Glafritte


Vues: 915 Created: 2015.02.04 Mis à jour: 2015.02.04

Danièle et Catherine

Chapitre 3

Douce nuit pour la petite Danièle, encore dans les songes de sa découverte du plaisir procuré par ce nouveau sous-vêtement. Intriguée aussi par le fait que son amie en portait depuis si longtemps sans qu'elle n'ait jamais rien remarqué. Elle se leva pensive puis prit son café vêtue de sa chemise de nuit transparente qui laissait percevoir ses dessous. Cette journée sans école lui permettait de corriger ses copies. Elle s'attela à cette tâche mais son esprit demeurait ailleurs. Elle était bel et bien décidée à renouveler l’expérience de porter une couche... Honteuse, elle n'osa pas demander à Catherine de lui en donner, et se décida à en acheter elle-même. Danièle ôte sa culotte et sa chemise de nuit et file sous la douche avant d'attraper une parure de dessous et une paire de bas. Maquillée, parfumée, et vêtue de la première robe de son placard, elle file dans sa voiture pour acheter un paquet de changes. Par soucis d'être reconnue, elle s'éloigne d'une trentaine de kilomètres dans une petite commune où se trouve un magasin de matériel médical. Nerveuse et tremblotante au plus haut point, elle pousse la porte du magasin et se dirige vers le rayon des couches. Une vendeuse l'aborde et lui propose son aide pour le choix. Changes de nuit, de jour, la taille … Danièle opte pour un modèle de jour car plus discret, puis s'empare aussi d'un paquet de changes à forte absorption. Danièle dans un coup de folie, interroge la vendeuse sans lui cacher que ces couches étaient pour elle... Quel frisson, quelle excitation. Les deux paquets payés, Danièle remonte dans sa voiture heureuse comme une enfant à noël. Son envie de mettre une couche était si forte qu'elle ouvrit un paquet, se saisit d'un change et le mit dans son sac à main. Direction le centre commercial, elle se précipite vers les toilettes publiques. Enfermée dans sa cabine, elle entend que d'autres personnes sont dans les toilettes. Peu importe le bruit, Danièle déplie sa couche et descend sa culotte sur ses chevilles. Elle pose le devant de sa couche sur son pubis tout en soulevant sa robe. De l'autre main, elle replie son nouveau sous vêtement sur ses fesses. Mettre une couche dans ces conditions n'est pas aisé mais Danièle y parvint de ses mains tremblantes par l'excitation, le crissement de la couche et des scotchs perceptibles dans toutes les toilettes. Le change ajusté, elle remonta sa culotte qui maintenait sa couche en place, laquelle se voyait à travers la dentelle rouge. Danièle sortit de la cabine, 3 femmes la regardèrent discrètement mais d'un œil interrogatif. Elle était heureuse de porter sa couche, et fit un sourire léger aux autre femmes avant de quitter doucement les toilettes de sa démarche onctueuse, les fesses couvertes de sa couche qui ne se voyait absolument pas malgré son épaisseur.

Tant qu'à être dans le centre commercial, autant en profiter pour faire quelques achats. Le magasin de lingerie n'attendait qu'elle. Elle y choisit une guêpière puis une jolie parure noire. Par précaution, Danièle demanda à la vendeuse à essayer ces merveilles qu'elle venait de trouver. Dans la cabine d'essayage, elle se déshabilla sans peur, fière d'assumer de porter une couche au cas où quelqu'un la verrait ainsi. Elle se trouva donc en culotte, soutien gorge et bas, perchée sur ses escarpins noirs. Le miroir lui ft prendre conscience de son joli corps vêtu de sa couche dissimulée médiocrement par sa petite culotte. Elle prit un plaisir énorme en lâchant un premier jet dans la ouate de sa couche propre. Essayage terminé, Danièle repartit avec ses achats et traîna dans la galerie marchande en prenant soin de ne retenir aucune miction. Quel confort dans cette couche se disait Danièle ! Nul besoin de courir après les toilettes publiques souvent sales. Elle apprit à apprécier sa couche et ses bienfaits, son côté pratique, et même son aspect érotique pour s'être masturbée dedans l'autre jour. Danièle, de sa démarche élégante, déambulait dans la galerie marchande en assumant son nouveau sous vêtement qui faisait un doux bruit à chaque pas en même temps que claquaient ses escarpins sur le sol. Beaucoup d'hommes se retournaient pour regarder les fesses et les jolies jambes de Danièle sans jamais soupçonner que cette déesse de l'élégance portait sous sa robe, une couche qu'elle prenait plaisir à souiller de ses mictions à l'insu de tous. De retour chez elle, Danièle dissimula ses paquets de couches dans des sacs, dans le coffre de sa voiture. Son mari n'y regardant jamais. Voici son nouveau jardin secret qu'il lui faudra tôt ou tard dévoiler à son cher et tendre époux.

Notre belle professeure de lettres de retour chez elle, poursuivit la correction de ses copies. L'esprit à la fois pris par l'excitation de porter librement sa couche et de pouvoir se laisser aller dedans sans avoir à se lever, mais aussi prise par l'inconnu... Son mari ignorant ce penchant certes innocent, comment réagirait-il ? Danièle allait-elle devoir vivre ce secret sans la complicité de son mari ? Où et comment cacher ses changes ? Pour l'instant, les fesses douces de Danièle étaient bien enveloppées de ouate qui lui procurait mille sensations nouvelles. Ce plaisir, elle n'était pas prête à y renoncer. Son stylo de la main droite, sa main gauche s'aventurait d'elle même vers le plastique crissant du change. Ainsi la concentration sur les copies devenait impossible, le plaisir de porter la couche devenait envahissant, oppressant. Femme sage mais humaine avant tout, elle se laisse aller vers ses instincts érotiques et court vers la chambre où, allongée sur le lit conjugal, elle descend frénétiquement sa culotte le long de ses jambes nylonées et écartées, et plonge une main dans sa couche très humide et chaude. En moins de trente secondes, un tsunami orgasmique vint terrasser l'enseignante si bien élevée. Danièle est foudroyée par le plaisir. Encore la main dans la couche, elle reprend ses esprit en quelques minutes avant de réajuster sa culotte qui pendait sur le talon des ses escarpins.

C'est ainsi que jours après jours, Danièle revêtait ses couches en secret avec la seule complicité de Catherine, laquelle réussit à convaincre notre nouvelle adepte des couches d'en porter lors de son travail.

Catherine porte ses couches régulièrement lorsqu'elle donne ses cours, Danièle n'y était pas encore prête. Cependant après des semaines de pratique lors de shopping et sorties, Danièle finit par se lancer.

Expérience sensationnelle de porter sa protection en faisant ses cours, y trouvant même une nouvelle inspiration.

Elle prit un plaisir immense à faire ses cours avec sa couche sous ses vêtements très bcbg, tout en faisant attention aux téléphones portables photographes qui avaient publié sur des réseaux sociaux des photos des jarretelles sous sa jupe il y a quelques années... Expérience que l’intéressée voulait à tout prix éviter de réitérer même si son physique parfait arrivait à sublimer l'excitation latente de ses élèves, et malgré l'excitation, la convoitise, et les érections diverses de ses élèves et collègues qu'elle procurait malgré elle. Sans doute avait-elle été à l'origine de quelques litres de sperme déversés par la gente masculine.

Forte de cette expérience de sous-vêtements en soie dévoilés, Danièle franchit le pas malgré tout, son goût pour ses nouveaux dessous étant plus fort, elle releva le défi, semaine après semaine, sans incident. Jour après jours elle souillait ses petites couches parfois masquées de ses culottes. Selon le temps, son envie, ses goût, Danièle composait sa journée de belle femme mature, prof de lettres en couches sous sa tenue ô combien élégante et ses dessous qui l'étaient tout autant... mais encore à l'insu de son tendre époux.

En ce mois de mars, les examens blancs arrivent. Danièle se préparait à corriger de multiples copies mais surtout à passer de longues heures à surveiller des classes entières d'élèves bûchant sur des sujets divers et variés. L'occasion pour notre jolie prof de profiter pleinement de ses nouvelles couches. Pendant une semaine, Danièle se prépare donc tous les matins à ces épreuves longues de 4 heures le matin et 4 heures les après midi. Les couches lui auront facilité la tâche car elle parvint à rester tout ce temps dans la classe sans s'absenter de la classe. Il lui suffisait d'utiliser ses couches et rester à surveiller ses élèves. Elle s'amusait du crissement provoqué par sa couche contre ses fonds de robe et ses jupons, en passant entre les rangs des élèves qui, occupés sur leurs copies ne remarquaient rien alors que leur jolie professeure urinait dans ses couches pendant qu'elle marchait d'un pas lent à leurs côtés...

L'examen blanc terminé, les copies rangées, Danielle se dirige vers la sortie du lycée. Sa couche est lourde et souillée de sa journée. Heureusement que le modèle nuit est assez absorbant car elle craignait une fuite en s'asseyant à table à midi avec ses collègues. Rien n'était apparu. Elle prit place dans sa voiture. Elle sentait bien l'humidité de son change qui commençait à saturer, il lui fallait rentrer pour se changer.

Vêtements enlevés, elle déambulât dans la maison en talons aiguilles, bas et lingerie fine en savourant le contact de sa couche sur elle. Quelle merveilleuse journée que celle d'aujourd'hui. Danièle était fière d'avoir portée sa couche toute la journée et d'avoir pissé dedans à l'insu de tout le monde, en parlant à ses collègues, en mangeant à midi, et en surveillant ses élèves... Rien ne semblait avoir alerté son entourage sur la nature de ses nouveaux dessous ouatés et plastifiés. Longtemps elle avait hésité à porter ses couches au travail, mais cette nouvelle journée fut si concluante qu'il lui était devenu indispensable de réitérer l’expérience au point qu'elle décidât d'en porter au quotidien.

D'ailleurs, avant d'ôter sa protection, Danièle ne manquât pas de se masturber la main entre sa couche pleine d'urine de la journée et sa fine culotte en dentelle et en soie. L'orgasme ainsi atteint la terrassa immédiatement, ses jarretelles sous sa jupe en étaient les témoins.

La couche était devenue pour Danielle un nouveau mode de vie, mais il lui fallait aller plus loin. Son imagination plus que fertile lui faisant imaginer mille scenarii, il lui fallait franchir le pas et passer à l'étape supérieure.