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Vues: 313 Created: Il ya 1 an Mis à jour: Il ya 1 an

Journal d'un célibataire fétichiste

La première fois d'Emilie vue par le docteur

Vous avez pu lire mon récit de “La première fois d'Emilie” où je vous raconte comment j'ai assisté impuissant à cet épisode de la vie d'Emilie. Quelques jours avant cela, Emilie était allée chez son médecin pour faire un rappel de vaccin. Elle avait 18 ans depuis quelques mois et allait toute seule chez ce praticien dont le cabinet était à quelques rues du lycée.

Le praticien en question soignait toute la famille d'Emilie, connaissait très bien les parents et était quelqu'un de consciencieux comme les médecins des années 1990 qui auscultaient longuement, prenaient leur temps et examinait de fond en comble. Ainsi, depuis qu'Emilie avait 12 ans, elle allait au moins une fois par an chez de médecin, longtemps accompagnée de sa mère. Et après plusieurs minutes d'anamnèse, c'était un rituel, il lui disait de se déshabillait. Emilie se mettait alors en slip et soutien-gorge et avait droit à une examen aussi complet que ce que l'on connaissait dans ces années-là.

Emilie était une de ces filles qui, sans être très belle, avait quelque chose de troublant par la posture et la personnalité. Elle était assez petite, mince, brune avec un regard de fille très têtue mais aussi très intelligente, fine, clairvoyante et avec du bon sens. Elle n'était pas aguicheuse et elle ne se laissait pas approcher par n'importe qui. D'ailleurs, elle pouvait sembler très froide comme très chaude. Il n'y avait pas de demi-mesure. Elle aimait ou elle haïssait. Elle était violoncelliste au conservatoire et la musique marchait très bien. En cours de gym, où les filles se mettaient bras nus comme nous, elle aimait parfois rigoler en montrant la musculature de son bras gauche, caractéristique des violoncellistes.

Revenons à ce mois de janvier où elle a rendez-vous chez son médecin à 14h, le mercredi. Elle se rend seule dans la salle d'attente et se plonge dans un livre de poche.

Elle songe que son bas-ventre réclame de plus en plus cette chose dure qu'elle a tenu entre ses mains quelques jours plus tôt. Le mercredi d'avant, à la faveur de deux heures sans cours, Laurent l'a emmené dans sa chambre. Et là, ils se sont embrassés un peu plus que d'habitude. Ses mains à lui ont soulevé la chemisette de la jeune fille et, sans rien dire, ils ont retiré leur haut. Emilie toucha le torse glabre et musclé de Laurent et lui toucha ses seins pâles et érigés. Puis il lui demanda en chuchotant si “elle voulait”. Elle fit non de la tête en se disant “pas prête.” Alors, il défit sa braguette et déboutonna son jeans et sortit son sexe dur et humide. Elle sentit son coeur battre avec violence.

– Tu peux toucher.

Elle toucha alors en hésitant. C'était chaud et dur. Très dur.

Elle songea, en voyant cette chose, qu'il avait déviergé bien d'autres filles du lycée. Elle en avait tellement envie mais aussi elle avait un peu peur, non pas de la douleur mais de ce que ça changerait dans sa vie. Son éducation catholique lui laissait comme souvenir que c'était un moment important. Elle, elle savait qu'après Laurent, il y en aurait d'autres. Il n'était rien. En fait, il était juste une occasion pour se faire tirer. Elle ne l'aimait pas plus que ça mais aucun garçon ne lui courrait après. Si, un, vaguement, intelligent, mais qui n'osait pas lui dire “J'ai envie de toi” et qui, en plus, n'était pas très sexy (moi). Alors là, elle allait se faire dévierger par un pro.

Il lui prit la main et la serra autour de la verge et lui faire des petits allers et retours. Ce qu'elle continua d'elle-même.

– Arrête, dit-il. Je vais gicler…

Elle s'arrêta.

– Tu veux que je gicle ? demanda-t-il.

– Je… Je ne sais pas… Si tu veux…

– Assieds-toi à côté de moi, là, tiens…

Ils s'assirent côte à côte et elle reprit sa verge en main et le masturba doucement. C'était la première fois qu'elle tenait un zizi dans ses mains… Laurent respirait fort, étonné de venir aussi vite. Au bout d'un moment, Emilie sentit la verge frémir, durcir d'avantage et pulser dans la paume de sa main. Le sperme gicla loin devant. Il se dégagea de l'étreinte sexuelle et embrassa Emilie sur la bouche. ELle secoua sa main dont les doigts étaient couvert de sperme. Il lui passa un mouchoir et alla se laver, en silence.

– Ca t'a plus ? Tu fais ça super bien.

– Oui…

Elle était pensive. Cela avait décuplé son envie. Elle songeait à ce liquide chaud et visqueux dont on disait qu'il faisait des enfants et donnait des maladies terribles… Ah, la vie est compliquée.

Revenons chez le médecin. La porte du cabinet s'ouvre et il apparaît, jovial, content de voir “sa violoncelliste préférée”. Une fois la porte refermée, il commence :

– Alors, tu viens pour quoi ?

– Les vaccins.

– Ah oui, c'est vrai. Alors, ça se passe bien ? Le lycée ?

– Oui, bof…

– Et la musique ?

– Oui, ça va.

– Je viendrai t'écouter à la fin de l'année.

– Super ! sourit Emilie.

– Et sinon ? Rien de spécial ?

– Non, rien de particulier.

– Des petits copains ?

Cela fit rire Emilie.

– Ah, tu rougis, tu en as un ? C'est Laurent ? Je vous ai vus, ah ah ah !

Elle rit aussi, un peu intimidée.

– Bon, tu es prudente, hein ? Il mets des préservatifs avec toi ?

Que répondre ? Elle ne savait pas puisque “cela” ne s'était pas encore passé… Elle haussa les épaules avec une moue signifiant qu'elle ne savait pas.

– D'accord, vous ne l'avez pas fait, donc… Donc si c'est imminent, penses-y, d'accord ma petite ?

Puis, il rangea le carnet de santé et se leva pour aller chercher la dose de vaccin.

– Allez, on passe à l'examen.

Et pendant que le toubib va préparer la table d'examen, Emilie se baisse sur sa chaise pour délacer ses chaussures et les enlèves, puis se lève pour déboutonner son pantalon, enlever son pull, déboutonner sa chemisette, l'enlever. Elle retire ensuite son maillot de corps puis enlève son jeans. Elle est en soutien gorge blanc, culotte cotton blanc dont l'élastique est presque au niveau du nombril et chaussettes rose clair.

– Viens sur la balance… bon, monte sur la table.

Emile monte sur la table et s'assied sur le bord, comme elle l'habitude. Le docteur ajuste son stéthoscope :

– Respire bien fort… (auscultation devant, derrière)

Puis il retire le stétho de ses oreilles et palpe de le cou de la jeune fille.

– Ouvre la bouche… fais aaah !

Il enfonce un bâtonnet de bois et Emilie se contracte, elle n'aime pas, elle a le réflexe vomitif qui la fait se cambrer et contracter son ventre.

– Allonge-toi.

Il lui passe le brassard du tensiomètre. Elle sait qu'après ça, il va aller ranger son appareil et revenir lui palper le ventre. Elle n'aime pas particulièrement non plus mais se laisser faire. Lui regarde, tout en appuyant dessus, ce ventre pâle qu'il a vu grandir. Son regard descend sur les cuisses de la jeune fille et songe que dans quelques jours, un homme viendra placer son bassin entre elle, la verge durcie et… Ses mains tâtent le bas du ventre, l'utérus, les ovaires, le centre du désir féminin.

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– Bon, pas de problèmes au niveau de la vulve ? Tu souhaites que je regarde ?

Elle est un peu génée mais esquisse un timide oui. En fait, elle serait rassurée.

– Allez, enlève ça, dit le docteur en se retournant pour faire mine de ranger le stéthoscope et en fait pour ne pas gêner sa jeune patiente.

Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes et la pose à côté d'elle. Le docteur revient :

– Plie un peu tes jambes, voilà et écarte un peu.

La vulve est couverte de poils noirs assez longs. Les doigts du médecin écartent un petit peu les lèvres, l'intérieur est rouge. Il voit l'hymen rosé, songe que dans quelques jours, peut-être demain, un gland humide viendra choquer cet endroit, déchirer la peau, la faire un peu saigner peut-être et, par petits à-coups, pénètrera cet intérieur pour… Imaginant la scène, il a un regret, celui de ne pas être Laurent.

Quelques jours auparavant, il a examiné le jeune homme qui l'a consulté pour un certificat médical pour le sport. Tout comme Emilie, Laurent consulte ce médecin depuis longtemps et, selon les habitudes qui étaient en vogue à l'époque dans les années 1990, il fut examiné en slip. Le docteur avait palpé son ventre musclé, songeant que les mains d'Emilie avaient déjà dû se poser sur ces tablettes de chocolat. Puis, il avait demandé à Laurent de descendre le slip pour une vérification habituelle des testicules et des hernies et, au passage, de la verge et d'éventuelles rougeurs ou autres. Il avait eu entre ses mains le pénis au repos, déjà de bonne taille et se disait que ce pénis, qui avait visité les entrailles de dizaines de filles du lycée, visiterait bientôt celles d'une violoncelliste. Et il songeait aussi que la violoncelliste profitait de ce garçon uniquement pour assouvir son désir de sexe et non d'amour, car Laurent n'avait pas le profil pour plaire vraiment à Emilie : il était beau, certes, mais un peu vide de sens, à part pour baiser et jouer au ballon. Peu importe, il ferait son affaire, la tirerait une fois, deux fois, dix fois, et, une fois satisfaite, une fois les entrailles assouvies de sperme et d'orgasmes de jeune fille, elle irait en trouver un autre pour l'amour.

Le toubib relâche les lèvres et jette un oeil rapide sur la zone anale.

– C'est bien. Préservatif, ok ?

– Oui oui…

– Allez, assieds-toi, on fait le vaccin.

Emilie se rassit sur le bord de la table, fesses et sexe nu. A quoi bon remettre la culotte. Elle sentait tout de même une sorte de sensation dans son bas-ventre. Elle aussi se disait que demain, probablement demain après-midi, elle serait nue et écarterait les cuisses. Son coeur battait. Elle le fit pas attention à l'aiguille du vaccin. Elle pensait à ce qu'elle ressentirait lorsque le gros pénis rentrerait dans sa vulve. Et à son attitude, le soir, lorsque sa mère viendrait la chercher au lycée en voiture. Et à la maison, le soir, à table. Ses parents se douteraient-ils de quelque chose ?

– Voilà, tout est ok, mademoiselle. Tu peux te rhabiller.

En attendant qu'elle se rhabille, il lui demanda des nouvelles de ses parents. Et elle partit, la tête pleine d'étranges images.

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clyso Il ya 1 an