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Vues: 680 Created: 2021.08.06 Mis à jour: 2021.08.06

Discipline domestique

Une petite ruelle sombre

(Dans ce récit nous retrouvons la demoiselle du chapitre 1, lors de notre première rencontre)

Nous nous connaissions virtuellement via un forum consacré à la fessée et c'est elle, si timide, qui avait eu la témérité de me contacter !

J'allais passer quelques jours de vacances en Occitanie et elle suggérait que nous prenions un verre...

S'en était suivi quelques appels téléphoniques où sa timidité faisait place à cette insolence calculée pour provoquer une réaction chez tout fesseur qui se respecte. Je m'étais bien gardé de rentrer dans son jeu, m'amusant de ses audaces téléphoniques.

Rendez-vous fut pris dans sa belle ville de province par une douce soirée d'octobre.

Lorsque je l'ai aperçue, elle se cachait derrière un sourire et des yeux rieurs; une délicieuse petite souris brune, si femme et si chipie...

Elle m'entraîne à une terrasse en face de l'hôtel de ville. Le jour commençait à tomber, il faisait doux, et nous discutions autour d'un verre.

A nouveau elle se réfugiait derrière une armure d'insolence rieuse. Je devinais une fragilité, elle n'en laissait rien paraître. Notre conversation se résumait à un badinage sympathique, je me disais qu'elle ne courrait pas grand risque; je n'allais pas la fesser publiquement et nous n'avions rien planifié, ni point de chute, ni temps nécessaire à d'autres jeux.

Entre fou rires et dialogues politiquement incorrect le temps s'écoule vite, la nuit était tombée et nous allions nous quitter. J'étais heureux de cet échange tout en restant un peu sur ma faim... Elle aussi mais je ne l'avais pas encore compris.

Sur le chemin du retour elle s'improvise guide touristique et m'entraîne vers une ruelle.

Une petite ruelle sombre, une remontée dans le temps, le long des murs anciens du château. Un grand portique, une semi-obscurité et enfin une petite cour moyennageuse mal éclairée.

Nous étions a quelques dizaines de mètres de la place principale encore bien fréquentée et pourtant l'endroit était retiré. Une parenthèse en dehors du monde qui nous entourait.

Elle semble satisfaite de m'avoir fait découvrir l'endroit. Moi je la fixe droit dans les yeux et lui demande : "Pourquoi m'as tu amené ici ?"

Elle rougit, son regard cherche le sol, elle se tortille sur place, elle bafouille... A ce moment précis elle a fait le plus dur et me passe le relais, à mon tour de prendre les choses en main. Elle m'avait bien plus tôt expliqué qu'elle avait du mal à vaincre sa pudeur, qu'il était nécessaire de l'empoigner et de la maintenir pour abuser d'elle mais je n'avais aucune envie de la suivre sur cette voie. Je préférais qu'elle m'offre docilement ses fesses si j'en exprimais le souhait.

Lui désignant une grille en fer forgé qui obstruait un passage sombre dans la muraille, d'une voix ferme je lui ai dit: "Tu vas baisser ton jeans, te pencher en avant et poser tes mains sur la grille !"

Elle hésite, elle me regarde, elle s'y refuse, elle n'ose y croire. Je sais le dilemme qui l'habite. Obéir, elle qu'il faut d'ordinaire maîtriser de force, ça lui est inconcevable.

A nouveau, calmement, je lui demande de se déculotter parce que je le lui ordonne !

Le silence... les secondes qui durent des heures... lentement, elle s'exécute.

Je lui caresse la nuque, ma main descends sur ses belles fesses qui se contractent. A quelques mètres de nous c'est le centre ville, il y a du monde. A tout moment nous risquons de nous faire surprendre, la situation ne peut s'éterniser. J'abaisse sa petite culotte et les claques s'abattent sur ses fesses qui se colorent rapidement... Une fessée rapide et claquante.

La fessée terminée je lui demande de garder la position, lui caresse les fesses, ma main glisse le long de son sexe tout humide, je titille son anus d'un doigt inquisiteur, elle soupire... et je l'autorise à se rhabiller.

Des pas résonnent, il se rapprochent. Deux policiers nous surprennent. Ils me jettent un regard soupçonneux, elle les rassure d'un sourire. Le jeu était délicieusement dangereux; ils auraient pu survenir un peu plus tôt !

Toujours dans cette cour obscure nous nous asseyions sur les marches d'un escalier en pierre et je la prends dans mes bras.

Le jeu est terminé, elle raconte avec une sincérité qui me touche ses doutes, ses craintes et me dévoile son univers.

Une rencontre improbable, cette parenthèse dans nos deux vies, ce jeu improvisé, cette fessée impromptue et l'échange qui a suivi restent parmi mes meilleurs souvenirs.