Bonjour,
voici d'autres souvenirs
Le souvenir que je me propose d'évoquer remonte à vingt-cinq ans environ. Je ne le fais bien sûr qu'avec l'autorisation des personnes citées, même si j'ai modifié les prénoms.
La jeune femme de qui je parle travaille dans la même Entreprise que moi. C'est une jeune femme brune, cheveux courts châtain clair, menue mais avec des rondeurs ou il faut. Il n'y a jamais rien eu entre nous, sinon une bonne amitié et des goûts communs.
Un beau jour, à la sortie, elle me demande de l'accompagner chez elle, sa voiture refusant de démarrer.
Pendant le trajet,
- Gérard, promets-moi que ce que je vais te demander restera entre nous.
- Aucun problèmes, Monique, je te promets.
- Je sais que tu fréquentes les sex-shops de la région, peux-tu me renseigner ? Où pourrai-je trouver un bon assortiment de matériel de lavements ; ce que je possède est en très mauvais état.
Je le lui indique. Quelques jours plus tard, elle m'avoue qu'elle n'osait pas y aller toute seule et me demanda de s'y rendre avec elle. Je décidais de me jeter à l'eau, en lui demandant, comme condition, d'étrenner le matériel sur elle, ce qu'elle accepta gentiment : "ça et rien d'autre !".
Le week-end suivant, nous nous rendons de concert à trois-cents km environ dans un sex-shop qui était connu sur la région pour les articles recherchés.
Nous voici à la boutique ; je ne lui ai pas menti, il y a tout ce qu'il faut, et même davantage.
Elle emporte un grand bock avec tuyau, et trois canules – une petite, une longue avec une olive et une assez grosse – et une poire de 500 cl avec jeu de trois canules dont une vaginale.
Au retour, elle m'invite à dîner et une fois tout rangé,
- maintenant, je te propose de m'administrer un lavement ; inutile de te dire que j'adore ça depuis que je suis gamine… allons dans la chambre.
Tout d'abord, elle déballe le matériel, puis,
- qu'est-ce que tu choisit ?
- je propose un petit lavement à la poire et ensuite après un petit repos, un grand au bock.
Nous allons à la salle de bain déposer tout le matériel et elle me regarde préparer la poire avec de l'eau tiède.
Je la ramène à sa chambre, pose la poire sur la table de nuit, m'assoit sur le lit,
- j'espère qu'il y à un thermomètre dans la maison, car j'ai l'intention de te prendre ta température avant.
- dans la table de nuit ; c'est drôle, je n'y pense jamais et mes amies non plus (je savais qu'elle aimait les filles aussi pourtant…
Je trouve le thermomètre : il est ancien, dans un tube cylindrique en métal ; je le sort, le secoue et le lubrifie avec de la salive et je le pose à côté de moi sur le lit .
- vient t'allonger en travers mes genoux,
elle se dispose comme je le lui ai demandé, sa petite robe remonte sur ses jolies cuisses et j'entrevois une sage culotte blanche. Je relève la robe sur ses reins, je descends sa culotte de fillette à mi cuisses, patine avec une main la lune ainsi dévoilée.
- il est beau comme tout ton derrière, Monique, bien plus qu'il ne le paraît, il est ferme, rond…
Sous ma caresse, elle se tortille comme une petite fille, puis j'écarte d'une main les deux joues fessières, dévoilant un œillet juvénile bistre, très étroit dans lequel je pousse une phalange enduite de salive ; l'anneau palpite sous l'intrusion mais s'ouvre avec facilité.
Je ne pousse pas plus loin l'exploration et me saisissant du thermomètre, je pose le bout argenté contre l'orifice anal et tout doucement j'introduit le thermomètre dans le sombre tunnel, le glissant sur environ deux tiers de sa longueur.
- attendons dix minutes…
- il y a bien longtemps que personne ne m'avait pris ma température ; ma maman je pense. Je devais avoir vingt ans ; tu devrais l'enfoncer davantage, j'ai l'habitude de me le rentrer presque entièrement.
Je pousse doucement sur le tube de verre qui disparaît peu à peu, jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un petit bout pour le tenir,
- mon dieu que c'est doux, tellement mieux que par moi-même.
Je maintien le thermomètre bien au fond et machinalement je patine la belle lune ; elle semble apprécier, car imperceptiblement ses cuisses se desserrent et je distingue sa fente que ne cache presque pas une légère toison et sur laquelle brille quelques perles de rosée…
Reprenant mes esprits, je dégage un peu le thermomètre, juste pour lire la température, puis le renfonce aussi loin,
- nooooon…
Un long gémissement… chaque fois que je retire et repousse le tube de verre ; à trois ou quatre reprise pendant le quart d'heure où je prolonge la prise de température.
Je retire enfin le thermomètre, 36°5 c'est parfait…
Pour plus de commodité, j'achève de la déculotter et, saisissant la poire, munie de la petite canule, je transperce l'œillet qui palpite et, pressant la poire j'envoie un premier jet dans le derrière de Monique qui murmure,
- mmmmm !
je patiente quelques instants, puis retirant l'instrument, je le laisse se regonfler et le renfile pour un deuxième jet, puis un troisième et enfin le dernier qui vide la poire.
Je la laisse en place ;
- tu attends dix minutes au moins avant de te vider.
Au bout de cinq minutes mon amie commence à s'agiter,
- je t'en prie, lâche-moi, je ne peut plus tenir
- allons une grande fille comme toi, habituée en plus, je suis sûr que tu te retiendras jusqu'au bout.
Enfin je lui permets d'aller se vider et j'en profite pour aller nettoyer le thermomètre ; elle revient avec une grande serviette qu'elle étend sur le lit. Avant qu'elle ne s'étende, je lui retire sa robe ; comme elle ne porte pas de soutien-gorge, elle se retrouve entièrement nue devant moi.
Je l'incite à se coucher sur le côté sur la serviette, la jambe repliée contre sa poitrine ; les deux collines se séparent dévoilant l'anus qui semble moins serré que tout à l'heure.
- bien, pendant que je prépare le bock, nous allons reprendre ta température ;
tout en lui parlant, j'ai introduit le thermomètre dans le pertuis d'un geste doux et continu, n'en laissant dépasser qu'un centimètre.
Dans sa position, je pouvais mieux contempler la jolie fissure qui commençait à se dilater laissant sourdre une humidité de plus en plus abondante.
- ne bouge pas, je reviens ;
j'ai rapidement préparé le lavement d'un litre et demi, avec la longue canule à l'olive (deux fois le thermomètre ), puis je suis retourné discrètement près de la porte de la chambre : quel joli spectacle, elle n' a pas bougé, le thermomètre est ressorti un peu ; je m'approche, dépose le bock sur le chevet, dégage le thermomètre pour lire la température et le replonge aussi profondément,
- encore un petit moment, tu es une petite fille bien sage…
En reluquant de plus près sa minette, une image me traverse l'esprit,
- tu n'a jamais eu envie de faire disparaître cette légère toison ?
- parfois oui, mais j'hésite, je ne sais à qui demander…
J'ôte enfin le thermomètre, 36°8 ça doit être l'excitation ; passons au rafraîchissement…
Pour le grand lavement, je l'incite à s'agenouiller sur la serviette, genoux bien écartés et à se prosterner de façon que sa lune soit complètement exposée à mes agissements ; j'ai posé le bock sur une étagère proche du lit, juste un peu plus haut que son derrière de sorte que l'écoulement sera très lent.
Je lubrifie la canule avec de la salive et j'entreprend de la plonger dans la marguerite brune qui n'offre pas de résistance malgré son diamètre bien supérieur au deux précédents visiteurs (comme un petit pouce). J'introduit environ deux centimètres puis j'interrompt la progression pour ouvrir le robinet ; elle sursaute quand elle sent l'écoulement frapper sa paroi rectale. Je reprends la pénétration de la canule, centimètres par centimètres,jusqu'à ce que le petit robinet repose entre ses deux fesses.
Je demeure assis su le lit derrière elle,
- il y en a pour un bon moment ; tu sais, vu d'ici je distingue très nettement ton brugnon. Il est merveilleux ; tes lèvres se séparent et se couvrent de rosée ; ton buisson est vraiment léger ; on dirait que tu n'a que quatorze ans, je suis persuadé que ça serait encore mieux sans poils. Si tu le désire, une amie de ma sœur est esthéticienne-coiffeuse et travaille souvent à domicile. Ma sœur et deux ou trois de ses amies ont recours à ses services et sont très satisfaites.