fiction de suppositoires
La partie de jeu vidéo
La soirée jeu vidéos :
Ce soir là Hugo et moi avions décidé de jouer tout les deux à la console à la maison, on étais tranquille au salon, quand tout à coup Hugo propose une idée :
« Hey Lucas si on jouait à la console mais en son dolby et à fond pour se mettre bien dans l'ambiance ? »
« C'est pas bête mais ma grande sœur est là et je ne suis pas sûr qu'elle va apprécier le son à fond de la télé » Dis je sceptique.
"quand ma soeur m'ennuie, j'ai un moyen infaillible pour qu'elle me lâche, je lui fais faire un petit dodo forcé grâce à ça : Hugo exhibe une boîte de suppositoires « c'est impossible de résister, une fois ce truc dans les fesses c'est voyage au pays des rêves en quelques minutes, peu importe comment tu résistes ! »
Un peu excité à l'idée d'utiliser ça sur ma sœur, je me dit pourquoi pas et on entreprend donc de monter l'escalier pour nous rendre à sa chambre.
Une fois devant la chambre, je jette un bref coup d’œil à l'intérieur pour m'apercevoir que Clémence dort, je souffle donc à mon poto « Ca va être encore plus simple que prévu elle dort »
On entre donc dans la chambre en essayant d'être discret, mais je ne sais pas pourquoi, le fait de savoir qu'on va mettre un suppositoire à ma sœur, le ridicule de la situation je ne peut m'empêcher de pouffer de rire « prffff ». Mais cela réveille ma sœur, elle allume la lumière se retrouvant face à nous deux, tout penaud, boîte de suppo en main, d'abord surprise elle finis par apercevoir la boîte de fusées et semble comprendre d'un coup ce qui la rend de plus en plus furieuse :
« Mais qu'est ce que vous foutez là bande de puceau ? vous vous croyez ou la ? et puis c'est quoi dans votre main, on dirait..une boite de suppo, et vous pensez vraiment que vous alliez me mettre ça pendant que je dormais ? » Répond ma sœur excédée.
Hugo ne sait pas quoi dire, manifestement gêné de s’être fait prendre la main dans le sac, il regarde par terre tout penaud, en espérant que j'arrange le coup.
j'essaye de me justifier en vain :Mais non on c'était dit que ça allait te faire du bien c'est pour passer une bonne nuit».
Mais Clémence ne m’écoute pas et en fouillant dans son tiroir répond : "Mais oui c'est ça, moi j'en connais plutôt 2 qui vont bien dormir cette nuit".
Elle semble trouver ce qu'elle cherchait et sourit "on va voir si mon TD d'hypnose pendant mes cours de psychologie à été utile"
Ne sachant pas trop quoi faire je poursuis « Bon désolé de t'avoir réveillée, on va te laisser te rendormir »
Je fais mine de sortir de la pièce mais ma sœur sort un fil avec un cristal au bout d'un tiroir et elle commence à l'agiter devant nous. Intrigué, moi et Hugo ne pouvons s’empêcher de regarder l’étrange objet se balancer"
« Relaxez vous les garçons, regardez donc ce joli cristal, vous sentez comme c'est apaisant, comme il est joli ? » Poursuis ma sœur.
Cela ne me fait ni chaud , ni froid mais Hugo semble perturbé par cela : « Je... quel magnifique cristal »
Clémence semble surprise que seul Hugo lui réponde mais continue :
« Oui fixe bien le magnifique cristal hugo, tu as envie d'obéir à la voix, détend toi, tout doucement » J'observe totalement surpris le changement d'attitude brutal de mon meilleur pote.
Le regard de Hugo deviens vide et il dit « Oui maîtresse ». Clémence sourit et poursuit " Donne moi bien gentiment la boîte de suppositoires puis baisse ton pantalon et ton caleçon puis penches toi en avant ».
Totalement stupéfié par ce qui se déroule sous mes yeux, Hugo fait ce que dit ma sœur sans aucune gène de se retrouver nu devant elle, marchant comme un robot les yeux toujours dans le vague.
Je la voie s'activer derrière lui imaginant ce qui est en train de se passer, même sans assister au spectacle, je frémis d'horreur à l'idée du sort qu'Hugo subit.
Puis elle conclue par « Ne te rhabille pas et va t'allonger un peu sur le canapé, ferme tes yeux et laisse toi simplement aller, les effets agiront très vite, ne les combat pas et endors toi bien gentiment ». Je vois donc Hugo sortir de la chambre caleçon et jean aux talons, le sexe pendu balançant.
Vu les mérites qu'il à vanté de son médicament, je pense qu'il ne va pas tarder à dormir très profondément sur le canapé.
Puis comble de l'horreur, Clémence s’intéresse à moi, « Lucas on dirai que le tour du cristal ne fonctionne pas avec toi »
« T'inquiète pas Clémence je vais te laisser tranquille» Dis je, inquiet, en commençant à reculer vers la porte.
« Non je vais toi aussi te fourrer le derrière avec ce que tu voulais utiliser sur moi, il n'y a pas de raison a ce que juste ton copain fasse un gros dodo » Rétorque t'elle en agitant la boîte de suppositoires.
L'idée de subir le même sort qu'Hugo ne me plait vraiment pas, j'imagine a peine la sensation désagréable de recevoir un suppo, sans parler du fait de se sentir s'endormir sans pouvoir rien faire.
Je remarque alors qu'elle fait des cercles avec la boîte, donc je regarde volontairement ailleurs, mais j’entends un « psschit » caractéristique d'une bouteille de parfum.
Tandis que je tente toujours de ne pas regarder la boîte que ma sœur balance, je sens une odeur de rose enivrante se répandre dans la pièce.
« Tu sent cette odeur ? » Poursuis Clémence l'air de plus en plus satisfaite.
« Oui » Dis je tandis que ma tête commence à devenir lourde. Je comprends trop tard sa manœuvre, j'essaye de respirer par la bouche, mais mon corps ne me répond déjà plus.
« Bien Lucas, même si le cristal ne te fait rien,on dirai que mon parfum fonctionne bien » Dit Clémence en souriant satisfaite de sa victoire.
Je me sent comme dans un état second, la tête vide, plus rien n'a d'importance, si bien que je ne réagis pas quand Clémence me pousse sur son lit. Je sens impuissant qu'elle descend ensuite mon slip petit bateau que j'avais mis par inadvertance ce matin. Elle observe d'un regard moqueur et je sens la gène monter en moi même si je ne peux rien faire.
Puis je sens qu' elle m'enfonce moi aussi la fusée parfumée blanche et toute lisse, j'aimerais au moins serrer les fesses pour empêcher l'intrusion,mais je suis aussi incapable qu'un nouveau né, et le suppo fait rapidement son chemin, appuyé par le doigt de ma sœur.
J'ai une dernière pensé pour la soirée de jeux vidéo complètement gâché, mais le suppo se dissout encore plus vite que je ne l'aurais cru, et mes yeux se ferment tout seul, vaincu, je me sens filer au pays des rêves.