Comment votre maman vous prenait-elle la température rectale?

Suite : 5

Le restaurant était bruyant et je parlais à voix basse, tout près de son visage « Tu vois Maud, ce n’est pas bien de te raconter toutes ces choses bizarres ». Je voulais montrer que je me ressaisissais car je connaissais très peu finalement. Mais je voyais qu’elle m’incitait à poursuivre, elle m’encourageait, sans doute était-elle troublée, elle aussi …

« Pas aujourd’hui. Viens , allons chez moi ! »

Nous avons monté les trois étages, puis lorsque j’ai fermé la porte, je l’ai prise dans mes bras. Sa bouche était suave. je me suis appuyée contre le mur du salon , J’ai attiré son corps contre le mien, nous sommes restées ainsi l’une contre l’autre, submergées par le désir, nous nous sommes caressées avec une infinie douceur, longtemps. Sa main est passée sous ma robe, elle a posé le bout des doigts, appuyant sur la raie de mes fesses : « Viens, je vais prendre ta température. »Nous sommes allés dans ma chambre, je lui ai donné le thermomètre. Elle m’a allongée sur le ventre, retiré mes talons. Puis partant de mes cuisses, sa main a remonté ma robe, c’était comme une caresse. Elle a observé mes jolies fesses, elle a mis un peu de temps pour descendre ma petite culotte. Maud a écarté mes fesses avec ses deux mains, puis les a maintenues écartées des deux doigts. Le bout du thermomètre s’est promené le long de ma raie, la sensation était extraordinaire, je mouillais comme jamais. Elle l’a mis dans sa bouche, puis l’a enfoncé très délicatement. J’ai gémi. C’est bon ! Continue., Elle caressait de son doigt mon anus écarté.

Suite : 6

C’et vraiment deux choses différentes , prendre la température à quelqu’un et sentir le regard d’une inconnue rivé sur vos fesses quand le thermomètre s’enfonce en vous. Etre pénétrée ainsi, profondément, ce fut un délice, un prélude à une nuit d’ivresse. J’ai ressenti la même sensation, le même trouble, vécu trente années plus tôt à l’internat avec Stéphanie.

Puis j’ai senti l’instrument de verre sortir doucement de mon trou et une langue me pénétrer par là. Mais c’est une autre histoire..

Très belle histoire, j'espère qu'il y en aura d'autres!

Merci blandine pour ce délicat témoignage qui nous fait plaisir que nous soyons hommes ou femmes :

Merci pour ce témoignage !

Cela faisait un petit moment que je n'étais plus venu sur ce forum, alors lire ce récit a mon retour a été une excellente surprise. En espérant vous relire prochainement....

Ma mère rentrait le thermomètre plutôt doucement.J'étais sur le ventre, les fesses relevés.Elle l'enfonçait assez profondément en écartant un peu les fesses, et quand elle le retirait c'était doucement aussi.

Bonjour,

ma mère me prenait la température assez naturellement.

Je ne me souviens pas vraiment si j'en tirais du plaisir mais je me rappelle du rituel.

Quand j'avais visiblement de la fièvre, elle allait chercher le thermomètre, le plongeait dans l'huile d'amande douce et me disait:

-En position, jeune fille !

Je m'allongeais sur le ventre, relevais le postérieur et écartais les fesses.

Elle introduisait le thermomètre doucement et je devais compter jusqu'à 60.

J'ai aussi le souvenir qu'elle utilisait le thermomètre quand j'étais constipée mais alors elle faisait des va- et- vient dans mon anus jusqu'à ce que je me libère.

Douceléa a dit :

J'ai aussi le souvenir qu'elle utilisait le thermomètre quand j'étais constipée mais alors elle faisait des va-et-vient dans mon anus jusqu'à ce que je me libère.

Il me semble que ton témoignage est le premier sur ce site (à moins qu'il en soit question dans le section histoires "bibliothèque")

Effectivement c'est un vieu truc bien connu mon gendre l'a fait pour mes petites filles.

A la lumière des messages précédents, "mouvements de va-et-vient du thermomètre" je conclus que voilà une nouvelle "indication" pour la sodomie.

Un souvenir d'enfance a peut-être sa part de responsabilité dans, d'une part ma phobie de tout ce qui est médical, d'autre part et paradoxalement mon intéret pour la prise de température rectale.

J'ai longtemps été un enfant unique et ma mère avait sans doute tendance à me couver et me prenait assez souvent (une fois par mois peut-être) la température (rectale...) quand je lui donnait l'impression de ne pas être bien. Elle le faisait avec une douceur infinie, que ce soit pour m'écarter les fesses, pour enfoncer le thermomètre ou pour le maintenir en place. Souvent, elle me racontait une histoire pendant les trois minutes de l'examen.

Alors que j'avais 6 ou 7 ans, ma mère m'a un jour amené chez mon pédiatre attitré pour me faire un vaccin. J'avais bien sûr peur de la piqûre annoncée. Le medecin m'a fait déshabiller complétement et m'a fait allonger sur le ventre sur sa table d'examen. Tout en préparant sa seringue, le médecin a demandé à ma mêre: "Vous avez pris la température de ce garçon avant de venir ?" ; Surprise, ma mêre a répondu "non". Le médecin a repris:"Il faut toujours vérifier la température avant de faire une vaccination". Il a ajouté: "on va la lui prendre maintenant " et, joignant le geste à la parole, il m'a écarté avec brutalité mes petites fesses et toujours sans ménagement m'a enfoncé un thermomètre dans mon petit cul. Surpris par son geste et par la différence avec la manière de procéder de ma mère en de telles circonstances, je me suis mis à hurler. Toujours avec brutalité, le médecin a maintenu le thermomètre en place en me plaquant les fesses contre le lit d'examen et en maintenant son thermomêtre en place. J'ai continu à crier pendant toute la durée de la prise de température, énervant de plus en plus le medecin qui répétait: "mais enfin, tu ne vas pas me dire que ça fait mal". Ma mêre me demandait également de me calmer.

Le medecin a retiré le thermomètre etj'ai cessé de pleurer. Malgré la vie que j'avais faite, je n'avais même pas de fièvre. Le medecin m'a fait le vaccin et j'ai mis un point d'honneur à me pas me plaindre à la surprise du médecin et de ma mêre.

Après cet incident, je suis parvenu à imposer à mes parents de ne plus m'amener chez ce médecin.

Ma mère m'a laissé prendre ma température seul vers 10 ans. Mais par la suite, arrivé au collège, la température que je prenais seul lui a semblé souvent par trop anormale ! (pour éviter les contrôles scolaires je prétendais n'être pas bien le matin au réveil et je portais le thermomètre près de l'ampoule de ma lampe de chevet pour faire grimper le mercure...)Si bien qu'après, elle restait assise au pied du lit pendant que pudiquement sous le drap, je m'enfilais le thermomètre ! Adieu la tricherie !

Chez mes grands-parents en vacances avec mes cousins cousines, il arrivait qu'il y ait une séance "température". Ma grand-mère s'en chargeait "à la bonne franquette" dans la cuisine sur ses genoux quelles que soient les personnes présentes ! Si elle s'apercevait qu'un des enfants semblait fatigué il avait droit à la prise de température et si par hasard il en avait, alors là tous les autres devaient y passer aussi !...Nous étionss 4 petits-enfants de 5 à 8ans, deux filles deux garçons, c'était un spectacle que nous n'aurions pas manqué !

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours aimé recevoir le thermomètre dans mon trou de balle.

Pour des raisons que j'ai déjà expliquées sur le site, dès l'âge de 9 ans je prenais seule ma température et mettait le suppositoire si le médecin en avait prescrit ou si maman estimait que ceux qu'elle avait sous la main devait faire l'affaire, car elle avait toujours une réserve de suppositoires pour l'angine ou pour les bronches et bien ceux à la glycérine.Elle aussi se soignait beaucoup avec des suppositoires.

Et elle comme moi continuons à nous soigner avec des suppositoires.

Je vais vous raconter un de mes souvenirs.

C'était quand j'avais 13 ans. J'était très pudique et je n'aimais pas que des personnes me connaissant ou encore inconnues participent à une de mes prises de température rectale.

J'étais chez ma cousine (on est super complices.)

On a passé de bonnes vacances .Tout était parfait jusqu'au jour où je suis tombée malade. Me connaissant bien elle la directement remarqué. Elle appelle sa maman qui me dit

- Jje vais te prendre ta température par voie rectale.

J'ai dit que je n'aimais pas alors c'est Julia ma cousine qui me proposa.On avait 4 mois de décalage alors elle me comprenais. Elle me dit:

- Mets-toi sur le ventre.

Ce que je fais. Elle me releva .ma robe de nuit et baissa ma culotte.Elle m'introduisit le thermomètre avec délicatesse (j'adore!!). J'avais 38°9 de fièvre .Alors elle alla chercher un suppositoire. Elle me le mit. Et juste après je lui dis :

- Tu ne voudrais pas que je te prenne la tienne.?"

Elle accepta.Depuis je vais toutes mes vacances chez elle et on ne manque pas de penser à ça. Je suis attirée par cette prise.

Pour moi ce fut un bon souvenir d'enfance!

Mon pédiatre et ma mère étaient d'accord sur un fait: la température rectale était la meilleure pour la précision.De ce fait je ne pouvais pas y échapper! Je devais me mettre sur le ventre , culotte de pyjama enlevée et attendre qu'elle vienne. Je sentais qu'elle mettait la vaseline sur mon anus et à l'intérieur, entrait profondément avec son doigt puis insérait le thermomètre. A mes 13 ans j'ai réussi à la convaincre que je pouvais le faire seul!

Moi pour la prise de température rectale je me couché à plat-ventre sur le canapé.Maman chercha le thermomètre dans la salle de bain ,laissa couler un filet d'eau sur la pointe du thermomètre pour le lubrifier.Puis elle revint dans la cuisine où j'étais sur le canapé avec les fesses en l'air .Elle introduisit le thermomètre dans l'anus et l'y laissa entre trois et cinq minutes. Après la mesure,si j'avais de la fièvre, elle me donnait un comprimé.

Après un après-midi chargé, je rentrai tout mouillé à la maison et maman m'envoya tout suite à la salle de bain pour me changer.J'étais encore en slip quand maman rentra dans la salle de bain et me demanda si je n'avais pas de fièvre. Je lui ai répondu que non.Elle s'est mise en colère ,a sorti le thermomètre qu'elle m'a donné dans les mains. Je suis allé tout de suite dans la cuisine sur le canapé pour me prendre la température rectale.Au bout de 3 minutes, maman regarda la température sur le thermomètre encore dans l'anus.Comme la température était normale, maman me demanda si j'avais bien introduit le thermomètre et appuya un peu dessus pour vraiment s'assurer qu'il était assez loin dans l'anus. Ensuite elle retira le thermomètre et me donna un comprimé par prévention.

Belles histoires tout ça. Moi aussi je me rappelle que trop bien des "séances" de prise de température. Des souvenirs marquants. Dès que j'étais un peu fatigué, ou enrhumé, ou même sans que je sache trop pourquoi, j'avais droit au fameux rituel, et ça me faisait toujours très peur. C'était toujours un thermomètre en verre, et c'était toujours dans les fesses malgré mes demandes lorsque j'étais plus grand (9-10 ans). Elle me répondait: "non c'est dans les fesses la température, c'est le mieux". Je devais m'allonger sur le côté, les genoux légèrement repliés contre la poitrine. En fait, pour être honnête, vu qu'au stade ado je refusais toute prise de température, et que maintenant je le fais moi-même, de toute ma vie je n'ai strictement jamais eu le thermomètre autrement que dans les fesses...

Bref, outre le côté humilant, il y a trois trucs que je me rappelle bien. En premier, comme mentionné par d'autres déjà, c'était la vue du thermomètre quand elle l'apportait. Rien qu'à voir cet instrument de verre coloré j'étais super gêné, même quand je le voyais "hors contexte" genre dans l'armoire à pharmacie quand on cherchait autre chose. Le second truc, plus original, c'était l'odeur. Oui, l'odeur de l'alcool pour désinfecter, qui était tellement associée au thermomètre que j'étais toujours gêné dès que je sentais cette odeur, même quand ma maman l'utilisait pour autre chose, car j'avais peur que ça annonce une prise de température. Suis-je le seul à avoir été marqué par ça ? Le troisième truc, c'est que ma maman comptait à haute voix pour chronométrer la prise de température pendant qu'elle tenait le thermomètre dans mes fesses. Elle faisait ça toujours calmement, mais ça rajoutait au malaise. J'ai des vagues souvenirs que quand j'étais très petit, malgré que je ne savais pas compter, je savais quand même "repérer" quand le supplice allait arriver à sa fin. Ça m'a peut-être aidé à apprendre les nombres, même ! Voilà ce qui me vient à l'esprit tout de suite. Et ça s'est reproduit assez fréquement, jusqu'à mes 12 ans environ.

Bonsoir Bastien

Beau récit.

Vous rappelez-vous si la pénétration était douce ou brutale? Profonde ou pas?

Merci.

Pour ma part durant mon enfance, ma mère prenait toujours ma température rectale couché sur le ventre ou sur le côté avec un thermomètre en verre lubrifié avec de la vaseline. Bien souvent un suppositoire suivait le thermomètre.

Je me souviens également avoir eu droit à des prises de température rectale chez le médecin par son assistante et également plusieurs fois à l'hôpital après des interventions chirurgicales.

C'était entre les années 70 et 80, la température rectale était courante à cette époque.

Je me souviens quand j'avais huit ans c'était un mercredi après-midi j'étais fiévreux ma mère recevait sa voisine de palier pour le café .Assise dans un fauteuil du salon ma mère en présence de la voisine me tâta le front en lui disant que j'étais bien chaud.Lla voisine lui répondit qu'elle devrait me prendre maa température.Je pensais que ma mère allait m'emmener dans ma chambre mais je fus très gêné q'uelle revienne avec le thermomètre dans la salle à manger.Je fut déculotté devant la voisine.Assise dans le fauteuil elle me saisit par mes petites chevilles et me bascula en arrière, les fesses bien en l'air et qu'elle m'écarta.Le thermomètre fut introduit fortement et profondément.Ma mère le tenait pour ne pas qu'il ressorte .Tout en discutant, la voisine regardait mes fesses d'un air assez vicieux.Les années ont passé mais je revois toujours la voisine .Une complicité est née entre nous et maintenant quand je suis dans un fauteuil les fesses à l'air ce n'est plus vraiment le thermomètre qu'elle m'enfonce.

Très jolie histoire Kootstan,

Karma pour vous.

Quel âge avait la voisine, et finalement aviez-vous de la fièvre?

Et qu'est ce qu'elle t'enfonce maintenant? Un suppositoire?

Bonjour,

voici une histoire qui s'est passée en 1998.J'étais malade et maman a voulu me prendre la température.Mais quelque temps auparavant,elle avait laissé tomber le thermomètre.Donc comme cette après-midi là elle avait prévu de faire des achats,elle ma dit qu'elle va acheter un nouveau thermomètre.A l'époque le thermomètre

auriculaire venait de sortir ,le thermomètre électronique classique était aussi à la mode,elle ne savait pas encore lequel prendre.Tout compte fait en rentrant des courses elle n'avait trouvé qu'un thermomètre traditionnel . Le moment de la prise de température arriva, comme il était neuf, elle proposa de prendre la température buccale. Le résultat ne lui convenait pas ,donc elle a fait un essai sous l'aisselle , toujours pas mieux. Et pour finir elle me demanda de me mettre sur le ventre, me descendit le pantalon et slip et mis comme d'habitude le thermomètre dans l'anus. Elle ma fait un peut mal en le rentrant. Après 3 minute elle le sortit et me donna un comprimé contre la fièvre.

C'était la dernière fois que maman m'a pris elle- même la température. Après cela je pris moi-même la température ,d'abord en prise rectale puis en auriculaire sauf exception.

Bonjour NASSAU

Merci pour votre récit. Quel âge aviez-vous?

J'avais 12 ans.

Bonsoir Nassau

Merci pour ce beau récit.

C'était toujours à plat ventre sur le lit, elle me baissait elle-même la culotte car je ne voulais pas trop coopérer - je me laissais faire mais j'avais honte (et en même temps j'étais fascinée). Je n'ai pas souvenir qu'elle utilisait de lubrifiant mais elle ne m'a jamais fait mal. Quand elle quittait la pièce je me retournais souvent pour essayer de voir le tube de verre pointer d'entre mes fesses.

Après c'était les jeux, souvent en solitaire, parfois avec les cousines ou une voisine : on s'enfoncait des crayons de couleur ou des feutres. Je me souviens aussi avoir tenté une jambe de Barbie...

Et maintenant rien ne vaut un bon thermomètre clairement assumé !

Soi-même ou avec quelqu'un ?

En solitaire, malheureusement ! 😉