Vues: 1015 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2020.12.13

Une romance imprévue

Chapitre 30

Une romance imprévue 117

Je n'aime pas le mot "enculer", je le trouve vulgaire, je préfère dire "sodomiser". J'apprécie assez le terme "orifice garçonnier". Mon esprit se perd dans cette réflexion "sémantique" alors que Chantal vient de nous inviter à passer à l'ultime étape de son programme pour cette après-midi. Solange et moi sommes allongés sur le côté, face à face, récupérant encore de notre "baise" normale d'il y a quelques minutes. Solange affiche un visage épanoui: "Tu sais, j'ai regretté qu'on ait pas pu le faire dimanche, je crois que c'est ce que je préfère dans la baise, se prendre une queue dans le cul, pour moi c'est quelque chose de tellement intime". Malgré la présence de sa sœur, elle me dit: "Je crois qu'il y quelque chose de très profond entre toi et moi, d'ailleurs tu as remarqué que les visions que j'ai provoquées chez toi sont en train de se réaliser, c'est la première fois que cela arrive de manière aussi nette… et puis on se ressemble tellement tous les deux, pas seulement les yeux, mais aussi l'allure générale, on est tous les deux maigres comme des clous, on pourrait être suédois, ou encore mieux islandais …". Se disant, elle approche son visage du mien et me donne un baiser d'une rare sensualité, qu'elle semble vouloir prolonger au delà du raisonnable, ou du moins de ce que sa sœur considère comme tel. Chantal en effet montre des signes d'impatience. "Dites, les amoureux, ca suffit le bécotage,...il faudrait peut-être vous bouger un peu,...Solange, s'il te plait, mets toi sur le ventre que Honey puisse préparer ton petit cul à ses assauts virils, puisque je pense qu'il ne va pas te défoncer ton petit cul comme un sauvage….je crois d'ailleurs que je lui ai un peu appris.." Même si nous n'apprécions pas tellement le côté "bossy" que prend parfois, souvent, Chantal, Solange et moi finissons par interrompre notre baiser ardent et nous conformer aux "recommandations" de la doctoresse. Solange se met sur le ventre, dans cette position qui me trouble tant, où la cascade de ses cheveux blonds recouvre largement son dos et qui révèle ses pettes fesses osseuses, qui me troublent au plus haut point, mais que la jeune fille n'aime pas, comme elle le souligne une fois encore aujourd'hui; "Je t'ai déjà dit que j'ai des fesses de petits garçon" Elle ajoute en souriant: "C'est presque inquiétant qu'elles t'excitent...et ne nous refais pas ton coup du" fishing for compliments". Je reste sans voix, mais mon rythme cardiaque s'accélère et mon érection se renforce encore . Reprenant son reportage de cette journée, Chantal prend une première photo alors que mes mains se portent sur les fesses de Solange, que je continue de trouver charmantes.

Les fesses de Solange sont fermes, mais leur peau est d'un douceur infinie. Je les écarte avec toute la délicatesse dont je suis capable, révèlant ainsi la petite corolle de son anus, qui me semble minuscule. L'idée, triviale, qui me vient est que mon pénis ne pourra jamais forcer ce passage. A ce moment, la sœur de Chantal semble comme sa soeur, une fois de plus lire dans mes pensées et me dit: "Si tu as peur que ta queue ne puisse pas pénétrer mon petit cul, sache que j'en ai accueilli de plus grosses que la tienne, mon petit Honey". Bien que je ne crois pas placer mon amour-propre à ce niveau, je me sens un peu vexé par la remarque de la blonde enfant. Chantal rigole carrément. Je me souviens maintenant que nous avions eu presque le même dialogue quand elle m'a invité à l'enculer pour la première fois il y a tout juste une semaine, sur la terrasse au dessus de l 'appartement où nous nous trouvons. Il n'empêche, l'anus de Solange me semble nettement plus étroit que celui de sa sœur. Pour l'heure, je m'efforce de mettre en œuvre les quelques leçons que m'a apprises Chantal pour la circonstance. Mes doigts, puis ma langue caressent la région anale de la jeune fille qui semble réagir de façon positive à mes efforts. Je parviens à glisser un doigt, puis deux dans le rectum de la jeune fille. Solange est au bord de l'extase quand mes doigts s'agissent convulsivement dans son intimité anale La jeune fille semble prête. C'est alors que Solange intervient pour faire une requête sur la manière de laquelle les choses vont se passer. " Je veux bien que tu m'encules et je pense que ce sera merveilleux, pour toi et pour moi, même si cela doit me faire, un peu, mal, mais je dois te dire que je ne veux pas que tu me prennes comme une chienne, en t'agitant sur moi. Je veux que tu vois mon visage, et que je vois le tien quand tu me prendras le cul….je veux être dans la même position que quand tu m'a pris la température,...je pense que cela ne change pas grand'chose pour la pénétration, c'est peut-être même plus facile". Solange me tient ce discours alors que mes doigts s'agîtent dans son rectum, lui donnant un avant-goût de ce qui l'attend. Je ne voie pas comment m'opposer à la requête de Solange, même cela aurait peut-être été plus "excitant" pour moi de la prendre par derrière, ce que Chantal a accepté de bonne grâce me semble-t-il. Je retire un instant mes doigts de l'intimité de la jeune fille pour que nous puissions nous installer.

Solange se place donc, exactement dans la diaper change position de la prise de température qu'elle a adoptée tout à l'heure. Elle replie le plus possible ses jambes fines sur sa poitrine, puis les écarte, également à leur maximum; Sa chatte et sa toison blonde parfaitement visibles ne peuvent que me troubler et contribuer à maintenir la vigueur de mon érection. Je me place donc sur Solange et une nouvelle fois, c'est elle qui prend en main mon pénis pour le guider. Mes caresses, malgré leur caractère maladroit, et le position que la jeune fille a souhaité adopter facilitent sans doute la pénétration, mais si celle-ci est difficile pour moi et douloureuse pour la jeune fille. Néanmoins, en mobilisant toutes mes forces, déjà mises à mal par les précédents exercices de cette après-midi, mon pénis pénètre en plusieurs étapes le rectum de Solange. Cette dernière hurle dans un premier temps sa douleur. Cependant, elle m'encourage, dans les termes les plus crus, à poursuivre mes efforts: "Encule moi, j'adore sentir ta grosse bite dans mon petit cul,....C'est si bon, même si tu me fais vachement mal…" Lorsque mon pénis a entièrement investi le fourreau du rectum, j'entame de petits mouvements de va-et-viens, qui ne peuvent pas avoir l'ampleur de ceux d'un coit normal . Solange, dégoulinant de sueur, apprivoise en quelque sorte la douleur que je lui inflige et me supplie de continuer mes mouvements. "Tu me fais mal, très mal, gémit-elle, mais c'est si bon, continue, je t'en prie", "encule moi, mon amour,... ". La sensation est pour moi extraordinaire, indescriptible. Contre ma volonté, je me mets à faire des comparaison: "Est ce que ce n'est pas mieux qu'avec Chantal" Et c'est à ce moment, que ma chère Chantal, justement, se rappelle à mon bon souvenir, en m'écartant les fesses avec fermeté, puis en m'enfonçant avec vigueur son thermomètre dans mon propre rectum. L'instrument s'agite rapidement au diaphason de mes propres mouvements. Comme tout à l'heure, je suis en sandwich entre mes deux amantes et c'est là une sensation encore plus exceptionnelle. "Là, tu fais l'amour avec nous deux en même temps" observe Chantal avec une pointe d'amertume dans la voix. Entre deux gémissements qui mêlent la douleur et le plaisir, Solange m'annonce qu'elle va jouir avant moi, et l'instant d'après, je sens tout son corps qui se crispe en un formidable orgasme. Je me laisse alors aller et c'est mon propre corps qui est pris d'un véritable spasme, lequel ne peut qu'être accentué par les mouvements, aussi savants que pervers, du thermomètre manié par Chantal, qui pénètre en cadence mes entrailles. J'expulse ma semence en jets successifs dans l'intimité rectale de la jeune fille, alors que je jouis comme j'ai rarement joui. Même si la blonde enfant ne me fait pas bénéficier de son super-orgasme, j'ai cette étrange sensation de me noyer dans ses yeux alors que je les fixe avec intensité. Mon pénis se retire lentement. Nous nous effondrons l'un sur l'autre et mettons plusieurs minutes pour récupérer. Chantal, qui a récupéré son thermomètre juste après mon orgasme, ne peut résister à la tentation de vérifier les battements de nos cœurs en nous auscultant une dernière fois. Je me laisse faire avec le sentiment que je viens quand même de tromper un peu ma copine. Solange me gratifie d'un nouveau baiser profond, tendre et sensuel, pour me remercier.

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Allongés côte à côte en nous tenant chastement par la main, nous récupérons, Solange et moi, de notre après-midi érotique. Chantal termine sa quatrième bobine de 36 poses de Tri-X Kodak de la journée avec quelques photos, qui se prétendent romantiques, de notre "petit couple si mignon". Ma copine me lance avec son sourire le plus charmeur: "Entre les photos de notre week-end en Alsace et celles qu'on vient de faire, tu vas avoir un travail dingue pour développer et tirer tout ça en septembre, mon petit Honey, et il y aura en plus tes photos que tu feras en Californie,...et n'oublie pas, je veux des photos explicites de toutes les filles que tu sauteras,...je ne te passe pas le Leica pour rien." Je proteste mollement: "Et s'il n'y en avait pas, si je te, je vous restais fidèle,...ce ne serait pas si difficile pour le petit quasi-puceau que je suis,....et puis les filles de ma famille seront peut-être des puritaines complètement coincées…". Solange intervient: "Ce n'est pas ce que ta troisième vision semblait indiquer,...et en tant que médecins toutes les deux,... vous oubliez tout le temps, tous les deux, que j'entre quand même en sixième année,.... nous serons très intéressés par un reportage de la visite médicale à l'américaine que devrait te faire passer la maitresse de maison,...pas vrai, Chantal ?" J'interviens à nouveau dans la conversation: "Pour ca, ce n'est pas un Leica qu'il me faudrait, mais un Minox ( note de l'auteur: appareil photo miniature utilisé entre autres par les espions dans les années 1950 à1970), je me voie mal demander à mes hôtes de me laisser photographier leurs jeux tordus".

Une cloche, que je reconnais pour l'avoir entendue il y a juste une semaine avec Chantal, interrompt cette discussion. Solange se rappelle tout à coup qu'elle doit prendre son train dans une demi-heure. Nous nous rhabillons prestement et reprenons la Mustang. Dans ce Paris quasi-désert de fin juillet, nous rejoignons la gare de l'Est en moins de dix minutes. Alors que, sur le quai, nous atteignons le train de Solange, un bruit stridant se fait entendre, c'est le beeper de Chantal qui lui indique la nécessité de joindre un correspondant. Ma copine nous laisse pour chercher un téléphone.( note de l'auteur: nous sommes en 1972 et les téléphones portables n'existent pas. Les beepers permettent de joindre quelqu'un en cas d'urgence). Solange en profite pour m'embrasser avec fougue. Après cette étreinte, la jeune fille me murmure à l'oreille: "C'était vraiment super,...surtout la fin,... tu sais, je crois qu'on ne m'a jamais si bien enculée,...et toi, j'ai l'impression que tu as aimé aussi,non...c'est moi, la fille pour toi,...ne vas pas gâcher ta vie avec cette grosse vache de Chantal". Je me sens un peu gêné face à ce serment et à ce commentaire peu amène pour celle qui est quand même ma copine. Chantal nous rejoint au moment où Solange monte dans son train. Nous reprenons la Mustang pour rentrer au cabinet de Chantal. Je savoure le fait de retrouver la place avant que Solange avait monopolisée. Chantal m'indique qu'elle ne pourra pas me déposer chez moi, parce qu'elle doit s'occuper d'une de ses patientes, hospitalisée en urgence, c'était la raison de l'appel par le beeper il y a quelques minutes. La jeune femme fonce dans les rues de Paris. "C'est ca que je déteste dans ce métier, dit-elle, devoir gérer les urgences, même dans un cabinet de généraliste a priori tranquille".

Chantal change de sujet: "Je crois que Solange t'aime vraiment beaucoup, tu t'en rends quand même compte, elle dit qu'elle ne veut pas te prendre à moi, mais moi, je n'en suis pas si sûr,....moi, tu sais que je ne suis pas jalouse,...je ne serais pas contre l'idée de te partager avec elle….et toi, je pense que tu serais d'accord, non?...et est-ce-que tu es prêt à te partager entre deux nanas,...et est-ce-que tu pourras assumer cette situation, pour ne pas dire assurer, toi qui était un sage petit puceau il y a huit jours quand tu as eu la mauvaise idée de venir frapper à ma porte pour un certificat?" Je proteste: 'Bien sûr que ce n'était pas une mauvaise idée,....je viens de passer les huit jours les plus merveilleux de ma vie,....j'aime assez ton idée de ménage à trois,...mais je doit t'avouer que, si Solange correspond assez bien à mon fantasme de fille scandinave mince, avec ses cheveux blonds, qui tombent jusqu'à ses fesses, ses yeux bleus, de la même couleur que les miens comme elle le répète, et son petit cul, qui me fait bander, comme tu l'a remarqué, je ne la connais quasiment pas, je ne sais rien d'elle, sur ce qu'elle aime ou ce qu'elle pense, à part qu'elle baise bien…." Chantal m'interrompt: "mieux que moi, tu veux dire ?". Je réplique vigoureusement: "bien sûr que non". Je poursuis: "c'est toi que j'aime, ne serait ce que parce que tu m'as dépucelé et que tu m'a appris des tas de choses; Sans toi, je serais un petit puceau ridicule et j'imagine comment ces visites médicales que l'on m'a annoncées en Californie auraient pu se passer si je ne t'avais pas rencontrée,...ou si tu ne m'avais pas choisi, si ça ne te choque pas que je dise cela". "Ouais, fait Chantal alors qu'elle gare avec brio la voiture devant son cabinet, je ne t'ai quand même pas violé, c'est toi qui est venu à mon rendez-vous, non ? ". Après une pause, elle ajoute: "Et entre ta pette Pénélope et ma chère petite sœur, avec laquelle c'était le mieux ?" Un peu gêné d'avoir bel et bien trompé ma copine deux fois en deux jours, je m'abstiens de répondre. Chantal, pressée par ses obligations, n'insiste pas. Elle s'excuse de ne pas pouvoir s'occuper plus de moi ce soir, à trente-six heures de mon départ. Elle me rappelle que je dois "parler" à mes parents ce soir et me fixe rendez-vous pour demain 14:00 puisqu'elle devra recevoir ses clients le matin. Malgré mes protestations, elle me promet un petit check-up avant mon grand départ. Nous nous étreignons avec peut-être plus de tendresse que de fougue par rapport à nos précédentes embrassades. je rentre à petits pas chez mes parents, en essayant de préparer ce que je vais leur dire, alors que l'image des petites fesses de Solange me poursuit malgré moi.

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A table pour le diner familial, je n'ai pas très faim. J'ai dit à mes parents que je voulais leur parler, "d'une chose importante" ai-je précisé. "Tu ne veux quand même pas renoncer à ton voyage", m'a demandé ma mère, "Tu n'as pas un problème de santé ?". Je l'ai rassuré sur ces deux points. Ma mère a proposé qu'on se parle après le repas, ce que j'ai accepté. Pendant le repas, mon père semble surtout préoccupé par la réparation de la voiture, après l'accrochage qu'ils ont eu en rentrant de Normandie dimanche soir. Il trouve le devis du garage Peugeot où il va d'habitude "ahurissant" et se propose de faire faire les travaux à un petit garagiste qu'il connait près de notre maison en Normandie, il me confirme à cet occasion qu'ils me déposeront bien à Orly jeudi matin et qu'ils partiront vers la Normandie immédiatement après. L'idée me trotte dans la tête de proposer à Papa de lui payer ses réparations de bagnole avec l'argent que m'a donné la mère de Chantal. Serait ce une bonne idée ou ne risque-t-il pas de le prendre mal ? J'ai encore des hésitations à parler à mes parents, mais il est maintenant trop tard pour reculer. Je me dis que je ne voie pas l'intérêt de tout déballer maintenant, à la veille de mon départ. Pourquoi ai-je accepté cette idée de Chantal qu'elle vienne demain "se présenter" à mes parents ? Aurait-elle peur que je profiter de mon séjour à LA pour "disparaitre" ? C'est quand même elle qui a toujours refusé avec énergie que je renonce à ce voyage...Et est ce que je ne me laisse pas un peu mener par le bout du nez par ma copine? Une nouvelle fois, je me dis pendant quelques secondes que j'étais plus heureux quand je n'avais pas de copine, quand j'étais un petit puceau "sage" et insouciant, trainant dans les librairies et les cinémas et me contentant de mes séances de masturbation, avec ou sans thermomètre, pour calmer ma libido, puis l'instant d'après, je réalise au contraire que c'est extraordinaire de ne plus être puceau et d'avoir fait l'amour avec trois nanas superbes et que tout ça, c'est à Chantal que je le dois. Le repas terminé, ma mère propose que nous nous retrouvions une heure plus tard dans le salon. Mon père se retire jusque là dans son bureau et moi-même dans ma chambre. Je suis relativement soulagé que ma jeune sœur soit absente ( mes parents l'ont laissé en Normandie chez une copine)

Après avoir passé une heure à essayer de me préparer pour cet "entretien" avec mes parents, je ne me sens pas du tout prêt lorsque je rejoins mes parents dans le salon de notre maison. Mes parents font un usage modéré de la télévision et le poste "en couleur" acheté récemment reste éteint. Mes parents sont assis aux deux extrémités d'un canapé trois places, mon père lit "le Monde" et ma mère parcourt le "nouvel Obs". Ils interrompent leur lecture et me désigne le fauteuil face à eux. "Alors, fait mon père, d'un ton qui se veut cordial sinon chaleureux, qu'est-ce-que tu as de si important à nous dire ?" Je m'éclaircis la voix et je me lance: "Papa, Maman, je dois vous dire quelque chose…" Je laisse passer un silence et je reprends: "Je sais que, à vingt ans, vous ne m'avez jamais vu avec une fille alors que, autour de vous, tous les garçons de mon âge ont des "copines", ...Je voulais donc vous dire que voilà, j'ai rencontré une jeune fille, ou une jeune femme plutôt, et que je crois que c'est sérieux…." "Mais, qui est-ce, est-ce qu'on la connait ? Une de tes camarades de fac, la petite Russe dont tu m'as parlée quelques fois ?" " Non Maman, vous ne la connaissez pas,...ou peut-être que si…" "Je ne comprends plus rien" dit ma mère. "Tu veux bien arrêter de jouer aux devinettes" intervient mon père, un peu énervé. Je reprends: "Tu te souviens, Maman, quand tu m'a conseillé de "draguer" la remplaçante du Docteur Blom et que je me suis un peu moqué de toi, eh bien c'est elle". Mes parents sont sous le choc, ils lèvent les yeux au ciel. "C'est pas possible" fait Maman. Je reprends à nouveau la parole et je raconte: "Tu te souviens, Maman, lundi dernier, j'ai reçu cette lettre de l'organisme avec lequel je pars en Californie qui me demandait de leur fournir un certificat médical, tu as téléphoné chez le Docteur Blom et tu es tombée sur elle, Chantal Knescht. Je suis allé au rendez-vous qu'elle avait fixé à 14:00. Comme d'habitude, quand il s'agit de quelque chose de médical, j'étais complétement paniqué, mais je dirais que Chantal a su me mettre en confiance, J'étais son seul client de l'après-midi. Elle m'a examiné très sérieusement et puis on a parlé et on s'est trouvé des tas de choses en commun et finalement, elle m'a invité à déjeuner pour le lendemain midi. Et depuis, on peut dire qu'on ne s'est plus quitté ......". Mon père me demande: "Et vous avez…" Je ne le laisse pas terminer sa phrase: "Oui, nous avons fait l'amour,....en fait, on n'a pas arrêté depuis une semaine". Un silence pesant s'installe. Ma mère demande: "Et c'était la première fois pout toi". Je réponds sincèrement: "Oui , Maman".

"C'est merveilleux, dit ma mère, j'ai toujours pensé que c'est ce qu'il te fallait, une copine médecin qui pourra s'occuper de toi et calmer tes angoisses pour tout ce qui est médical". "Je ne suis pas aussi enthousiaste, fait mon père, en fait tu nous racontes que cette jeune femme, qui par parentése doit être un peu plus vieille que toi…" Je coupe mon père pour préciser: "Chantal a vingt-cinq ans, tu ne vas pas dire que c'est vieux". Mon père reprend: "Tu es en train de nous dire que cette jeune femme est tombée amoureuse de toi quand elle t'a mis son thermomètre dans ton cul,..... c'est bien ce qu'elle t'a fait d'après ce que tu nous a dit" Ma mère est choquée et réplique: "Mais non, pourquoi tu salis toujours tout,...c'est une merveilleuse histoire d'amour, et puis cinq ans d'écart, c'est pas si grave aujourd'hui". "Ce serait plus normal dans l'autre sens, réplique mon père ..D'ailleurs, c'est du détournement de mineur caractérisé, et en plus par un médecin dans l'exercice de ses fonctions,...Je pourrais porter plainte contre cette dame…" "Tu es fou" rétorque ma mère. Mon père se calme un peu, puis reprend: "Manifestement, c'est elle qui t'a dragué,...tu nous as dit je ne sais combien de fois que tu as peur des médecins…..et si c'est vraiment le grand amour, pourquoi est-ce-que tu ne renonces pas à ton voyage?" J'indique que j'y ai pensé, mais que Chantal s'y est toujours opposée. Papa conclut: "Tout ça n'est pas très sérieux….Je dirais que c'est une petite amourette, tu jettes ta gourme,....tu es excité parce que c'est la première fois que ça t'arrive,…. heureusement que tu pars en Californie, ça vous donnera l'occasion de réfléchir à elle comme à toi, ...et qui sait si tu ne vas pas te trouver là-bas une petite Californienne ou une petite Française dans le groupe où tu seras."

Je vide mon sac concernant Chantal et j'indique à mes parents, qu'elle est, ou que ses parents sont manifestement très riches. J'évoque la Ford Mustang, j'avoue au passage que j'ai passé le week-end chez les parents de Chantal, et les appareils photo de la jeune femme. Mon père est impressionné quand je lui parle du Leica et plus encore quand je lui dit qu'elle possède un Hasselblad dont elle ne sais même pas se servir. Je n'ose pas parler des cadeaux qui m'ont été remis en Alsace. "Tout cela est bien beau, dit mon père, mais voila qui complique encore les choses,;;; rend toi compte que cela nous mettrait dans une situation délicate, ta mère et moi, devant ces gens, s'ils sont vraiment si riches". Ma mère est beaucoup plus positive: "Mais c'est un conte de fée,...c'est merveilleux ce qui t'arrive". Curieusement, mon père ne se montre pas tout à fait hostile quand je fais part de mon idée de m'inscrire à Sciences Po Strasbourg, " Pourquoi pas, cela te ferait peut-être du bien de sortir un peu des jupes de ta mère". Là, c'est Maman qui s'inquiète: "Mais je ne te verrais plus…." Enfin mes parents, avec quelques réticences pour mon père, acceptent l'idée de recevoir Chantal demain même s'il juge sa démarche un peu curieuse. Et, last but not least, mes parents ne marquent pas vraiment d'hostilité quand je leur révèlent que Chantal est juive. Mon père a cependant cette boutade: "j'espère qu'ils ne t'obligeront pas à te faire circoncire".

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Soulagé que ma conversation avec mes parents se soit relativement bien passé, je passe une nuit paisible et me réveille en forme à 7:00 pour ma dernière journée avant mon départ. J'ai l'idée de vérifier ma température,....pour faire plaisir à Chantal. Je prends le thermomètre que je laisse dans le tiroir de ma table de nuit. Je me mets le thermomètre là où il doit aller, je l'enfonce fermement, et je m'abandonne à la satisfaction que m'apporte cet exercice en chronométrant les trois minutes réglementaires avec ma montre. Le temps de me dire que la sensation que je ressens n'a rien à voir avec celle que m'apporte Chantal quand c'est elle qui me thermomètre et que la prise de température par Marina Vlady n'était pas si désagréable. L'hypocondriaque que je suis est soulagé de voir que le thermomètre affiche un parfait 36,8. Je m'autorise à paresser au lit quelques minutes en pensant à tout ce qui m'est arrivé depuis dix jours, à Chantal bien sûr, mais aussi, et avec une pointe de culpabilité à Solange, puis à Pénélope, avec un sentiment de culpabilité encore plus fort. Le souvenir de ma baise avec la petite Sciences Po me fit soudain bander, même si je sais, avec de plus en plus de certitude, que la jeune fille va me plaquer sans égard demain matin. Mon érection devient gênante au moment où le téléphone sur ma table de chevet sonne. J'entends la voix de ma mère: " C'est Chantal,...Je pense que je peux l'appeler comme cela après ce que tu nous a dit hier soir..." La voix enjouée de ma copine se substitue à celle de ma mère:."Je ne te réveille pas ,j'espère,....j'ai pensé à une chose, est-ce-que tu peux venir au cabinet tout de suite ?" Je suis un peu surpris et je proteste vivement: "Quoi, tu veux encore m'examiner…." . "Mais non, c'est juste le contraire" fait Chantal en rigolant. Je ne comprends pas. Ma copine précise: "J'ai très, mais vraiment très envie de passer cette dernière journée avec toi, Honey, et j'ai pensé que tu pourrais peut-être m'assister avec mes patients ce matin, ...on en a déjà parlé, si je me souviens bien,... tu pourrais prendre la tuture-cucul des filles par exemple". Bien sûr que la proposition de Chantal m'excite, mais elle m'inquiète un peu aussi. "Mais c'est sûrement interdit….Exercice illégal de la médecine, et tout ça….C'est un coup à aller en taule". "Ne sois pas bête, fait Chantal sur un ton quelque peu agacé, de toute façon, c'est moi qui suis majeure et qui suis responsable du cabinet,...Allez, viens…" La doctoresse a raccroché, Chantal peut être un peu "bossy" parfois, j'en ai fait l'expérience. Je vais donc lui obéir.

Une demi-heure plus tard, je pénètre dans le cabinet médical, théatre de notre première rencontre. Chantal m'attend et nous nous étreignons. Nos mains se plaquent sur les fesses de nos jeans respectifs et nous nous roulons une pelle monumentale. Je confirme à Chantal que j'ai bien "parlé" à mes parents et que la réponse était celle que j'attendais, enthousiaste de ma mère, plus réservée de mon père. "Ne t'inquiète pas, annonce Chantal, pour lui, j'ai une arme secrète" Je n'en saurai pas plus pour le moment. J'annonce à Chantal que j'ai pris ma température ce matin, elle me félicite et m'annonce: "Justement, je pensais qu'on pourrait se prendre la "tuture-cucul" tous les deux avant de commencer nos consultations". Se disant, elle dégrafe son jean et me dit: "Allez, on commence avec moi". Sans aucune gêne, Chantal baisse sa culotte et se place sur mes genoux. Mon rythme cardiaque s'accélère et mon pénis durcit alors que je glisse une nouvelle fois le thermomètre entre les fesses charnues de ma copine. C'est à chaque fois aussi extraordinaire. Je ne peux m'empécher de jouer avec le thermomètre et Chantal apprécie manifestement la situation. "Tu fais ça si bien" me répète-t-elle. Elle ajoute: "Je veux que tu prennes la température de toutes les nanas qui se pointeront ce matin,...je suis sûre qu'elle vont aimer" Alors que je lui retire le thermomètre et lis un petit "37,2", Chantal a ce commentaire: "Et si on avait tout faux depuis le début,....et si tu faisais Médecine toi-aussi, hein Honey ? ". Tout en retirant mon jean, puis en baissant mon slip, désormais sans aucune pudeur face à ma copine, je confie à Chantal que je refuse absolument cette idée. Je me place sur les genoux de Chantal, regrettant qu'elle ne porte pas une jupe ou une robe et que mon pénis déjà dur doive s'appuyer sur la toile de son jean. La pénétration du thermomètre et les mouvements délicieusement pervers que lui insuffle ma copine me poussent au bord de l'extase. "Ta bite contre ma cuisse, même à travers le jean, me rend folle, m'avoue Chantal,....Tu ne perds rien pour attendre" alors qu'il reste encore une bonne minute à attendre pour retirer l'engin. Chantal me retire le thermomètre, m'annonce qu'elle ne me dira pas le résultat, comme nous en avons convenu hier, et alors que je me redresse, elle saisit mon bassin pour se trouver face à mon pénis turgescent et l'engloutit prestement. Ma copine me prodigue alors une fellation diabolique qui me fait jouir beaucoup trop vite. Elle avale goulument mon sperme et décrète: "cette pauvre Solange n'a rien compris, le sperme d'un mec, c'est la chose la plus délectable qui soit", déclaration bientôt suivie d'une nouvelle pelle monumentale. Affalé dans les deux fauteuils défrèchis du cabinet, nous reprenons nos esprits alors que les premiers clients devraient arriver.

Il est 10:00 quand Chantal commence ses consultations . Elle m'a donné une blouse blanche et me présente comme un interne débutant. Elle m'a demandé de ne pas ouvrir la bouche. J'ai peur de voir arriver dans le cabinet quelqu'un que je connaitrais puisque j'ai toujours habité ce quartier, mais j'ai, semble-t-il, de la chance. Après une vielle dame, puis deux quinquas bedonnants, que Chantal examine avec soin, mais en leur épargnant la température rectale, se présente une jeune femme, mince sans être maigre, très classieuse, avec des cheveux blonds longs, habillée avec distinction avec une mini-jupe qui révèle des jambes superbes, qui se plaint de maux de gorge et de nausées. Je retrouve mes excitations de petit puceau à l'idée que la jeune femme va se déshabiller devant moi, pour moi…. La jeune femme, qui a 32 ans, retire son chemisier griffé et son soutien-gorge de marque pour se faire examiner par Chantal sur le lit d'examen. Je reste assis à distance, ne perdant rien du spectacle des seins fermes de la dame, me demandant si je dois souhaiter que Chantal me fasse intervenir. Satisfaite de son examen, Chantal demande à sa patiente: "Vous perrnettez que mon assistant vous prenne la température?". "Bien sûr" fait cette dernière, d'une voie flutée non sans charme. Elle ajoute cependant: "Il a l'air bien jeune, ce garçon". Puis, elle obéit à l'ordre que lui a donné Chantal de se mettre à plat ventre sur le lit d'examen et fait glisser elle-même sa culotte sur ses cuisses. Je m'approche du lit, la nana est absolument splendide avec ses longs cheveux blonds étalés sur son dos, ses cuisses et ses fesses superbes, elle me fait bander au-delà de toute décence. Je pose mes mains sur les fesses fermes, mais dont le contact est si doux, et les écarte doucement. Le spectacle de la chatte et du cul de la nana me rend fou; Je sens la sueur qui dégouline de mon front. Je glisse le thermomètre en place et lui fait pénétrer avec précaution le rectum de la nana. Je maintiens la pression de mes doigts sur le thermomètre, mais n'ose pas m'aventurer à jouer avec. La jeune femme gémit doucement et s'adresse à moi: "Vous faites ça très bien, jeune homme". Le thermomètre planté dans le cul de cette femme superbe lui donne un air vulnérable qui me touche particulièrement et qui me fait bander comme un âne. Alors que ce serait mon rêve le plus fou, je n'ose pas prolonger la prise de température au-delà de la durée réglementaire. Je retire avec un soin infini le thermomètre, la dame a de la fièvre, j'annonce à voix haute "38,7". La dame se rhabille et retourne s'assoir face à Chantal, qui lui rédige une ordonnance, puis elle quitte le cabinet. Je retourne à mon siège, manifestement troublé. "Alors, me dit Chantal avec un sourire complice, ce n'était pas trop difficile". Elle ajoute: "Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas aimé".

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arthur Il ya 5 ans  
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