Vues: 1048 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 31

Une romance imprévue 121

Alors que je reste bouleversé par ma prise de température à cette jeune femme vraiment très belle, nous accueillons une nouvelle cliente. Et là, j'ai un nouveau choc. J'ai évoqué ces deux rêves que j'ai fait ces derniers jours au cours desquels apparaissait un personnage plutôt antipathique de fille moche, hommasse, les cheveux courts, le visage ingrat, à l'opposé de mon idéal féminin et qui "me faisait des misères", une étudiante souhaitant s'initier aux visites médicales scolaires des jeunes garçons la semaine dernière (cf une romance imprévue, 26,27) et une femme médecin militaire venue prêter assistance à Chantal pour me préparer à ma visite médicale d'il y a deux jours ( cf une romance imprévue, 90,91). C'est d'ailleurs Chantal elle-même qui avait la première remarqué la ressemblance entre ces deux nanas alors que je lui racontais mon second rêve. Eh bien, la fille qui se trouve maintenant face à nous dans le cabinet ressemble fortement à ces deux figures de mes cauchemars. Après les paradoxes spaciaux-temporels liés aux "visions" dont Solange m'a gratifiées, voila que je retrouve dans la vraie vie les protagonistes de mes cauchemars. Est-ce-que, avec ma "relation avec Chantal, je serais passé dans un univers parallèle? C'est donc mal à l'aise que j'assiste à l'entretien entre ma copine et sa cliente. Cette dernière, étudiante en lettre d'une vingtaine d'années, mal fagotée en plus dans une sorte de robe indienne, se plaint d'une grande fatigue, de vertiges et de troubles digestifs. En plus, elle dort mal et dit être déprimée parce que son copain j'a larguée. Influencé par mon préjugé défavorable à son égard, je me demande comment elle avait pu se trouver un mec. Chantal lui propose de l'examiner. La jeune femme se déshabille sans complexe devant nous, dévoilant son corps de "petit pot à tabac", ne gardant que sa petite culotte qui cache mal son imposant postérieur. Bref, rien d'érotique dans tout cela. Je me demande si Chantal va me demander de prendre la température de cette personne et l'idée ne me plait pas trop. La jeune fille s'allonge sur le lit d'examen et Chantal l'examine avec le sérieux dont elle fait preuve avec constance dans l'exercice de ses fonctions.

Comme dit précédemment, la nana est hommasse avec des cheveux courts, n'a pas de taille et quasiment pas de seins. Son examen ne m'intéresse donc pas particulièrement. Puis vient l'instant que je redoute. Chantal demande à la jeune fille si elle a pris sa température et manifeste sa surprise quand la patiente lui répond que non, avouant qu'elle n'a pas de thermomètre. Ma copine lui demande alors si elle n'a pas d'objection à ce que son assistant dévoué lui prenne la température, rectale bien sûr. La nana est a priori d'accord et se montre docile. Elle se retourne sur le ventre et baisse sa culotte sur ses cuisses boudinées. Je suis donc obligé d'obéir à ma copine. Je me prépare donc à mettre un thermomètre à cette fille qui ne m'excite vraiment pas et qui ne me fait vraiment pas bander. Cependant avec objectivité, je constate bientôt que si la nana a ce qu'on peut appeler un gros cul, les fesses sont encore ce que la fille a de mieux, elles se révélent relativement douces au toucher lorsque je les écarte et la vue de la petite corolle de son anus n'est pas si déplaisante. Je sens que mon rythme cardiaque s'accélère à nouveau et même que mon pénis commence à se durcir. Avec toute la délicatesse dont je me crois capable, je glisse donc le thermomètre entre les fesses plantureuses, puis j'entreprends de l'enfoncer dans l'intimité rectale de la fille. Cependant, à peine le thermomètre a-t-il pénétré de quelques millimètres le rectum que la nana se met à crier violement. "Vous me faites mal…" hurle-t-elle alors que je pousse légèrement le thermomètre. Je tente encore une fois d'enfoncer un peu plus le thermomètre, la nana hurle, nous supplie d'arrêter et se met à pleurer toutes les larmes de son corps. Chantal intervient alors et me demande d'interrompre ma prise de température.

Ma copine annonce à sa patiente qu'elle va elle-même lui prendre sa température. Un peu vexé, je regagne mon siège. Chantal écarte donc à son tour les fesses de la nana, puis entreprend de lui mettre le thermomètre et le même phénomène se reproduit. A peine la doctoresse a-t-elle enfoncé de quelques millimètres le thermomètre que la fille hurle de douleur et supplie Chantal d'arrêter. Une tentative avec un thermomètre abondamment lubrifié provoque les mêmes hurlements. Face à la virulence des réactions de la jeune fille, Chantal capitule. "Je n'ai jamais vu çà, sauf peut-être avec de très jeunes enfants", constate-t-elle. Comme j'étais officiellement préposé à la prise de température, je me permets de violer la consigne de discrétion que m'avait imposé Chantal et je propose: "Et si on essayait la température vaginale ?". " Excellente idée", fait ma copine qui ajoute:,"Tu viens d'améliorer ta note de stage". La doctoresse sollicite l'accord de la patiente, puis l'invite à se remettre sur le dos et à écarter ses jambes de manière à faciliter l'accès à son vagin. Elle prend un nouveau thermomètre, par mesure d'hygiène, et fait mine de le glisser entre les lèvres du sexe de la jeune fille. Nouveaux hurlements de la nana. "C'est encore pire…" crie-t-elle sans retenue. Chantal n'insiste pas. Alors que la jeune fille s'excuse en sanglotant doucement de ses réactions excessives, assurant ne pas pouvoir se contrôler quand elle a mal, la doctoresse hésite un instant, puis trouve une solution. Elle extrait d'un tiroir du bureau du Docteur Blom un thermomètre dédié à la température buccale que la jeune fille accepte sans rechigner de placer sous sa langue. Le résultat est curieux, 35,3. Même en tenant compte de la différence avec la température rectale, "0,5 degrés en moins" précise Chantal, la jeune fille a manifestement une température trop basse. Chantal prescrit donc quelques examens à la jeune fille, qui en sera quitte pour une prise de sang. Cette dernière nous quitte en pleurnichant, nous expliquant que, à sa connaissance, on ne lui a jamais jusqu'ici pris la température rectale et assurant que nous lui avons fait très mal. Après qu'elle ait quitté la cabinet, Chantal me glisse, avec un sourire égrillard : "Je me demande comment ça pouvait se passer avec son copain". Je réponds du tac au tac: "Et s'il n'y avait pas de petit copain et qu'elle l'aurait inventé ? ". "Tiens, je n'y avais pas pensé" fait ma copine qui ajoute: "Tu sais que tu ferais un bon médecin, toi" .

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Deux personnes succèdent à la fille qui n'aime pas les thermomètres. Un garçon qui doit avoir à peu près mon âge accompagné de sa mère, une femme à l'air pas commode. Le duo occupe les deux fauteuils qui font face au bureau du médecin. La mère, habillée sans recherche, prend la parole: "Nicolas qui a dix-huit ans veut faire du tennis et on lui demande un certificat médical. Est-ce-que vous pourriez nous faire ça ?". "Bien sûr, répond Chantal, je peux examiner votre fils et lui établir un certificat. C'est bien cela que vous voulez ?" La dame révéle le fond de sa pensée: " Je pensais que, comme nous sommes des bons clients du Dr Blom, vous pourriez nous faire le certificat comme ca". Chantal ne l'entend pas de cette oreille. " Si vous voulez un certificat, je dois examiner votre fils, ce ne sera pas très long..." La scène me rappelle ma première visite à Chantal, il me semble que son examen a duré une bonne heure. Elle m'a avoué après coup, "sur l'oreiller", avoir fait durer les choses. La dame réfléchit un instant puis décide: "Bon, alors, examinez-le". "Bien, fait Chantal, dans ce cas, je vais vous demander d'aller dans la salle d'attente pendant que j'examine votre fils, il a dix-huit ans, c'est presque un adulte". La dame proteste avec vigueur: "Je veux assister à cet examen,...d'ailleurs, Nicolas est encore mineur, j'ai le droit, pour ne pas dire le devoir, d'être présente". Le visage de la femme devient rubicond. Chantal constate qu'elle ne pourra faire entendre raison à la furie et cède; "Bon, très bien, vous resterez là, mais attention, je ne veux pas de commentaires de votre part". Elle se tourne vers le garçon et lui demande: "Ca ne te dérange pas que ta mère assiste à l'examen que je vais te faire passer ?". "Non" répond le garçon d'une voix assourdi. Il pourrait sans doute difficilement dire autre chose.

Comme elle l'avait fait avec moi, Chantal veut commencer par poser un certain nombre de questions au garçon sur son histoire médicale, ses centres d'intérêt, ses études, sauf que là, l'entretien tourne rapidement court. En effet, de manière systématique, Chantal pose des questions au pauvre Nicolas et c'est sa mère qui répond à sa place. Ce dialogue me fait mesurer une nouvelle fois la chance que j'ai d'avoir des parents raisonnables, même si ma copine a eu l'occasion à plusieurs reprises ces derniers jours de qualifier ma maman de "mère juive". Je compatis vraiment à la situation du pauvre garçon, d'autant qu'il n'est pas idiot, il entre en math sup après un bac C avec mention. Abrégeant son entretien, Chantal demande à son patient de se déshabiller, elle précise "entièrement" alors que la maman se tait, visiblement choquée. Comme elle l'a fait avec moi il y a dix jours, Chantal demande à Nicolas de se tourner et de lui exposer son cul. Pour ma part, un curieux mélange d'excitation et de gêne me prend à la vue du garçon nu. Il me semble plutôt bien bâti, mieux que moi de toute façon et surtout moins maigre. Je ne résiste pas à la tentation de regarder son sexe, qui me parait "normal". Le garçon ne bande pas, du moins pour le moment. Le seul commentaire de ma copine sera pour dire que Nicolas semble en pleine forme, avec peut-être une légère tendance au surpoids. " Un peu de sport te fera du bien" ajoute Chantal qui veut s'adresser au garçon et non à sa mère. Ma copine ordonne alors à Nicolas de se mettre sur le lit d'examen. Ce que fait le garçon, la doctoresse vient s'assoir au bord du lit et c'est alors que, sans complexe, la maman se lève de son siège et vient s'installer debout de l'autre côté du lit. Je trouve que Chantal se laisse un peu faire, il me semble que, à sa place, j'aurais viré cette folle. L'examen se déroule à peu prés comme avec moi il y a huit jours, cœur, poumons, abdomen, appareil génital. Quand Chantal prend en main le pénis et les testicules du garçon, la mère réagit vivement: "je suis sûr que mon petit Nicolas n'a jamais été avec une fille". "Ca arrivera bien un jour" réplique Chantal alors qu'elle décalotte et recalotte avec soin et autorité le pénis du pauvre garçon.

Quelques instants plus tard, Chantal annonce: "C'est presque terminé, nous devons encore te prendre la température rectale…" La mère intervient une nouvelle fois: "Est-ce bien nécessaire ? J'ai pris la température de Nicolas ce matin, il avait 36,9". Chantal réagit vivement: "la température rectale fait partie de mon examen, d'ailleurs c'est mon assistant qui va la lui prendre". Là, c'est moi qui panique, je croyais que Chantal me ferait prendre seulement la température des nanas. Je ne vais pas prendre la température à un mec, quand même. Paradoxalement, c'est la mère de Nicolas qui vient à mon secours: "Je préférerais que vous le fassiez vous-même, je me méfie des stagiaires" clame-t-elle. A mon lâche soulagement en la circonstance, Chantal cède une nouvelle fois. C'est donc elle qui, avec sa douceur et son professionnalisme, écarte les fesses du garçon, puis glisse le thermomètre en place et l'y maintient pendant les trois minutes réglementaires. Pendant cet exercice, la maman fusille littéralement Chantal du regard et on entendrait une mouche voler. Je pense que le garçon, lui, apprécie, la suite va le prouver. Pour ma part, je suis toujours partagé entre gêne et excitation, attisée par le souvenir de ma propre prise de température par ma copine la semaine dernière. En retirant le thermomètre, Chantal informe Nicolas d'un air désolé qu'elle doit encore lui mesurer la tension avant de le laisser partir. Le petit Nicolas a une température normale de 37,2. Le garçon se remet sur le dos et là, révèle une érection monumentale, qu'il ne cherche même pas à dissimuler. Est-ce de sa part de l'innocence ou de la provocation. Voudrait-il se venger de sa mère et sa constante domination ? Le sexe énorme de Nicolas pointe vers le plafond. le braquemart du garçon m'impressionne et je me dis que je ne fais pas aussi bien quand je bande. Egocentrique à mon habitude, j'en viens à me demander si mes érections devant Chantal, Solage et Pénélope étaient bien à la hauteur et si je n'étais pas ridicule devant mes "maîtresses". La maman, dont le teint passe en un instant du rouge au vert puis au gris, a ce cri du cœur: "Mais Nicolas ne bande jamais quand c'est moi qui lui prends la température". Chantal, qui en vu d'autres, ignore l'état de son patient, lui passe le brassard du tensiomètre et mesure la tension artérielle du garçon, sans en communiquer les chiffres. Elle retourne ensuite à son bureau pour rédiger le certificat, objet de toute cette agitation. Le duo quitte le cabinet sans effusion excessive.

C'était les derniers clients de la matinée. Chantal me dit: "J'ai été tentée de renvoyer la bonne femme dans ses buts à plusieurs reprises, je plains ce pauvre garçon, même si il a eu l'air d'apprécier quand je lui ai pris la température,...J'espère que ce sera un bon souvenir pour lui...". J'interviens: "Il aurait sans doute moins aimé si ca avait été moi qui lui avais prise" Je poursuis et je m'en prends à Chantal: "Et moi, je n'aurais pas tellement apprécié de prendre la température à un garçon,...tu avais dit que je prendrais la température seulement aux filles,....sa folle de mère m'a sauvé la vie….". "Et alors, tu avais peur de découvrir que le cul d'un garçon pouvait t'exciter ? " réplique quelque peu vivement Chantal. Nous en resterons là sur ce sujet et je vais m'efforcer d'oublier cet incident et de garder le souvenir de la femme de trente-deux ans du début de la matinée et de cette merveilleuse prise de température. Pour l'heure, nous quittons le cabinet pour aller au studio de Chantal pour fixer le programme du reste de ma dernière journée avant mon départ.

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Je reste silencieux pendant les quelques pas que nous faisons du cabinet au studio de Chantal où elle a proposé que nous preniions une douche avant de faire "autre chose" pour ma dernière journée avant mon grand départ. Depuis que nous avons quitté le cabinet, une pensée me poursuit, une pensée sans doute ridicule dont je n'ose même pas parler à Chantal. Cette dernière croit que je fais la gueule parce qu'elle aurait voulu m'obliger à prendre la température à un garçon. Nous arrivons rapidement au studio, nous passons le seuil et là, Chantal a le geste de m'étreindre; Je commence par la repousser, puis me laisse faire. Chantal veut me caresser les fesses à travers mon jean, comme elle le fait d'habitude. Je pose mes mains sans convictions, également à travers le jean de ma copine sur ses fesses plantureuses. Je m'efforce de répondre à son baiser fougeux, mais je suis conscient de ne pas être à la auteur. Enfin, quand la doctoresse m'ouvre le jean pour saisir mon pénis, elle constate l'étendue du désastre: "Mais tu ne bandes pas, Honey, qu'est-ce-qui se passe ?" Pour toute réponse, j'éclate en sanglots. Chantal est d'abord fâchée: "C'est parce que je t'ai demandé de prendre la température de ce gamin que tu te mets dans un état pareil ?". Puis, comme je lui indique que c'est autre chose, elle s'efforce de me calmer avec son infinie douceur. Elle me prend par la main et m'amène sur le lit, où nous nous asseyons, ma tête contre son épaule; "Tu vas me dire ce qui ne va pas ?" me demande-t-elle en me gratifiant de son plus désarmant sourire. Je suis toujours réticent à lui avouer la cause de mon désaroi. "Tu vas encore te foutre de moi" l'assuré-je. "Mais non, proteste-t-elle, je suis médecin, je peux tout entendre" . Je me calme un peu, appuyé sur la poitrîne de ma copine et je me décide à parler . .

"Est ce que je peux te poser une question ?" demandé-je à ma copine. "Bien sûr" répond cette dernière. Je formule donc ma question; "Quand on a fait l'amour, est ce que ma queue était normale ?"; "Mais, qu'est ce que tu veux dire par "normale" interroge la toubib, surprise par mon interrogation. Un peu énervé, je précise:"Assez longue, assez grosse, assez dure". "Bien sûr que oui, répond Chantal, mais pourquoi cette question? " Je me fâche et je donne cette explication: "Aujourd"hui, j'ai vu pour la première fois la queue d'un autre garçon avec une érection et j'ai constaté qu'elle était nettement plus grosse que la mienne,....et depuis, je rumine ça dans ma tête et je me demande si j'ai été à la hauteur avec toi, avec Solange…"."sans oublier la petite Pénélope" m'interrompt avec perversité ma copine. avant de partir dans un éclat de rire. "Tu es vraiment impossible" fait Chantal, en me caressant avec tendresse le visage. Elle ajoute; "Ecoute, mon petit garçon, parce que tu es vraiment un petit garçon, Honey,...D'après ce que j'ai compris, je ne crois pas qu'il y ai eu de commentaires négatifs sur ta jolie queue, ni de ma part, et je suis quand même bien placée pour le savoir, ni de Solange, elle était plutôt contente de ce point de vue, me semble-t-il " J'insiste: "Vous avez peut-être voulu être gentilles". Chantal ne relève même pas cet argument et poursuit: "Pour avoir examiné plus de cinq cents queues, comme je te l'ai raconté, je crois dans mes visites médicales de quelques lycées, je peux te dire que les pénis des mecs sont de tailles variables et que le tien serait plutôt dans la catégorie supérieure; Mais il y a des exceptions: peut-être Dieu a-t-il voulu offrir à notre petit Nicolas une grosse queue en compensation pour sa mêre foldingue" Le discours de Chantal finit par me calmer et je prends conscience du ridicule de mon comportement, pour lequel je demande pardon à ma copine. Cette dernière constate que mon pénis, justement, commence maintenant à répondre à ses caresses. Sa bouche cherche la mienne pour me prouver qu'elle considère l'incident comme clos. Elle suggère que nous prenions une douche pour nous débarasser des miasmes des malades que nous avons examinés.

Les douches chez Chantal sont généralement coquines. Celle qui nous réunit ne fait pas exception à la règle. Après nous être lavés, nous nous attardons sous l'eau ruisselante et nos mains ne restent pas inactives. Chantal constate que mes interrogations existentielles se sont dissipées et que mon pénis turgescent a retrouvé toute sa vigueur. Elle se permet ce commentaire: "pas tout à fait aussi grosse que celle du "petit" Nicolas, mais je m'en contenterai aujourd'hui, n'ai pas peur, Honey". Nos doigts explorent les parties les plus intimes de nos corps.Je me souviens que c'est dans ces mêmes lieux que je me suis permis une belle bourde il y a quelques jours ("dans quel trou je te la mets?" cf une romance imprévue,37)), alors que, comme ce jour-là, la croupe charnue de ma copine se place, volontairement ou non, contre mon bas-ventre et mon sexe dressé; Pour m'éviter un nouvel impair, Chantal écarte elle-même ses fesses rondes et me propose carrément "allez, encule-moi, mon amour". Difficile de ne pas répondre à cette invitation. Mon sexe trouve rapidement sa voie lorsqu'il investit le sillon fessier;. M''arqueboutant aux hanches de ma copine, qui elle se tient aux rebords de la douche, aidé par l'eau ruisselante, je pénètre, par petite avancées successives le rectum offert de Chantal. La doctoresse gémit de plus en plus langoureusement sous l'effet de cet assaut que j'essaie de rendre le plus délicat possible pour prouver mon amour à ma bien aimée. Alors que mon pénis va et vient, dans un mouvement dont l'ampleur reste limité dans le fourreau brulant du rectum de Chantal, une sensation extraordinaire, unique, au delà des mots, ma copine arrive à tourner sa tète de manière à ce que nous nous embrassions dans un baiser d'une sensualité indescriptible. Alors que je sens que je viens, Chantal me murmure à l'oreille: " Là, tu ne vas pas me dire quelle n'est pas assez grosse" avant de partir dans un orgasme éblouissant juste au moment où ma semence gicle en plusieurs jets impétueux dans son intimité.

j'ai l'impression que ça n'a jamais été aussi bien, aussi intense, entre nous. Nous restons un instant immobiles, comme soudés l'un à l'autre. Après quelques instants, dans un geste d'une infinie tendresse, Chantal saisit ma queue qui vient de la satisfaire pour m'amener jusqu'à son lit sur lequel nous nous accordons quelques minutes pour récupérer. Alors que j'ai l'impression que je pourrais sans mal me laisser aller dans le sommeil, les caresses expertes de Chantal, d'abord sur mes tétons, puis sur mes testicules, me maintiennent éveillé, d'autant qu'elle me fait cette confidence: " Tu sais, quand tu as pris la température de la jolie blonde, tout à coup j'ai senti monter en moi comme une vague, idiote je le reconnais, de jalousie envers cette pauvre femme et je me suis mis à avoir envie de toi comme,jamais, j'en ai mouillé ma culotte", L'instant d'après, Chantal propose: "Et si on marquait le coup avec un restau un peu classe pour ton départ, tu connais le "Pré Catelan ?" Je ne connais pas, je vais connaitre.

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"Alors, ça t'a plu de jouer au docteur avec moi ce matin ?" me demande Chantal alors que nous attendons nos plats sur la luxueuse terrasse du "Pré Catelan", au cœur du Bois de Boulogne, par un temps idéal de cette fin de juillet, où ma copine m'a amené et a pris très nettement la direction des opérations en me composant un menu de choix, pour un prix qui me laisse ahuri, lorsque le tout petit bourgeois, que je suis, découvre les tarifs sur la carte. J'essaie de faire une réponse circonstanciée à ma copine, lui avouant que j'ai bien sûr aimé prendre la température, c'est-à-dire mettre un thermomètre dans le cul, de la jeune patiente de trente-deux ans, tout en regrettant de ne pas en savoir plus sur cette nana, que fait-elle? a-t-elle un mec? etc, mais que j'ai été un peu gêné toute la matinée de voir les gens se déshabiller devant nous, de jouer au voyeur en quelque sorte, et je reviens sur ma surprise, mon affolement, quand ma copine m'a demandé de prendre la température au fils de la mère abusive. J'en veux toujours à Chantal pour cet épisode. cette dernière réagit un peu vivement: "je croyais que le sujet était clos" déclare-t-elle avant de revenir justement sur ce point: "Mais, dis moi un peu,... pourquoi l'idée te dérangeait tellement de mettre un thermomètre dans le cul d'un garçon ? tu comprends bien que ce n'est pas ça qui aurait fait de toi un homosexuel, même si tu aurais pu être troublée par le cul de ce pauvre Nicolas". Elle ajoute en souriant: "d'ailleurs, même si ce garçon nous a montré qu'il avait une belle queue, je peux te dire que je préfère ton petit cul au sien" Enfin, elle me fait cet aveu: "Et moi, je peux te dire que parfois je suis "troublée" par des femmes,...par exemple, notre première cliente de ce matin, je dois dire que son petit cul ne me laissait pas indifférente et que je lui aurait bien mis moi-même son thermomètre,...je n'ai pas voulu te priver de cette satisfaction que je t'avais en quelque sorte promise, mais je peux te dire que pendant les trois minutes qu'a duré cette prise de température, j'étais malade de jalousie, à la fois de la fille, à qui tu prenais si bien la température, et de toi qui manipulais le thermomètre dans son mignon petit cul" Sur cet aveu, le sujet est maintenant clos.

Alors que je déguste les mets délectables du restaurant, Chantal revient sur mon très prochain départ. Elle s'efforce de me convaincre que j'ai une chance folle de partir découvrir l'Amérique, la Californie et que ce voyage me fera le plus grand bien, me dégourdira. Elle reconnait qu'elle est un peu, un peu beaucoup, triste à l'idée de ne plus me voir pendant un mois, mais me redit ce qu'elle me répète depuis que nous nous connaissons, que ce voyage sera pour nous un test pour voir si notre histoire est vraiment sérieuse. Ce qu'elle me dit ressemble, hélas, à ce que mes parents, mon père surtout, disaient hier soir. J'assure ma copine que je suis convaincu que notre amour sortira renforcé de cette épreuve. Chantal me redit, qu'au départ, son intention était bien de s'amuser avec le petit puceau, mignon mais timoré que j'étais, pendant les dix jours qui le séparait de son départ, mais que, au fil des jours, elle s'est convaincue que notre relation était quelque chose de sérieux, sinon pourquoi m'aurait-elle emmené en Alsace et pourquoi aurait-elle insisté pour voir mes parents ce soir. j'ai tendance à croire qu'elle dit vrai. Cependant, elle me confirme qu'elle veut que mon séjour en Californie soit une sorte de "parcours initiatique" pour moi et que, même si je pense à elle en caressant chaque soir la petite culotte qu'elle m'a donnée ("j'espère que tu l'as bien mise dans tes bagages, hein Honey"), je me "ferais" un maximum de nanas, a commencer par les trois filles de ma famille d'accueil, et pourquoi pas la mère, qui, à quarante et quelques années, parait, d'après la seule photo que nous ayons d'elle, encore consommable ("avec moi, tu m'as l'air d'avoir pris goût aux vieilles nanas toubibs, non….et elle doit connaître des tas de trucs, ...je parie que si tu es complétement paniqué à la petite visite médicale qu'elle va organiser, comme tu l'étais avec moi lundi dernier,ca va marcher pour toi"). Chantal ajoute à sa "shoping list", les petites Françaises de mon groupe, à commencer par la petite Pénélope, qui, elle en est convaincu, même si elle me fait sa grande scène de rupture demain matin, reviendra vite à de meilleurs sentiments à mon égard sous le soleil de LA.

Je suis un peu gêné, pour ne pas dire choqué par l'attitude de ma copine et je me demande si elle est sérieuse quand elle m'assure que, de son côté, si une occasion se présente, cela ne la dérangerait pas de s'amuser quelques jours avec un mec "potable", qu'elle pourrait par exemple rencontrer à son cabinet. Là, c'est ma "vision" au cours de laquelle j'ai vu mon ami Philippe avec le thermomètre de Chantal dans le cul, au moment où j'étais sensé décoller pour LA qui me revient et je me demande si ma copine pourrait devenir la 33ème conquête de mon pote. L'idée ne me plait pas trop. Pour l'heure, Chantal, après avoir réglé l'addition avec sa carte "American Express", (je trouve que ca fait très classe, mon pauvre père n'en a pas) m'annonce que nous allons retourner à son studio où nous nous livrerons à une petite répétition de la visite médicale qui devrait m'attendre à mon arrivée à LA. Je ne partage pas l'enthousiasme de ma girlfriend pour cette idée, mais continue de me laisser mener par le bout du nez par ma copine. Cette visite médicale n'est-elle pas le prix à payer pour le repas de luxe que je viens de faire ?"

Comments

Svensson Il ya 5 ans  
dudu Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans