Bonsoir,
Il y avait longtemps que je n’étais pas revenu sur mes propres souvenirs. Je les reprends : Il s’agit de ceux concernant une collègue de travail Monique .
J’enfilai des gants en latex, puis délicatement je poussais deux doigts dans son coquillage que je trouvais étroit, mais souple et très humide… Je fis quelques mouvements, rentrant et sortant qui lui arrachèrent quelques soupirs, puis la laissant un moment, je choisis un spéculum en plastique, pas trop gros, que j’enfonçais délicatement dans son vagin.
Je l’ouvris avec prudence pour voir son intérieur rose.
Si j’avais déjà maintes fois joué au docteur, cela en était resté à la température et au lavement.
Pour la première fois je voyais une fille en position gynécologique. Je promenais à l’intérieur du conduit un long coton tige, puis retirai doucement le spéculum.
- maintenant tu a droit à une douche vaginale !
Je sorti d’une des armoires une poire rouge d’un litre munie d’une grosse canule noire avec un bout en forme d’olive. L’ayant remplie d’eau tiède, je l’enfonçais dans le vagin jusqu'à buter dans le fond. Puis je l’animais d’un lent va et vient. Je vis Monique fermer les yeux et commencer à soupirer et à se tendre ; j’accélérais puis j’envoyais une première giclée. L’eau ruissela à l’extérieur dans le seau placé au dessous de la table. Continuant mon mouvement, j’envoyais une deuxième giclée. Mon amie projeta son bassin, puis retomba et se détendit. J’ôtais la grosse canule. Dans le même mouvement, je la pointais sur le macaron beige entre ses fesses qui m’apparaissait détendu et poussais fermement.
Il n’eut pas le temps de se fermer et l’olive pénétra facilement.
- Nooon c’est trop gros ! Oh mon dieu c’est rentré !
Comme elle ne disait plus rien je plantais la canule en totalité et l’agitai doucement, jusqu’à ce que Monique se détende complètement dans un soupir.
Je la délivrai de son pal la laissant aller se vider.
Lorsqu’elle revient, je lui fis reprendre place sur la table, replier les jambes sur sa poitrine, puis reprenant le gros thermomètre, je lui enfilai dans la rondelle encore plus loin que précédemment sans qu’elle ne proteste.
Pendant une dizaine de minutes j’agitais l’instrument avant de le retirer.
Ce fut la dernière fois que je vins chez elle, car elle fut envoyée dans une autre filiale.
Cependant je la revis dix-huit mois plus tard…
Responsable du service des archives, ma jeune collaboratrice (rien entre nous) en congés maternité, j’eus la surprise de voir arriver Monique pour la remplacer.
Au début, il ne s’est rien passé. Puis un matin, lorsqu’elle arriva, elle posa son sac maladroitement. Il tomba sur le sol et répandit son contenu que je l’aidais à rassembler. Je saisis un tube de carton marron… Un thermomètre ! Il y avait aussi une petite poire à lavement bleu et une boîte de suppositoires…
- Je suppose que c’est Myriam qui te demande de tels accessoires dans ton sac ?
- Oui, mais c’est loin de me déplaire…
- je n’en doute pas !...
Je saisis l’étui du thermomètre, le posant sur mon bureau et l’aidais à ramasser le reste de ses affaires. Ce jour là, elle portait une robe juste au dessus des genoux.
Je la pris par la main pour l’amener vers son bureau et l’incitai à se pencher au dessus.
- si tu as un thermomètre dans ton sac, c’est pour prendre ta température à n’importe quel endroit…
- Non tu es fou, si quelqu’un vient, on risque de se faire prendre !
- Penses-tu, la salle est très longue, la porte fait un bruit infernal, le bureau est surélevé ; on aura tout le temps de réagir. Elle ne protesta plus, et son air mutin me fit bien voir que ça ne lui déplaisait pas. Elle s’accouda sur le bureau et se laissa faire.
Je passais mes mains sous sa robe, fit descendre sa culotte, toute simple en coton blanc, pour la lui retirer complètement et la mettre dans un de ses tiroirs.
Je lui demandais de bien écarter ses jambes :
Accroupi derrière elle j’avais une vue splendide sur sa conque d’adolescente vermeille, aux fines lèvres entr’ouvertes et couvertes de rosées.
De deux doigts j’ouvris davantage les deux hémisphères de ses fesses pour bien dégager sa petite rosette. Je suçais soigneusement le thermomètre et d’un mouvement rectiligne, je l’enfonçais lentement jusqu’à ce que mes doigt reposent entres les deux joues fessières.
Je me relevais, tenant toujours le thermomètre.
- Ma petite Monique, chaque matin où tu seras en jupe ou en robe, je prendrais ta température…