1 members like this


Vues: 328 Created: Il ya 1 an Mis à jour: Il ya 1 an

Journal d'un célibataire fétichiste

Visite médicale au lycée

Le jeudi matin arriva. Il y avait une sorte d'excitation dans les classes car, à tour de rôle et par binôme, on se levait pour se rendre à l'infirmerie où se tenait la visite médicale. Comme je l'ai dit dans l'épisode 1, Emilie et moi étions nouveaux dans ce lycée privé et ne savions pas du tout comment ça se passait. Vers 10h, notre tour arriva : je fus appelé en même temps qu'elle. On alla donc tous deux frapper à la porte de l'infirmerie. Un médecin dans la cinquantaine, en blouse blanche, nous ouvrit et nous indiqua une pièce carrée bordée de porte-manteaux et de bancs :

– Attendez ici. Prenez un flacon et remplissez-le. On vous appellera.

Emilie et moi prîmes un flacon en plastique au bouchon rouge. Il y avait une toilette au fond de la pièce, avec une porte qui ne fermait pas.

– Tu y vas d'abord ? me demanda Emilie.

– Toi. Si tu as envie.

– Ben non…

J'y allais. La porte ne fermait pas du tout et restait même entr'ouverte. Je me défis, sortis mon zizi au-dessus de la cuvette. Ca ne venait pas. Je ressortis.

– A toi.

– Il est vide ?

Je haussais les épaules. Elle entra à son tour dans la toilette, poussa la porte, défis sa ceinture, s'assit, pissa dans le bocal, fit le reste dans la cuvette, tira la chasse et ressortis, la ceinture défaite :

– Pas besoin de remettre tout. Il paraît qu'on se fout à poil, dit-elle.

Et je ne pus m'empêcher de penser que l'avant-veille elle avait enlevé ses vêtements pour autre chose…

Une porte s'ouvrit et on nous indiqua chacun d'aller dans une cabine :

– Vous vous mettez en sous-vêtements. Vous pouvez garder les chaussettes. On vous appellera.

Les cabines étaient adjacentes avec des cloisons qui s'arretaient à 20 cm du sol. On pouvait voir les pieds de l'autre et entendre tout ce qu'il faisait. Je savais ce qu'elle enlevait.

– Voilà, dit-elle tout haut. Et toi ?

– Aussi, répondis-je.

J'étais de plus en plus mal à l'aise.

L'autre porte de la cabine s'ouvrit et on m'invita à entrer dans un petit cabinet médical aux murs blancs et nus avec juste un bureau en bois et une table d'examen couverte d'un papier protecteur. Je compris que c'était l'infirmerie habituelle séparée en deux par un rideau coulissant en plastique. De l'autre côté du paravent, il y avait l'autre table d'examen. Et on appela Emilie presque en même temps que moi. Elle allait être examinée à côté, juste derrière ce rideau de plastique. J'entendais assez bien ce qui se disait. On subissait les mêmes examens presque en même temps :

– Montez sur la balance, mettez-vous contre la toise… Allongez-vous… Faites ahhhh… (toussotements d'Emilie à cause du réflexe vomitif… et je songeais qu'elle avait dû avoir la même chose lorsqu'elle avait sucé la queue de Laurent) Respirez… Je vous fais mal, là ? (palpation du ventre)… Bon, vous pouvez baisser le slip ? (Silence : trituration de la chatte ? constatation que l'hymen est percé ?)

Difficile de contraindre sa pensée à ne pas visualiser Emilie allongée, en slip, soutien-gorge et chaussettes, sur la table d'examen, sa peau laiteuse luisante sous la lumière du jour qui entrait par les fenêtres. Difficile de ne pas chercher à voir la main du médecin palpant son cou, lui insérant le bâton dans la gorge (après le gland suintant de Laurent), le réflexe vomitif la faisant se contracter au niveau du ventre, puis la main du médecin déformant la chair de son abdomen, cet abdomen qui, deux jours plus tôt, supportait le poids d'un homme et contenu, dans sa partie inférieure, une verge dure et pleine de spasme éjaculant le liquide chaud et visqueux.

Quant à moi, on me palpe le ventre et on me demande aussi de baisser le slip. On me prend la verge dans les mains, on la soulève, on la décalotte. J'ai une sensation agréable et j'ai peur de… On passe aux testicules… Pensée terrible : mardi, Emilie a peut-être fait la même chose à Laurent et celui-ci pouvait se laisser aller à l'érection. La vision des doigts fins et blancs d'Emilie triturant la verge me fait battre le coeur et je sens une chaleur dans mon bas-ventre, chaleur d'avant l'érection… Et Laurent, il va bientôt passer à la visite aussi et le docteur pourra avoir vu les deux : la verge et la vulve récemment unis. A côté, la conversation continue :

– Vous avez des rapports réguliers ? Vous utilisez des préservatifs, hein ? C'est important (leçon habituelle) Bon, c'est bon, vous pouvez aller vous rhabiller et rejoindre le cours. N'oubliez pas votre dossier.

Moi je me lève de la table en silence, un peu voûté, honteux d'une demi-érection…

Dans la cabine, j'entend Emilie qui se rhabille :

– Alors, c'est bon pour toi ? dit-elle.

J'entends qu'elle renfile son maillot de corps, puis son jeans, qu'elle boucle sa ceinture, qu'elle remet ses chaussures.

– Oui, réponds-je…

Nous nous hatâmes de retourner en cours, sans parler. Mais je la sentais à l'aise. Evidemment, son rapport à son corps n'était pas comme le mien. Elle avait connu l'extase de l'amour et se faire palper par un médecin ne lui faisait peut-être plus rien. Elle avait désormais une pudeur en moins. Pas comme moi qui craignais ce qui avait fini par arriver : avoir une érection, certes limitée, mais visible.

En cours de math, Emilie rapporta à Nath qu'on lui avait regardé la chatte.

Nath : Ben oui, c'est utile. Surtout pour celles qui ne sont pas aussi bien suivie par leur toubib. Pour les mecs, ils regardent la queue aussi…

Je sentis alors la main d'Emilie se poser sur mon épaule :

Emilie : C'est vrai ? On t'a regardé la queue ?

Rires des deux demoiselles, moqueuses, sales filles. Je rougis, j'avais honte.

Comments

livanclif Il ya 1 an  
clyso Il ya 1 an