellation et Janig les siennes pour la sodomie, elles ont ris ensemble de leur complémentarité, l'une acceptant ce que l'autre refusait et réciproquement, elles se comprenaient…

Mona lui expliqua son rejet de la pipe en racontant brièvement sa première fois, c'était vers ses quinze ans, un voisin, homme plus âgé qui l'invitait parfois chez lui à regarder la télé en couleur parce que ses parents n'avaient qu'une vieille télé en bois noir et blanc, le gars lui passait des mains sous la jupe en chahutant avec elle et lui faisait un cadeau si elle se laissait faire, un jour qu'il avait passé ses doigts sous l'élastique de sa culotte et qu'il lui faisait du bien en lui caressant le minou et le petit trou, il lui avait demandé si elle avait déjà vue le zizi d'un homme, elle lui répondit que non en rougissant et il sortit sa verge de son pantalon…

Gênée mais curieuse, elle avait eu un petit sursaut d'inquiétude en voyant son long serpent de chair qui se redressait, l'homme l'avait autorisé à le toucher pour voir comment il était doux et dur, comme elle hésitait à lui tripoter l'engin, il lui prit la main et commença à lui expliquer comment faire, elle n'avait pas peur, l'homme était toujours doux avec elle quand il touchait la minette et le trou du derrière, d'ailleurs, c'était dans celui là qu'il avait déjà mit son doigt plusieurs fois et elle aimait bien ça, mais là c'était différent, elle savait par les copines à quoi ça servait ce truc tout dur et elle voulait rester vierge et ne pas tomber enceinte…

Ce sont les arguments qu'utilisa l'homme pour la convaincre que de jouer avec son bâton, était sans risque avec la main, les doigts mais aussi avec la bouche car c'était ce que voulait le vicieux, qu'elle lui fasse une pipe, chose dont les copines parlaient aussi parfois comme étant d'importance pour les gars, ainsi, après avoir caressé le membre de l'homme puis avoir fait glisser la peau qui recouvre le bout rouge, il l'a prit par les cheveux pour lui baisser la tête sur la bite, lui faisant comprendre qu'elle devait le prendre dans sa bouche, lune odeur désagréable lui sauta au nez, il sentait le pipi fortement et autre chose, il était sale…

Elle essaya bien de se reculer pour recracher la chose dégoutante mais il lui maintenait fortement la tête pour la faire aller et venir sur sa verge, de plus, il donnait des coups de reins pour bouger en elle, s'en servant comme d'un vagin en s'enfonçant jusqu'au fond de sa gorge, écœurée par le gout et l'odeur et ne pouvant plus respirer, elle avait faillit s'évanouir mais le plus terrible fût le moment où un liquide épais et visqueux au gout étrange se répandit dans sa bouche pendant que l'homme poussait des râles de bête, elle avait commencée à vomir en pleurant de douleur, de dégout et de honte, de déception aussi, amitié trahie par cet homme…

C'est ainsi que depuis elle avait refusée la fellation à tous les copains qu'elle avait eu, se contentant de les branler quand ils étaient trop insistant, par contre pour la sodomie, comme elle avait découvert qu'elle y prenait du plaisir avec un doigt du temps de son violeur de bouche, elle avait cédée au premier qui lui avait su lui donné du plaisir par là avec sa bouche, elle avait perdue sa virginité rectale avant la vaginale et depuis ne manquait jamais l'occasion d'offrir sa petite porte à celui qui voulait y entrer, elle faisait ce qu'il fallait pour être toujours propre et vide et avait proposée à Janig d'essayer le lavement au moins une fois avant la sodo…

Janig comprenait maintenant le refus de Mona à sucer une queue mais ne désespérait pas de lui apprendre à faire agréablement la chose avec un gars respectueux comme moi, elle qui aimait tellement ce pouvoir de faire jouir un homme avec la bouche, elle qui avait commencée à sucer à quatorze ans, un ami de la famille plus âgé, et cela c'était très bien passé, une verge propre et pas trop grosse, un bon initiateur à la semence plaisante de gout et de quantité, elle aimait recevoir le sperme en bouche, sur le visage, sur les seins, dans une main en coupe pour s'en régaler en lapant, se faire arroser la raie des fesses et l'anus en levrette…

Autant elle pouvait prendre son temps pour faire une fellation admirable, qu'elle savait vider les couilles d'un gars en deux temps trois mouvements, au Lycée, certains l'avaient surnommée la Reine de la Pipe, ce qui rendait les autres filles folles de jalousie, retour de bâton, elles la surnommaient la Reine des Salopes bien que Janig ne soit pas une "Marie couche-toi là", se contentant de pomper les gars qu'elle trouvait sympa ou ceux qu'elle voulait pousser aux confidences sur les autres filles et leurs vices cachés, elle qui ne pratiquait pas, connaissait les noms de celles qui se faisaient sodomiser dans les wc du Lycée, ça les tenait à distance..

Janig, en échange des confidences de Mona, lui avait donnée les raisons de son refus de la sodomie, depuis ses premières règles survenues à douze ans, elle souffrait d'un mauvais transit et de constipations douloureuses à évacuer, restant parfois plusieurs jour sans évacuer et quand elle y arrivait, cela lui déchirait le rectum et les sphincters, elle se demandait alors comment les filles sodomites pouvaient supporter que quelque chose rentre par là alors que pour elle c'était si douloureux à faire sortir, elle avait bien essayée avec un doigt savonneux sous la douche mais cela lui avait plus irritée l'anus qu'autre chose, elle en souffrait…

Très gênée, elle avait bien essayée de parler de son problème avec sa mère mais celle-ci, ancienne égérie de Dany le Rouge devenue acariâtre en apprenant chez qui il avait prit sa carte après les évènements, sa mère avait éludée le sujet en l'envoyant à la pharmacie acheter un sirop et des suppositoires laxatifs, mal conseillée, elle avait prit du sirop et s'était introduit un suppo avant aller en cours ce qui avait eu pour résultat de la déboucher à un mauvais moment, sans couche culotte et trop loin des wc, la honte de sa vie, un "Dégagé Avancé" comme on dit dans l'armée mais impromptu celui-là, en jupe ce jour là, elle avait fait le "petit poucet" jusqu'aux cabinets, et un nouveau surnom…

Quand elle en parla à sa grand-mère, celle-ci lui proposa un lavement traditionnel au broc d'un litre d'eau froide et savon, une espèce de torture ancestrale issue de l'inquisition Anglaise, Jeanne d'Arc en aurait reçue plusieurs lui affirma la grand-mère pour la convaincre ce qui fit répondre à Janig que ça ne l'avait pas sauvée, mais la vieille dame ne connaissait pas autre chose et Janig non plus, sa souffrance fût à la mesure de la grosse canule de bakélite introduite dans son anus sans pommade et de la quantité de liquide injectée, en plus des crampes douloureuses, chez Mémé, les cabinets étaient au fond du jardin, long chemin de croix…

Mona, en entendant l'histoire de Janig, eu l'air prise compassion et lui proposa d'essayer sa méthode douce plus tard et pourquoi pas, lui faire connaître le plaisir anal avec moi après quelques conseils de sa part, une certaine complicité prenait forme entre mes deux copines, elles s'étaient embrassées avant que je me lève pour le petit dèj et avaient même fait pipi ensemble sans s'essuyer, pour faire plaisir à leur gros cochon avait dit Janig en rigolant, cela expliquait le parfum de leur vulve au broutage ce matin, avant que je parte au travail, Janig me roula un patin en me disant qu'elle était folle, folle de moi et folle de nous trois…

A SUIVRE…

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arthur Il ya 7 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
arthur Il ya 7 ans  
mondoi Il ya 7 ans  
clyso Il ya 7 ans  
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