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Vues: 622 Created: 2021.08.06 Mis à jour: 2021.08.07

Discipline domestique

Du Sexe et de la Violence !

Voilà déjà quelques heures que cela me démangeait. Elle se pavanait devant moi, les fesses bien moulées dans son pantalon, elle avait planté mon martinet dans un pot de fleurs et elle distillait ses impertinences tout comme un torero plante ses banderilles...

Forcément le taureau avait finit par voir rouge, et le désir ne cessait de déformer mon pantalon !

D'une main ferme je l'ai culbutée en travers du canapé. Sa belle croupe était tendue vers moi... J'affichais un grand sourire tout en empoignant l'instrument qui me servait de paddle, une raquette de jokari en bois, lissée à force d'avoir joué bien des parties sur des fessiers rebondissants...

Le tissu kaki de son pantalon lui collait aux fesses et n'offrait qu'un rempart symbolique, d'autant plus que sous cette mince protection elle ne portait qu'un string modèle "pousse-au-viol".

La raquette de jokari a fendu l'air et a claqué son postérieur comme un coup de feu. Aucun son n'était sorti de sa bouche. Estomaquée, elle reprenait son souffle. Les coups se sont succédés, ses cris sont devenus de plus en plus aigus, ses jambes battaient l'air, sa main cherchait à s'interposer. J'ai immobilisé son poignet et quelques coups ont encore retentit.

Lorsque j'ai lâché la raquette elle a gardé la position. J'ai collé ma main entre ses jambes, bien au chaud, elle a serré ses cuisses en soupirant. Impossible de résister à un tel appel, mais il me fallait lui faire sentir qui était le mâle.

Je l'ai empoignée et l'ai collée le buste en avant contre la lourde table en chêne du salon. Mes mains ont entreprit de déboutonner son pantalon et de le baisser à mi-cuisses, rapidement rejoint par un string tout humide. Mon sexe a jailli du caleçon et est venu se frotter contre son minou tandis qu'elle remuait suggestivement les fesses. Ce petit jeu a duré ainsi quelques minutes jusqu'à ce que j'empoigne ses hanches pour la pénétrer d'un seul coup, en collant mon ventre contre ses fesses encore brûlantes.

De ses mains elle serrait les bords de la table, elle essayait de se calquer sur mon rythme pour lancer ses fesses à ma rencontre... Délicieuses minutes de folies, entre pur plaisir animal partagé et le spectacle de ses belles fesses que je prenais à l'assaut en essayant de prolonger cet instant divin.

Après un long moment où nous n'avions pas dit un mot, seulement troublé par nos soupirs et nos cris, comme dans un rêve, je l'ai entendu me demander : "le martinet... le martinet... fouette-moi pendant que tu me prends !"

Je n'en croyais pas mes oreilles ! Mais où était passée la femme timide qui m'avait avoué n'avoir pu fermer l'oeil la nuit précédente, toute angoissée à l'idée de notre première rencontre ? Jusqu'ici j'avais mené le jeu mais là j'étais franchement épaté par sa requête ! OK, elle allait l'avoir le martinet, mais à ma manière !

Le temps de prendre l'instrument de le poser sur la table et de faire remonter un peu plus haut le miel qui s'échappait de son minou, entre ses fesses, tout contre un petit oeillet bistre qui me narguait. Doucement mais fermement je prenais possession de ses reins, lentement je commençais des va-et-vient jusqu'à ce qu'à nouveau elle tente de lancer ses fesses à ma rencontre.

Empoignant le martinet d'un mouvement circulaire du poignet, j'ai lancé les lanières, comme une hélice, l'extrémité des cordes de cuir est venue mordre ses hanches, le haut de ses fesses, ses cuisses tandis que j'activais mes mouvements pour l'empaler avec plus de force...

Tout s'est alors précipité, nous voguions tous deux en dehors du temps, de la réalité, elle s'est tendue et a crié son plaisir... Epuisé je m'écroulais contre son dos... Tandis que le bruit des battements de nos coeurs frappait à nos tempes, nous tentions de reprendre notre souffle, de récupérer nos esprits...

Blottie dans mes bras elle me serrait avec force, tout doucement nous émergions en vidant nos coupes de champagne. Etonné par son audace je lui fis remarquer que la lourde table s'était déplacée pendant notre marathon. Le regard brillant elle me confia que n'importe qu'elle femme prise dans cette position ne peut que laisser parler la femelle qui sommeille en elle et grimper au rideaux...