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Vues: 581 Created: 2020.09.20 Mis à jour: 2020.09.20

Les études de Marie-Jeanne

Retour à la ville

La rentrée approchait, et il était temps de revenir à la grande ville. Marie-Jeanne ne dit évidemment pas à ses parents qu’elle avait également hâte de s’y rendre afin de retrouver l’affection et les caresses de sa logeuse.

Les retrouvailles furent intenses. Marie-Jeanne et madame Granlean se regardèrent puis se jetèrent dans les bras l’une de l’autre. Marie-Jeanne embrassa sa logeuse dans le cou, puis sur la bouche. Madame Granlean, l’air attendri et sous le coup de l’émotion, lui caressait le dos.

Il n’y eut guère de paroles. Marie-Jeanne déshabilla madame Granlean, madame Granlean déshabilla Marie-Jeanne. Elles basculèrent sur le lit. Madame Granlean suça les tétons de la jeune femme, Marie-Jeanne lui rendit la pareille. Caresses et baisers se succédaient ; madame Granlean s’étala afin que sa partenaire puisse s’occuper de son fessier, qui servit brièvement d’oreiller. Madame Granlean se mit à masturber le clitoris de Marie-Jeanne, taquina l’orifice vaginal jusqu’à l’hymen, puis dirigea sa tête vers l’entrejambe.

« Madame je ne me suis pas encore lavée.

— Qu’importe. »

C’est donc une Marie-Jeanne encore toute en sueur de son trajet que madame Granlean lécha, et de temps à autre pénétra du doigt, jusqu’à l’orgasme.

Madame Granlean berça un peu Marie-Jeanne tandis que cette dernière savourait son plaisir. Puis ce fut au tour de Marie-Jeanne de masturber sa partenaire. Madame Granlean, toute ménopausée qu’elle fût, était mouillée. Marie-Jeanne s’amusa à sentir l’érection de son clitoris entre ses doigts, puis plongea dans le vagin. Madame Granlean poussa un petit glapissement d’encouragement. Marie-Jeanne aimait sentir l’intérieur de sa partenaire, et regretta encore une fois de ne pouvoir lui rendre la pareille. Après quelque temps de stimulation digitale interne et externe, elle se mit à lécher elle aussi. Madame Granlean jouit à son tour.

Qu’il est bon de s’offrir un moment de détente et de tendresse toutes nues dans un lit ! Madame Granlean caressait les cheveux de Marie-Jeanne. Celle-ci eut un petit rire.

« Madame, vous savez, je me suis rogné les ongles hier… en prévision. Et j’ai l’impression que… que vous vous êtes lavée peu avant que je n’arrive.

— Hé bien oui. J’avoue. Moi aussi, en prévision. »

Elles prirent une douche. Madame Granlean se chargea de l’intimité de Marie-Jeanne « comme cela vous serez bien propre pour le coucher » ; Marie-Jeanne lui rendit la réciproque. Visiblement, la bonne Yvonne comptait repasser les plats ! Mais pour le moment il s’agissait d’une cuisine moins métaphorique, puisque les deux femmes cuisinèrent et dînèrent ensemble.

Madame Granlean, en effet, comptait prendre une seconde fois du bon temps, ce qui n’était pas pour déplaire à Marie-Jeanne. Cette fois-ci, quand les doigts de Marie-Jeanne lui eurent bien taquiné son sexe, madame Granlean fit une requête : « L’olisbos, s’il vous plaît. »

Marie-Jeanne monta sur madame Granlean, l’embrassa sur la bouche, et lui enfonça l’olisbos dans le vagin avant de pratiquer un simulacre de coït. Son autre main se posa sur le clitoris. Sous cette double stimulation, madame Granlean ne fut pas longue avant d’exhaler un gémissement de plaisir.

« Merci, Marie-Jeanne. »

Une fois madame Granlean remise de ses émotions, elle gratifia Marie-Jeanne d’un splendide cunnilingus pendant lequel elle lui taquina l’anus, sans toutefois le pénétrer. Marie-Jeanne eut aussi son orgasme du soir. La nuitée des deux amoureuses fut paisible.

Le lendemain, Marie-Jeanne tint à raconter ses aventures estivales à sa logeuse. Madame Granlean tiqua à l’évocation de Jean-Louis et de Michel tentant des ébats sur leur lieu de travail, et approuva l’action de Marie-Jeanne de le dissuader de recommencer.

« Ce Jean-Louis se laisse emporter par sa passion. Comme vous dites, Michel n’ayant que 20 ans, il risque d’être accusé de corruption de mineur ; et par ailleurs il risque le renvoi. »

Madame Granlean fut toutefois surprise de la part active que Marie-Jeanne avait prise par la suite… et amusée.

« Je vous imagine en train de décalotter ces messieurs en leur reprochant leur manque d’hygiène intime !

— C’est que le pauvre Michel ne peut pas vraiment décalotter… ses parents n’avaient pas voulu d’une circoncision… je lui ai conseillé de voir un médecin.

— Pauvre garçon en effet. »

Le rire fut plus franc encore quand Marie-Jeanne évoqua les lavements qu’elle infligeait à ces messieurs pour les préparer à la sodomie.

« Vous riez ?

— Avouez que c’est comique. Mais vous avez raison… il me semble que des matières fécales dans l’urètre peuvent produire une infection. »

Marie-Jeanne en vint à la dernière séance. Elle avait l’air un peu déconfite en évoquant le lavement qu’elle avait reçu. Madame Granlean ne montra guère de compassion.

« Taratata. Vous aviez des flatulences, cela vous a dégagée. Et puis vous leur aviez fait tant de fois ! »

Il n’empêche que Marie-Jeanne avait encore un peu honte à l’évocation de ce traitement et de l’expulsion qui s’en était suivie. Elle passa donc au déshabillage devant Michel.

« Hé bien, vous avez bien fait de lui donner une leçon de choses. Ce garçon est encore ignorant, il doit décider en connaissance de cause s’il aime les corps masculins, féminins, ou les deux. »

Marie-Jeanne rougit, et hésita à parler plus avant. Elle s’enhardit.

« C’est que, madame… oui il aime aussi les corps féminins. Enfin, il a aimé le mien.

— Vous ne lui avez pas…

— Non madame, pas ma virginité. Mais je lui ai demandé de lécher, j’ai beaucoup aimé et lui aussi.

— Très bien. Très bien pour lui, s’il a aimé, et il aura appris quelque chose ; et très bien pour vous car vous avez osé demander à un homme un acte qui vous ferait plaisir. Peu de femmes osent.

— Vous n’êtes pas fâchée ?

— Non, pourquoi le serais-je ?

— Hé bien c’était une infidélité à notre relation, madame.

— Nous ne nous sommes pas juré fidélité.

— Cela n’était-il pas implicite ? N’éprouvez-vous aucune jalousie ? »

Madame Granlean était pensive.

« Je n’ai guère encore analysé mes sentiments à ce sujet. Je pense que j’aurais mal pris que vous me dissimuliez pareille chose et que je l’apprenne par la suite. »

Madame Granlean mit un baiser sur le bout du nez de Marie-Jeanne.

Les deux femmes irent au marché. En rentrant, Marie-Jeanne semblait à nouveau préoccupée.

« Madame, j’ai tout de même le sentiment d’avoir mal agi envers vous. »

Madame Granlean soupira.

« Vous y revenez ! Hé bien, je vais faire quelque chose pour apaiser votre culpabilité. »

Elle entraîna Marie-Jeanne vers sa chambre, s’assit sur le lit, et posa une de ses pantoufles à côté d’elle.

« Troussez-vous.

— Madame ?!

— Hé bien, troussez-vous. Relevez votre robe au-dessus de la ceinture.

— Vous voulez me fesser ?

— Oui, et même vous forcer en proportion de votre embarras. »

Marie-Jeanne pinça les lèvres, mais releva sa robe. Madame Granlean lui baissa la culotte.

« Sur mes genoux. Vous connaissez la position. »

Effectivement, madame Granlean avait décidé de flanquer une correction à proportion de l’embarras de culpabilité dans lequel l’esprit de Marie-Jeanne se débattait. Une série de fortes claques concentra son attention sur ses fesses. Son postérieur la picotait déjà sérieusement quand madame Granlean passa à la pantoufle.

La main de madame Granlean s’aventura entre les cuisses de la jeune femme, qui les écarta. Un doigt opéra une vérification rapide.

« Marie-Jeanne, descendez de mes genoux et mettez-vous à plat-ventre sur le lit. »

Marie-Jeanne s’exécuta et madame Granlean lui passa la main sous le ventre, les doigts sur le clitoris.

Marie-Jeanne ne s’attendait cependant pas à la claque qu’elle reçut sur les fesses, ni aux suivantes. Son postérieur le cuisait déjà, et elle bougeait les fesses à la fois par réflexe à la douleur et comme réflexe d’évitement ; mais ces mouvements contribuaient à la masturbation. La fessée était maintenant plus lente.

Quand sa respiration se fit plus forte, madame Granlean reprit une fessée forte et rapide. La chaleur de son postérieur irradiait vers le sexe de la jeune femme. Elle atteint l’orgasme.

« Madame j’ai honte.

— Quoi encore ? Vos aventures avec Michel ?

— Non. D’avoir pris du plaisir en me faisant fesser.

— Dites-vous que vous n’êtes ni la première ni la dernière dans ce cas… et pareil chez les hommes. Qu’y a-t-il de mal à cela ? »

Non, il n’y avait rien de mal. La main de madame Granlean, qui lui caressait ses fesses endolories, resta encore quelques minutes, avant qu’elle ne prît congé.

Comments

lavement68a Il ya 3 ans  
Aranam Il ya 4 ans  
clyso Il ya 4 ans