Comment votre maman vous prenait-elle la température rectale?

Pour moi la premiere fois,je devais avoir 6ans pendant les vacances d'été mes parents avaient décider de m'envoyer pour la premiere fois en colonie de vacance en aout. Arrivé a la colonie en car nous étions 50 enfants filles ,garçons.nous avont rejoint les dortoirs qui se trouvaient au premier étage un pour les garçons l'autre à l'opposé pour les filles au millieu se trouvait les wc,douches et l'infirmerie.Chaque dortoir etaient composés de 20 petits lits avec une table de chevet. une fois installé tout c'est bien passé pour moi les deux premiere semaines puis au debut de la troisième semaine en début d'après-midi je venais de vonir le repas de midi un camarade previent une monitrice qui vient me voir . Elle me dit que c'est pas grave et me conduit a l'infirmerie ou se trouvait l'infirmière la monitrice lui dit ce qui vient de m'arrivé;puis repart . l'infirmière me dit d'aller rejoindre mon lit et de me mettre en pyjama et de l'attendre .Une fois changé assis sur mon lit puis elle arrive avec un thermometre me dit de m'allonger sur le ventre qu'elle va vérifier ma température ,elle s'assoie à coté de moi pose le thermometre sur la table de chevet et baisse ma culotte de pyjama au niveau de mes cuisses récupère le thermometre le secoue plusieurs fois puis je sent une de ses main froide sur mes petites fesses les ecartent et me dit de ne pas bouger je sent la pointe du thermometre sur mon petit anus puis rentré dans mon derriére elle se léve et me dit qu'elle revient me voila seul avec un tube en verre dans mon popotin .Apres des minutes qui fut longues pour moi elle revient ecarte une de mes fesse puis retire le thermométre le regarde tu a un bon 38 , je vais te donner quelque chose elle part moi je remonte ma culotte et m'assoie puis elle revient avec un verre d'eau me le donne avec un comprimé ne dit de l'avaler mais à mon grand désespoir après trois tentative impossible d'avaler le comprimé ,elle me dit je vais te donner autre chose et part avec le verre d'eau et le cachet puis elle revient avec dans une main un petit morceau de coton quant elle arrive a ma auteur j'apperçoit sur le cotcon une petite fusée blanche et oui le fameux suppositoire ;elle me demende à nouveau de mettre sur le ventre la je lui dit que je veux pas de suppositoire que j'aime pas ,elle me répond que je n'es pas le choix vu que je ne peut pas avalé les cachets me resignent je m'allonge sur le lit elle s'assoie au niveau de mes fesses baisse ma culotte alors qu'elle pose sa main sur mon cul en désespoir je sers les fesses elle ne demende de pas sèrré mes fesses car elle ne peut pas mettre le suppos voyant que je refusais elle me mis une claque sur mon petit cul surpris elle en profite ecarte mes moitiées sens la pointe du suppos puis le suppos rentré dans mon derriere et me met le morceau de coton entre mes fesses sur mon anus je lui demande à quoi sert le coton ,me repond pour ne pas sallire ma culotte qu'elle remonte me dit de me coucher et me reposer qu 'elle reviendrais en debut de soirée.Vers 18h30 mes camarades de chanbres venaient ce changer pour le repas du soir l'infirmiére à son tour est arrivée vers moi ma demandé si ça allait mieux je lui est dit oui ,mais de rester couché qu'elle va verrifier à nouveau ma temperature .Elle revient avec le fameux tube en vers le pose sur la table de chevet tire le drap sur mes jambes me fait à nouveau mettre sur le ventre s'assoie au niveau de mes fesses tire ma culotte sur les cuisses m'ecarte mes deux moitiés retire le morceau de coton prend le thermometre et le plante dans mon petit cul apres quelque minutes elle retire le thermometre regarge le résultat et me dit que j'ai encors un peut de fievre la un moniteur arrive moi toujours le cul à l'air pour savoir si je pouvais rejoindre mes camarades pour soupé , elle lui dit oui mais comme jai encore de la temperature qu'il me ramene à l'infirmrie apres le repas ;je remonte ma culotte et part rejoidre mes camarades avec le moniteur passent avoir échappé au suppos.Vers 20h30 une monitrice est venu me chercher ma conduit à l'infirmerie .L'infirmiere etait assis à son bureau me demande de venir vers elle se léve ouvre la porte d'un placard et à ma grande stupeur sort une plaqette de 5 suppositoires je lui dit que je ne veut plus de suppositoire la monitrice qui etait restée lui demande si elle peut pas me donner un cachet ,elle lui repond que je n'arrive pas à les avalés .elle retire un suppos de la plaquette le sort de son emballage et vois une petite torpille blanche qui allait bientot se retrouver dans mon derriere ;elle prend un morceau de coton place le suppos dessus puis s'assoie sur sa chaise me tire vers elle et me dit de me pencher en avant et me retrouve le haut du corp sur ses cuisses elle demande à la monitrice qui était resté de lui tenir le suppositoire je sens ma culotte de pyjama qui descend sur mes cuisses puis l'infirmière demande à la monitrice le suppos lui donne je sent sa main ecarté mes deux fesses par réflexe je serre mon petit cul elle me dit tu veut une claque résigné je sent la pointe sur ma petite rondelle et le suppositoire glissé dans mon derrière mis à nouveau le morceau de coton entre mes fesses me remonte ma culotte ne fait relevé la monitrice qui avait tout vue ma enmené me coucher .Le lendemain matin les moniteurs sont venus nous reveillés pour le petit déjeuné ,alors que j'allais me lever l'infirmière est venus vers moi me dit rester allongé je vais prendre ta temperature ;tout mes camarades etaient sorties quant je voie le garçon qui se trouve devant moi etait encore dans son lit ;la l'infirmière arrive pres de moi me fait allonger baisse ma culotte retire le bout de coton et me plante le thermometre dans mon cul puis elle part vers le garçon devant moi elle tire les drads au pied du lit je la voie mettre sa main dans la poche de sa blouse en sort un tube métalique ouvre le tube et sort un thermometre elle s'assoie sur le lit au niveau de ses fesses puis tire la culotte de son pyjama sur ses cuisses et je vois un petit cul blanc comme pour moi elle lui ecarte ses deux moitiés je vois son petit trou puis le thermometre s'enfoncer dans son derrière relache ses deux petites fesses et ne vois plus qu'un tube depassé de son derrière; puis l'infirmière revient vers mois me retire le thermomertre lis le resultat plus de fièvre je rejoint mes camarades . voila la 1 fois

Salut .

Si tu passes par Lille, je suis prêt à être ton infirmier pour renouveler ta premiere expérience, voire à la compléter par d' autres jeux...

En deux occasions.

La première fois j'étais à l'hôpital suite à une chute. On m'avait gardé en observation une journée car choc sur le crâne, je devais avoir environ 7 ans. Il me semble que la première prise de température, je l'avais faite moi-même. En revanche, la deuxième fois, l'infirmière visiblement expliquait les pratiques à une élève infirmière. Elle m'a alors dit que j'étais un grand garçon qui savait se débrouiller seul avec le thermomètre, et m'a demandé si je voulais être encore plus grand garçon et accepter de l'aider parce qu'elle avait besoin de moi. Imaginez ma réaction: j'étais fier de pouvoir aider la gentille infirmière. Elle m'a alors dit que c'était très important que sa stagiaire (elle n'a pas employé ce mot mais c'était l'idée) sache comment s'y prendre, et que le mieux pour qu'elle s'exerce était de prendre un assez grand garçon et pas un bambin qui pleure, et qu'il ne s'agissait que de laisser la jeune infirmière me prendre la température. Ce qu'elle fit, en suivant les indications: on me fit mettre sur le côté, l'infirmière stagiaire a vaseliné le thermomètre, me l'a mis doucement en demandant si ça allait...

Moralité: un peu de flatterie et vous vous laissez enc..

L'autre fois c'était quand j'avais un bon mal de gorge et que mes parents nous avaient laissé à la garde de la fille des voisins, qui je crois était étudiante. Je devais avoir environ 8 ans. Visiblement, elle devait avoir reçu des consignes: avant de me faire coucher, elle m'a envoyé à la selle. Quand je suis revenu, elle m'attendait assise sur mon lit avec la boîte de suppo et la vaseline (qui devait servir à la température de ma petite sœur), m'a fait déculotter et m'allonger sur ses genoux. Elle ne devait pas avoir l'habitude car elle m'a bien écarté les fesses et a mis du temps pour "viser". Contrairement à ma maman elle avait mis de la vaseline et c'est rentré très doucement. Elle m'a essuyé l'anus avec un mouchoir et m'a dit de me renculotter.

On aime prendre sa température mais, on aime encore plus se la faire prendre....

Fifiman4

Si c'est moi qui me met le suppositoire, soit je suis couchée sur le côté, j'écarte une fesse et hop dans le trou, ou alors couchée sur le dos je replie les jambes sur ma poitrine et la cible est dégagée, ou debout un pied sur le bidet pour écarter une jambe et le tour est joué.

Mais j'aime beaucoup mieux que mon homme me mette le suppositoire.Alors là il y a encore plus de positions possibles, et surtout le jeu "il rentre, il rentre pas" et hop il rentre, le doigt plus ou moins enfoncé et qui reste un moment enfoncé ou pas.

Mais après la température rectale s'il y a un suppo, c'est un régal de plus

Ah le bidet. Mes parents et moi avons déménagé quand j'étais à l'école primaire et ma maman est tombée en admiration devant le bidet du nouveau logement. Déjà qu'elle insistait pour qu'en plus de me doucher le matin je me lave les fesses et le "devant" le soir en plus des dents, mais avec le bidet il fallait faire les pieds en plus! Et aussi se laver les fesses si on avait du mal à bien s'essuyer aux toilettes!

Ça m'énervait et je me suis vite contenté de remplir le bidet. Je ne sais plus comment elle s'en est rendu compte, mais je me rappelle que ça s'est terminé par une humiliante toilette intime sur le bidet par ma maman, suivie d'une fessée.

Qu'elle type de lubrifiant utilisez-vous?

Perso quand j'ai connu mon ami au début bien sûr nous avions des relations protégées (préservatif) et utilisions un lubrifiant à l'eau.

Avant de se mettre en couple nous avons fait le test du sida tout les deux et depuis nous avons comme lubrifiant la bonne vieille vaseline.

Nous l'utilisons que ce soit pour le thermomètre, la canule pour un lavement, jouer avec des goods ou la sodomie. Je trouve que la pénétration est plus facile qu'avec les lubrifiants à base d'eau et surtout la lubrification dure plus longtemps.

En plus j'adore l'effet de la sensation graisseuse entre mes fesses.

Bonsoir,

Si je peux me permettre, la vaseline n'est pas indiquée pour le caoutchouc. La graisse le détériore rapidement, donc vos canules si elles sont en caoutchouc.

Il est exact que tous les corps gras rendent poreux et détruisent tous les objets à base de latex.

Par ailleurs les lubrifiants au silicone,contrairement à ce que l'on pourrait penser sont aussi à proscrire avec les accessoires ... en silicone qu'ils détériorent aussi, irrémédiablement...

Je voudrais me rappeller un souvenir d'enfance. J'en déja partagé quelques- uns. Mais je n'interviens pas beaucoup sur le forum car les lavements ne me font pas fantasmer, je n'ai jamais essayé. Par contre la prise de température rectale, les suppositoires, tout ce qui concerne les fesses d'une partenaire que j'écarte, observe, découvre, me donne beaucoup de plaisir. J'ai déja parlé de quelues-uns de mes souvenirs à l'internat. Mais là, c'était en vacances à la campagne chez des oncles. Nous etions pour une quinzaine de jours avec une autre cousine , et une camarade de classe qui l'avait accompagnée. Ma cousine était assez pudique et je me suis liée d'amitié avec son ami , Chistian qui avait mon age: 13 ans . Mon corps se transformait, mes seins commençaient à se voir. J'ai déja grande avec un beau visage qui attirait déja les garçons un peu plus grands. Mes cheveux étaient coupés courts, à à la garçonne. j'ai compris que je lui plaisais. Nous étions plutôt désoeuvrés et nous commencions à nous voir sans ma cousine, le soir quant elle dormait tôt, où à des moments de la journée , elle partait avec une tante faire des courses. Un après-midi nous étions dans une remise tous les deux , et il m'a demandé si j'avais déja embrassé un garçon. Je lui ai dit que non. C'était presque vrai puisque je n'avais quasiment eu que des relations avec des camarades filles à l'internat. il m'a demandé s'il pouvait m'embrasser, je lui ai dit que oui. il s'est approché et nos corps ce sont agripés, sa bouche envahissait la mienne, l'étreinte était forte, le désir violent. j'étais en jupe, sa main s'est promenée sur mon dos et plus bas encore, tout en restant au desus de ma culotte, elle appuyait dans la raie de les fesses. Le désir était fort. Puis sans aller plus loin, nous sommes allés nous baigner dans le canal. Il m'a encore embrassée dans l'eau, son corps contre le mien , les mains appuyaient sur mes reins. Je crois qu'il a joui: des soubressauts ont saisi son corps fébrile.

Nous sommes restès une partie de l'après-midi. Puis nous sommes entrès . Nous étions encore seuls. Je me suis déshabillée dans la salle de bain. il m'a demandé s'il pouvait venir venir, je lui ai dit d'attendre que je mette une culotte et ma jupe. Puis il est entré. Nous avons continué à bavarder et à rire. Pendant qu'il se changeait, j'ai tourné le dos, faisant juste semblant de regarder, j'ai ouvert un tiroir: il y avait un thermomètre. Je lui ai dit en riant:" veux-tu que je te prenne la température", c'était lancé comme une boutade, quelque chose d'impensable. il m'a répondu: "Non moi, d'abord". J'ai été surprise de la réponse et au bout de quelques secondes, je lui ai pris le bras , j'ai pris le thermomètre et je lui ai dit: "viens!" . Nous sommes allés dans ma chambre, près du lit. Je me suis approchée de lui , et je l'ai embrassé, tendrement longuement. Je sentais son petit sexe se durcir. J'ai posé ma main sur ses fesses, j'appuyais, je le collais violemment contre moi.

Puis je lui ai dit : "allonge-toi". Il s'est allongé sur le dos. je me suis assise contre lui. Je l'ai incité à se tourner , il s'est mis sur le ventre. J'ai remonté son tee-shirt et j'ai carressé son dos puis le bas des reins. A la simple pensée de descendre son pantalon et de mettre ses fesses à nu, ma petite chatte était mouillée. J'ai embrassé le bas de son dos. Puis avec ma main droite j'ai commencer à forcer pour descendre son pantalon. il a légèrement soulevé ses hanches pour que ce soit possible.

Il restait son slip blanc. je l'ai retiré jusqu'au bas des fesses. J'ai senti que son petit sexe était raide. Puis je me suis mis derrière lui, j'ai écarté lentement ses deux fesses, l'orifice très légèrement bruni, m'est apparu. J'ai mouille mon doigt et je l'ai légèrement enfoncé dans son anus. Son visage était très ému, tout rouge je me souviens. Puis en gardant mon doigt légérement enfoncé, je me suis approchée de son visage et je l'ai embrassé passionnément sur la bouche, j'étais vraiment mouillée. Puis j'ai écarté ses fesses à nouveau de mes deux doigts et je lai dit " surtout ne bouge pas Christian". J'ai léché le bout du thermomètre et je l'ai enfoncé dans son petit trou. Ma main caressait la raie de ses fesses, tout autour, le désir le faisait gémir. Ma main imprimait quelques allés et retours, alant un peu plus loin... Il me disait, " Je veux voir tes fesses, je vais te faire la même chose". J'ai continué à maintenir le thermomètre nfoncé dans son cul et j'ai soulevé ma jupe, enlevé ma culotte. Il m'a dit : "Je vais te le mettre" m'at-il dit . J'ai retiré le thermomètre de son derrière, très lentement et avant de lui donner, j'ai introduit un instant le bout de mon doigt dans sa petite ouverture et j'ai introduit ma langue au fond de sa bouche.

Je me suis mise sur le ventre. il s'est agenouillé contre moi et il a ouvert mes fesses de sa main gauche. Il a regardé ma petite étoile et puis l' a léchée. je lui ai dit "c'est trop bon" Alors il m'a enfoncé le thermomètre lui imprimant un mouvement comme si'l m'enculait. Pendant ce temps avec ma main gauche j'ai caressé son peti sexe dressé. Puis je lui ai dit: "Viens jouir dans mes fesses". Il s'est allongée sur moi, imprimant un mouvement violent de va et vient. J'ai écarté mes fesses, il essayait de me pénétrer, sans y parvenir. Je sentais qu'il allait jouir. J'ai glissé ma main entre nous deux et je me suis saisi de son sexe raide et j'ai pointé le bout sur mon petit trou. Alors il m'a légèrement pénétrée, je ne voulais pas plus qu'il entre plus, car j'avais peur d'avoir mal. Je me suis soulevée un peu pour atteindre, de ma main droite, la raie de ses fesses. j'y suis parvenue. et je l'ai écarté des doigts et je l'ai pénétré avec mon majeur, assez profondément. Il a eu un soubressaut, son souffle sur ma nuque, s'est transformé en rale, et j'ai senti une giclée dans mon trou du cul. a ce moment-là, j'ai joui profondément jusquau fond de mon ventre .

il était temps la voiture qui ramenait ma cousine, entrait dans la cour.

Merci blandine pour ce joli souvenir.

Cela m'a excitée de raconter des moments d'enfance demeurés enfouis, davantage encore que sie lisais un souvenir raconté par une autre personne. Après ce moment d'intimité et de désir intenses, nous avons eu encore quelques petites expériences que je pourrais raconter. Mais l'une d'entr'elles dont j'ai été spectatatrice m'avait fortement marquée. C'était à la fin de notre séjour chez mes oncles et tantes. Ma cousine Estelle n'avait rien su des relations intimes et je l'imaginais à mille lieux de tout ça, Christian ne lui avait bien sûr rien dit et je pensais qu'il n'avait des relations privilégiées avec moi. Du moins les conversations quand nous étions ensemble restaient extrèmement éloignées de toute allusion à des expériences de ce type. Estelle était plutrôt jolie fille qui paraissait assez fragile. elle était très mince avec des cheveux longs et blonds, une peau blanche qui supportait mal le soleil. Elle ne se baignait pas avec nous et je crois que je n'avais jamais vu son corps dénudé, puisque nous n'avions que très peu de complicités.

Une après-midi, Christian était parti faire des courses avec une tante, Estelle se disait fatiguée et était restée alitée. Pour part j'étais allé me balader à pied dans un village voisin. Je ne me souvirens plus la raison pour laquelle, j'étais revenue dans cette grande ferme plus rapidement que prévu, je crois que c'était à cause d'une averse.

En passant par l'arrière de la maison, j'entedis que l'on parlait dans la chambre d'Estelle. je me suis approchée , une fenêtre donnait dans une sorte de pièce très sombre et peu fréquentée, je ne pouvais être vue. J'ai aperçu Christian, sans doute venait-il d'entrer dans la salle d'Estelle. Il lui demanda si elle allait mieux. eEle répondit qu'elle avait dormie et qu'elle se sentait bien. Christian s'approcha et s'assit près d'elle et l'embrassa sur la joue avec tendresse. Je fus surprise de cette intimité et un peu jalouse . Puis il descendit le drap qui couvrait Estelle. elle dit: "Il ne faut pas Cristian,tu exagères; " il lui a répondu:3 tu n'as pas dit ça

Suite de mon souvenir partie trop tôt:

Elle rougit . Puis Christian se leva : "Je vais chercher quelque chose pour te soigner, ne bouge pas". Estelle remonta le drap. Christian est revenue peu de de temps avec le thermomètre que nous avions utliséquelues jours auparavant: "Il faut prendre ta température";

ça va pas dit Estelle ma

Merci blandine pour tes récits qui sentent le vécu, mais hélas le dernier semble coupé.

"ça va pas dit "Estelle . Notre tante ne m'a rien dit, elle m'a juste donné un cachet.

Christian insista.: "Laisse-moi faire Estelle, ferme les yeux, ce sera pas douloureux, juste du plaisir, comme hier soir. Il s'est approchée et l'a embrassée sur la bouche. j'étais à la fois furieuse, voyeuse et de plus en plus excitée. Je me suis approchée, je l'ai vu descendre le drap. Puis il a soulevé la chemise de nuit d'Estelle jusqu'en haut des reins. Pour la première fois les fesses rondes et blanches d'Estelle me sont apparues. Elle avaint enfoui son visage dans l'oreiller. Je n'avais jamais imaginé jusque là que ma cousine pourrait tout à coup fixer mon excitation. J'étais rouge de honte et d'impatience. Il lui a demandé de se mettre sur le dos. Elle faisait tout ce qu'il lui disait sans protester, j'étais extrèmement surprise par son comportement. Elle se mit donc sur le dos et il souleva ses jambes qu'elle ramena sur sa poitrine. Alors j'ai vu sa fente, à peine entourée de poils blonds et le petit trou entre les fesses, à peine marqué. Une ouverture étroite simplement. J'ai eu envie d'être à la place de Christian. J'étais jalouse et troublée. j'ai mis ma main dans ma culotte et je me suis caressée. Il a mouillé le thermomètre et l'a enfoncé délicatement dans l'anus d'Estelle. De l'autre main, il lui caressait très tendrement la chatte. Estelle ci a commencé à gemir. Il bougeait délicateementt l'instument dans son deriière. Elle a descendu le pantalon de Christian et son slip pour s'emparer de son membre bien droit. Elle l'a masturbé. Les fesses de Christian accroupi et surtout le petit trou offert d'Estelle m'excitaient de plus en plus. Ma main s'agitait dans ma culotte mouillée.

J'ai entendu du bruit, sans doute une tante ou un oncle venait de mon coté, je ne savais que faire!

Tout à coup Christian a retiré le thertmomètre de l'anus d'Estelle, mais celle-ci est restée ainsi les jambes repliées, sans doute pour lui offir la vision de son derrière ouvert - et c'est vrai que nos regards fixaient le petit trou étroit - pendant qu'elle accélérait le mouvement de sa main. Il fallait faire vite cause des bruits. Puis tout a jailli du sexe de Christian , animé par des sortes de convulsions, Ma main a quitté ma petite chatte, j'ai écarté mes fesses et enfoncé un doigt dans mon petit trou. La jouissance a alors envahi profondément mon corps

[quote author=blandine link=topic=13488.msg346869#msg346869 date=1302947240] Citation de blandine 2011.04.16

Je voudrais me rappeller un souvenir d'enfance. J'en déja partagé quelques- uns. Mais je n'interviens pas beaucoup sur le forum car les lavements ne me font pas fantasmer, je n'ai jamais essayé.....

....Il était temps la voiture qui ramenait ma cousine, entrait dans la cour.

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Bonjour blandine

Ouf ! Oui, il était temps en effet ! Voilà un récit très "chaud" !

Pourquoi ne pas essayer les lavements ? Qui sait si vous ne découvrirez pas là une autre source de plaisirs ?

Dans un autre sujet ,vous avez écrit ne pas parvenir à vous imaginer les sensations en ajoutant :" j'ai peur que ce soit violent " .Votre crainte ne me paraît pas fondée .Expérimentez le lavement, seule.Vous en maîtriserez ainsi toutes les étapes ....

Je ne suis pas prête.Mon corps peut jouir de toutes sortes de sensations, mais j'imagine le lavement comme une intrusion dans mon ventre. Je suis très cérébrale...

Blandine,

Le lavement on aime ou pas et, je te comprends et il y a beaucoup d'autres manières de se faire plaisir par son petit trou même si il est serré. 😉

Pour ma part, c'était allongé sur le ventre, dans mon lit ou sur le canapé dans le salon. Elle me disait : "je vais prendre ta température, va t'allonger sur le canapé/ sur ton lit", puis elle partait et revenait avec l'instrument. Elle le secouait, bassait mon pantalon de pyjamma, m'écartait les fesses, et m'introduisait le thermomètre lentement. Je pense qu'elle s'arrêtait au niveau de la partie qui devenait plus large.

Quel souvenir...

blandine essayer le lavement est une expérience qui vous manque, c'est une intrusion il est vrai mais avec une très grande palette de sensations. Dans votre vie il faudra essayer un jour...

De plus la canule qui entre et sort peut avoir des points communs avec le thermomètre que vous chérissez !

Que de doux souvenirs que ces prises de températures par maman.La mienne c'était allongé sur le côté et elle rentrait une partie du tube de verre jusqu'au 37 environ...

J'avais 8 ans à l'époque c,était en hiver j'étais un peut fiévreux couché dans mon lit en slip et maillot blanc ma mére rentra dans la chambre avec le thermométre à la main dans son étuie blanc et souple elle me disait sors du lit mon chérie allonge toi sur le dos elle soulevais mes jambes et enlevais le slip sortais le thremométre de son étuie me mettais à nouveau les jambes droite q'uelle tenait d'une main par les chevilles elle enfonçais le thermométre trés profond il dépassait d'environ 4cm tout en posant sa main sur mes fesses

C'est dingue, mais je n'ai aucun souvenir de température rectale étant enfant... Je crois que j'étais rarement malade...

Je suis le seul à ne me rappeler de rien ?

Je n'ai pas de souvenir précis d'une prise de température rectale en tant qu'enfant. Mais quand j'avais 5 ans environ, je me souviens d'avoir résisté (inutilement) au changement vers la méthode orale.

J'avais 6 ans et j'étais parti en maison de repos dans le Midi.tous les jours en fin d'après- midi on nous prenait la température. Dans le dortoir nous étions 8 et c'était des parties de rigolades.On disait: " T'a pris mon thermomètre ou si je pète le thermomètre partira !"Une fois terminée on demandait toujours si on avait de la température.Si c'était oui on rigolait moins car c'était l'infirmerie et on restait une huitaine de jours.

C'est marrant tous ces souvenirs de prise de température en internat. C'est peut être parce qu'on n'est pas de la même génération que j'ai du mal à me le représenter. La température devant toute une chambrée, aujourd'hui, ça choquerait beaucoup (j'ai moins de 30ans).

dédé 987, qu'est ce que c'était que cette maison de repos? La température était-elle prise sous la couverture ou les fesses exposées?

J'ai eu des expériences de collectivités, mais j'ai toujours été isolée pour les prises de température (parfois un adulte ou enfant indiscret déboulait, ce qui était gênant, mais ça s'arrêtait là).Par contre la nouvelle faisait vite le tour de tous les enfants, et nous étions assez narquois avec l'enfant qui avait été dénudé. En classe de neige un soir, je me suis sentie très mal, et c'était le soir de repos de l'infirmière. Ma maîtresse et un maître ont pris ma température à l'infirmerie pour savoir s'ils appelaient l'infirmière, et j'avoue que je me sentais tellement mal et que j'avais si peur pour ma santé que je n'ai rien dit, ni rien pensé. J'étais couchée sur le côté, le pantalon de pyjama sous les fesses. La maîtresse avait très peur de me faire mal .Alors je me souviens qu'elle enfonçait très lentement le thermomètre (et comme j'étais tendue, c'est vrai que j'avais un peu mal). Je me souviens que j'avais été un peu surprise quand je m'étais assise sur le lit et qu'elle m'avait dit en prenant le thermomètre: "Bon, tu t'allonges, on va prendre la température?". Je pensais qu'elle voulait le prendre sous le bras, et m'étais mise sur le dos, mais elle m'avait tournée sur le côté et avait descendu mon pantalon. Je me souviens que le maître (qui était le maître d'une autre classe) me tenait la main, il était de l'autre côté du lit, face à moi. Et à un moment il m'a pris le pouls pendant qu'on prenait ma température. Il avait trouvé mon pouls rapide, mais je pense qu'à la réflexion, je devais être stressée par ma santé et par le thermomètre. Finalement, j'ai dormi à l'infirmerie et ils m'ont dit qu'ils viendraient voir si tout allait pendant la nuit. Je ne sais pas s'ils l'ont fait, je dormais.

Leonore

La maison de repos se trouve à Sanary -sur- mer et la prise de température se faisait fesses exposées mais à 6 ans on a peut-être pas de gênes.

Cela dépend sans doute des enfants. J'ai commencé à être vraiment pudique vers 5 ans. Avant, ma température était souvent prise sur le canapé familial devant tout le monde.

Est-ce que la prise te paraissait longue? Mais c'est vrai que si vous y passiez tous, c'est beaucoup moins gênant!

Merci pour tous ces souvenirs si vivaces !

Pour moi la prise de température la seule valable pour ma mère est celle prise dans les fesses, couché sur le ventre.