Christophe, jeune homme naïf
Christophe est tout maladou
Un jour, Christophe se sentit mal. La fatigue du travail scolaire, sans doute, se disait-il. Il avait un peu mal à la tête et envie de dormir. Il s’excusa auprès de Cécile et lui dit qu’il ne se sentait pas bien et qu’il valait mieux qu’il passe la nuit seul.
Le lendemain, Christophe n’était pas en cours et Cécile alla aux nouvelles.
« Ne t’approche pas ! J’ai mal à la tête, je suis crevé, je dois avoir de la fièvre… je suis probablement contagieux.
— Tu as quelque chose pour le mal de tête ? Aspirine, paracétamol ?
— Non, rien. Je comptais passer à la pharmacie mais ce matin j’étais trop mal.
— Et la fièvre, tu as combien ?
— Je ne sais pas, et puis franchement je m’en fiche. Je me sens fiévreux, cela suffit.
— Écoute, j’irai à la pharmacie cet après-midi, comme ça tu pourras prendre un médicament pour mieux dormir la nuit prochaine
— Merci tu es vraiment gentille. »
Cécile passa à la pharmacie et prit de l’aspirine, du paracétamol et un thermomètre médical. En attendant de pouvoir passer au comptoir, elle vit dans les étagères libre-service des tubes de Vaseline. Elle se rappela les recommandations pour prendre la température des petits enfants, quand elle en gardait… Si ce gros bébé de Christophe refusait de se prendre la température, elle la lui prendrait elle-même ! L’idée lui paraissait terriblement amusante.
La préparatrice sourit en voyant la combinaison Vaseline et thermomètre, accompagné d’un flacon d’alcool et de cotons à démaquiller.
« Aspirine un gramme, j’ai en cachets ou en sachets.
— Sachets.
— Paracétamol un gramme, j’ai en cachets, sachet, ou suppositoires. Sachets aussi ?
— Sachets oui… attendez vous avez dit suppositoires ? Donnez m’en aussi. »
Les sourcils de la préparatrice se haussèrent, un sourire s’esquissa, mais disparut vite et elle fit une recommandation :
« Attention à ne pas cumuler les doses entre les suppos et les sachets.
— Non n’ayez crainte. »
« Mon chou ! Je t’ai ramené de l’aspirine et du paracétamol. Je te mets quoi ? Les deux ?
— Oui merci je crois que je vais avoir le crâne qui explose. »
Elle lui prépara un verre et le lui tendit. Il avala le médicament à petites gorgées. Elle sortit alors le thermomètre.
« Maintenant tu vas te prendre la température.
— Cécile, ce n’est pas nécessaire.
— Bon, si tu ne veux pas le faire, c’est moi qui vais m’en charger. Défais ton pantalon, baisse-le ainsi que ton slip, et allonge-toi sur le côté dos à moi.
— Cécile ?? Tu ne vas tout de même pas…
— Te prendre la température comme à un gamin de quatre ans ? Oh que si, et tu vas me laisser faire. D’ailleurs je vais te déculotter moi-même. »
Sitôt dit, sitôt fait, Christophe, finalement assez docile, se retrouva sur le côté, jambes repliées. Cécile prépara l’instrument, lui sépara les fesses. Il sentit la petite pointe sur son anus. « Pousse comme pour aller à la selle. » Il obéit, et la pointe pénétra.
« Mets-toi plus vers le mur. »
Il obéit, bien que se déplacer avec un thermomètre enfoncé dans l’anus et tenu par son amie fût un peu embarrassant. Elle se cala derrière lui et se lova contre lui. Les maladies, se disait-elle, passent par les postillons, je suis dans une position peu risquée.
Elle se sentait bien contre son compagnon. Elle voulut lui caresser le torse. Sa main passa devant. Elle lui caressa le ventre, et…
« Ben dis donc ! Tu n’es pas malade de partout ! »
dit-elle ironiquement en se saisissant d’une verge certes pas à pleine érection mais tout de même un peu dure, ce qui était surprenant vu la méforme générale du jeune homme.
« Je suis contre toi, hein, tu me fais de l’effet. Et puis ça fait bizarre quand le thermomètre bouge un peu ça me fait serrer l’anus et ça me fait bander. »
Cécile prit note. Elle avait déjà vaguement entendu des allusions sur le rôle, chez les hommes, de l’anus dans l’excitation et le plaisir, mais elle avait cru, par naïveté, que cela ne concernait que les homosexuels. Sa petite plaisanterie pour punir Christophe de ne pas vouloir vérifier sa température avait des conséquences instructives !
Elle se mit à tripoter la verge de son compagnon. Quel joli instrument, tout de même ! Et dire qu’il y a quelques mois elle était si timide à son sujet, et maintenant elle en jouait.
« Trois minutes. Je retire le thermomètre… 38,8°. Pas mal en effet. Je repasserai te la prendre demain soir.
— Non mais Cécile je peux me la prendre tout seul.
— Tut tut, tu n’as pas voulu tout à l’heure, maintenant tu assumes ton refus, ça sera Nurse Cécile qui te la prendra. Mais puisque tu te proposes, tu te la prendras tout seul demain matin. Et maintenant, pour te récompenser d’avoir été un gentil patient… »
D’une main passée autour du corps, elle entreprit de masturber son compagnon. De peur de la contagion, elle n’employa pas sa méthode usuelle de lubrification, mais prit un peu de Vaseline pour serrer le gland et juste derrière, là où sa verge était si fragile mais si sensible. Elle le masturba et bientôt le sperme chaud s’écoula sur sa main.
Elle l’essuya avec un mouchoir en papier, désinfecta le thermomètre à l’alcool et alla se laver soigneusement les mains.
« Bonne nuit mon petit chou. J’espère que ça va t’aider à bien t’endormir. »
Un bon début de soin pour ce jeune homm…