Dans quelle position recevez-vous ou mettez-vous un suppositoire ?

Très beau récit.

Merci tangogirl2008

Mais de rien ! Ça m'a toute émoustillée tiens :p 😳

C'est vrai que les vieux souvenirs comme les tiens ou les nôtres ont un très grand pouvoir érotique sans doute lié à la charge affective qui va avec !

La vue de ce thermomètre sur la table de nuit ...Instrument de précision, d'indiscrétion, d'émotion...Cette image s'impose et trouble nombre d'entre nous. Merci Tango ... :😃

Oh oui Chevreuil, ce silence absolu alors que vous êtes étendu(e) sur le lit, à plat ventre et déculotté(e), et que le thermomètre est posé sur la table de nuit, pile en face de vos yeux... et pendant que votre mère est partie chercher les suppositoires, alors que l'angoisse monte, vous ne vous pouvez vous empêcher de fixer le thermomètre en pensant à où il était enfoncé quelques minutes auparavant et où il va peut-être retourner dans quelques minutes. Et cette fascination, et en même temps cette angoisse...

Que de souvenirs 😉

Vous avez bien raison d'évoquer le trouble... C'est assez délicieux de le cultiver. Comme j'aime jouer à l'infirmière, j'apprécie de le faire durer. Notamment, en parlant de choses et d'autres, comme si de rien n'était alors que mon "petit malade" (adulte) est déculotté devant moi. C'est amusant et très émoustillant, comme vous le dites si bien, TangoGirl. Ceci dit, après l'utilisation de suppo, l'usage d'un thermomètre me semble bien fade, moins intéressant (parce que moins choquant, je pense ?). Je préfère "considérer que finalement, un lavement semble bien plus approprié pour qu(il) se sente mieux".

Lol NurseParis vous avez les mots qu'il faut... Perso, je ne saurais dire si le thermomètre après le suppositoire est fade. C'est comme si l'humiliation continue alors que vous pensez, une fois le suppositoire inséré, qu'elle va enfin s'arrêter et que vous allez pouvoir retrouver votre dignité en remontant votre culotte. Personnellement je n'ai pas de préféré - j'ai découvert mon "fétiche" avec les piqûres dans les fesses et le thermomètre et le suppositoire me font le même effet - en fait ce sont mes trois chouchous 😜 Comme je l'avais expliqué, je n'ai jamais eu de lavement de ma vie (en tous cas pas que je me souvienne) l'idée me paraît très excitante et je sais que tôt ou tard je vais franchir le pas 😜

Tangogirl2008 nous guettons avec attention le moment où vous franchirez le pas ! Ne manquez pas de nous le raconter !

Ne manquez pas non plus de nous dire le matériel choisi et acheté ! C'est le demi pas qui précède ! et nous émoustille nous aussi !

Promis Clyso - et merci

Je pense que vous les saurez bien assez vite car je n'ai aucune idée du matériel - je sais que je préfère commencer par la poire, mais quel type, est-ce qu'il faut autre chose, etc. etc. - et donc j'ouvrirai un topic pour vous demander vos conseils et opinions (histoire de ne pas faire du off-topic ici .)

Bonne soirée ! 😃

Les lavements possèdent sans aucun doute des avantages mais dans cette partie du forum les suppositoires ont beaucoup d'adeptes pour ne pas dire de fans qui les considèrent comme une source de bienfaits et de plaisirs au dessus de tout.

Je suis un homme de 47 ans qui n’a pas encore connu le trouble décrit notamment par Tangogirl2008 et NurseParis mais qui l’imagine. En me décidant à me faire prendre la température et mettre un suppositoire, voire administrer un lavement, je prends une décision d’adulte libre qui songe à sa santé ou à son bien-être. Mais ce faisant je me place sous l’autorité de mon infirmière et, durant tout le temps du traitement, je dois avoir la dignité d’assumer ce choix et d’être dans une situation où je ne décide plus et où j’obéis. Si veux montrer que je suis vraiment adulte, je dois assumer le côté forcément humiliant de la situation sans trop montrer mon dépit, même si celui-ci n’est pas illégitime. Il est effectivement difficile pour un adulte de se déculotter dans ces conditions (ou pire d’être déculotté), de devoir se mettre dans la position qui est demandée, et de devoir être comme un petit garçon à qui l’on dit ce qu’il doit faire, pour qui l’on décide, ce qui conduit à lui parler comme on parlerai à un petit garçon. Et s’il semble bon à l’infirmière d’accompagner ses instructions en pinçant la joue ou en claquant la fesse du patient, il n’y a rien à redire parce qu’elle exerce l’autorité, parce qu’il est difficile pour le patient de l’assumer complétement et parce que cette forme d’accentuation de l’exercice de l’autorité aide l’adulte à comprendre que, pour le moment, il n’a plus la main. Effectivement dans ces conditions ce qui est le plus troublant / humiliant c’est que ça dure, que ça dure autant que l’infirmière le voudra, le patient étant déstabilisé par le fait qu’il ne sait pas combien de temps ça va durer et qu’il mesure qu’il est dans une situation de totale impuissance. Mais c’est l’infirmière qui maîtrise la durée, comme bon lui semble, qui maîtrise votre droit à remettre votre culotte et ça fait partie du traitement ! Si elle fait tout ça naturellement, comme si de rien était, comme si cette situation si cuisante pour votre égo était tout à fait normale, c’est pire encore, vous n’avez pas le prétexte de vous dire qu’elle abuse de la situation, elle est juste l’infirmière.

Mon cher Doumik, vous avez tout à fait raison. Il vous faut une main secourable, je pense, qui saura vous guider. Mais vous oubliez une chose, mon cher : quand vous devrez vous "libérer" devant votre infirmière ! Avec un lavement, vous ne pourrez pas vous retenir, même si vous le voulez... Quelle délicieuse humiliation, vous ne pensez pas ? Je pense que TangoGirl serait du même avis. Je me trompe ?

Effectivement NurseParis, je dois avouer que j'ai "oublié" de parler du moment de la "libération" ou plutôt c'est un acte manqué. En fait de "libération", c'est le moment le pire. Jusqu'ici l'impuissance était dans l'obligation d'obéir mais l'on gardait la faculté d'assumer la situation par son comportement : ne pas se plaindre, faire ce que l'on nous demande comme si c'était normal, quelque chose de bon pour la santé, même en étant traité comme un enfant le serait. Désormais on a plus la maîtrise du comportement de son corps, on est pas en état de tenir des propos sensés préserver notre dignité. Pendant ce temps l'infirmière peut elle tenir les propos qu'elle veut, lesquelles seront d'autant plus cuisant pour l'ego qu'il seront dit naturellement, décriront une réalité incontestable qu'on voudriat ne pas être en train de vivre et souligneront l'incapacité à tenir plus longtemps, à faire preuve de volonté, etc... L'impuissance totale !

Non NurseParis, vous ne vous trompez pas !

Nous sommes bien d'accord - qui sait, à mon prochain passage à Paris, je pourrais peut-être avoir besoin de vos services d'infimière :p 😉

Ce sera avec un grand plaisir, TangoGirl. Pour moi, un patient est un patient, qu'il soit un homme ou une femme. 😃

Mdr, alors à bon(ne) entendeur / entendeuse ...

Bonne soirée !

Je crois que nous pouvons faire confiance à NurseParis pour choisir la thérapie qu'il convient d'admnistrer,puisque vous le soulignez si bien,l'infirmière sait ce qu'il faut pour son patient et ce dernier doit se soumettre à sa volonté et ses mains expertes.

J'ai le souvenir , quand j'étais adolescent , d'avoir eu à recevoir un lavement .........je ne savais pas en quoi consistait l'acte , c'est pourquoi la responsable du service m'avait demandé de lire , ce qui avait dû être son cahier de cours, le processus du lavement ........J'en savais un peu plus , mais pas tout !

L'infirmière responsable était une personne sûre d'elle , jolie et sympa .Je pensais que ce serait elle qui officierait ........

Telle ne fut pas ma surprise de la voir entrer dans ma chambre accompagnée d'une jeune , jolie , infirmière ........Elle me présenta et je l'entendis dire :

- Puisque vous en avez fait à la maison de retraite , vous verrez , avec un jeune , ce sera plus facile .....Si problème , je suis là !

Puis elle s'en alla nous laissant en tête à tête.

Je vis alors le visage de la jeune infirmière ......Il était rouge ! Sur la table roulante , elle prépara son matériel puis d'une voix timide , elle s'adressa à moi :

- Vous savez ce que je vais vous faire ......N'ayez pas peur , ce n'est pas douloureux , peut-être pénible ......En tout cas , je vais y aller doucement .C'est comme un suppositoire ..........

Elle se retourna , me demanda de baisser mon pyjama et me tendit une serviette et me demanda de me recouvrir.

Je m'exécutai et je la vis graisser la canule et elle s'approcha de moi . A cet instant , elle me demanda de me coucher de côté ..........Je la sentis chercher ......Est-ce l'émotion , mais elle avait du mal à trouver le chemin .Peut-être avait- elle peur de me faire mal .........

Enfin elle réussit à mettre en place .........Le lavement pouvait débuter .........C'était mon premier.Je ressentis une bonne sensation de sentir le liquide pénétrer.......Ce que je ne pus réprimer aussi , ce fut une érection .Alors quand elle me demanda de me mettre sur le dos afin de me masser le ventre , j'étais très gêné .........Comment ne pouvait-elle pas s'en rendre compte ? Seule ma seviette cachait ce qui était une évidence !

Le lavement fini , elle enleva la canule , me demanda de me retenir au moins 5 mn et elle s'en alla !

Voilà ma première expérience du lavement !

J'ai vainement cherché sur Paris des adresses .........par contre au Québec j'ai rencontré une dame chaleureuse qui vous met en confiance et vous administre des lavements confortablement allongé.

Sur Paris à part certains sites de domination ( que je déconseille ) je ne trouve personne.

J'ai bien tenté les hydrothérapie du côlon mais c'est trop technique.Rien à voir avec la fraîcheur de mon infirmière et la chaleur humaine de ma ' lavementeuse' de Québec !

Peut-être qu'avec Nurse Paris j'ai enfin trouvé la partenaire idéale et tant souhaitée .

Qu'elle me fasse signe !

Ps : Par déontologie , étant Homme , je n'accepte de recevoir que d'une femme !

,

Bienvenue à vous sur le forum. Vous êtes ici chez vous...

Merci pour ce récit !

Moi les suppos j'ai toujours détesté jusqu'à l'âge de 17 ans avec mon premier grand amour .Il me faisait allonger sur les dos jambes repliées sur ma poitrine et en profitait pour bien dilater l'anus .Un doigt, suppo puis 2 doigts et trois doigts !!! C'était un plaisir !!! Maintenant étant seule les suppos je me les mets moi-même.

Quand on aime les lavements, prise de la température rectale, suppositoires, je pense que l'on pratique dans toutes les positions possibles et imaginables....., du moins c'est le cas chez nous.

Bonjour ,

La plupart des personnes ont déjà reçu des suppositoires par leur mère mais généralement rarement par leur père .

Avez-vous déjà reçu des suppositoires par votre père ?

Si oui ,à quel âge ?

Question intéressante en effet. Pour ma part, non jamais. C'était ma maman qui s'occupait de tout ce qui était "soins" ! Et pareil niveau grand-parents!

Ça bardait....

Il arrivait que ce soit papa mais alors à ce moment là ça bardait pour mon petit cul.

En général c'était le soir quand il rentrait et que je ne m'étais pas laissé faire.

J'avais droit à la fessée et au suppo !

Quand j'avais treize ans ma mère me mettais encore des suppositoires.Elle n'était pas très douce pour les mettre.Elle me déculottait allongé sur le dos, me remontait les cuisses sur la poitrine pour avoir les fesses correctement écartées.Elle me l'enfonçait fortement et très profondément et ne se gênait pas pour enfoncer son doigt avec qui rentrait sur une bonne moitié.

Pour moi s'était souvent sur le ventre pyjama baissé ou sur le dos pour les suppositoires et pour le thermomètre je détestais

La seule fois où j'ai reçu un suppo suivi d'un doigt était en vacances.J'avais mal au ventre.Je pense que c'était un suppositoire de glycérine. Je l'avais reçu devant une cousine qui regardait depuis le dessus.Elle en recevait très souvent .Elle ne s'était pas moquée.

Moi quand je suis malade, j'en reçois toujours par ma femme.J'en ai rarement mis moi-même.Ça l'excite de jouer à l'infirmière,de jouer avec mon derrière, et j'avoue que ça me rend complètement fou...

Quelle chance que votre femme prenne du plaisir à vous mettre des suppositoires!

Moi, c'est toujours mon mari qui me les met et c'est moi qui les lui met pour lui.

Nous adorons sentir le doigts de l'autre pousser le suppositoire profondément dans notre cul.