Je crois que ça doit être aussi très excitant pour une maman de prendre la température à ses enfants.
Ci-après un extrait d'une histoire ..
J'ai commencé ce «journal intime» lors de notre arrivée dans une ville moyenne du Sud- Ouest.Au bout de quelques semaines, je remarque que Martine semble avoir moins d'entrain, a l'air fatiguée ; je décide d'en avoir le coeur net.
Ce soir là, après son goûter, je lui demande d'aller s'allonger un moment,
- Je viens te voir dans un quart d'heure.
Au bout de ce délai, je me rends dans ma chambre, y prend le thermomètre et vais au chevet de ma fille. Je me réjouit de cette occasion, car il y a longtemps que je n'ai pas eu la possibilité de m'occuper intimement d'une de mes filles. En effet, elles sont sages, travaillent bien à l'école, ne sont que rarement malades, sont propres.
Cela fait donc longtemps que je ne les ai pas déculottées, ni pour les fesser, ni pour leur prendre la température ou leur administrer un lavement.
- Dis-moi Martine, ces derniers temps je te trouve un peu fatiguée,un peu pâlotte, que ressens-tu ?
Elle me regarde, aperçoit le thermomètre dans ma main, puis me réponds :
- c'est vrai que depuis que nous sommes à X..., je suis patraque ;
- nous allons voir ça, je vais tout d'abord te prendre la température, qu'en penses-tu ?
- il y a longtemps que tu ne me l'a pas fait...
Je relève sa jupette, baisse sa petite culotte à mi-cuisses, ce qu'elle me facilite en soulevant son petit derrière ;
- tourne-toi sur le côté ma chérie et replie tes jambes ;
qu'elle est belle ma petite fille ainsi disposée ; je vois sa lune ronde entrouverte sur un joli cratère fripé ; en dessous j'aperçois son abricot imberbe, joliment fendu et tout bombé.
Sur le bout de mon index, je dépose une goutte de salive, puis l'appuie doucement sur le petit trou pour le détendre et le lubrifier ; je sors le thermomètre de son étui, le secoue pour faire descendre le mercure, l'enduis de salive ; d'une main, j'accentue l'écartement des fesses, de l'autre j'introduit le bout argenté dans le derrière ; marquant une pose de quelques secondes, j'enfonces doucement l'instrument jusqu'à la moitié environ de sa longueur.
Martine pousse un soupir ; tout en maintenant le thermomètre, je dis :
- Bien, tu le conserves cinq minutes
- Oui maman, me répond-elle d'une voix oppressée.
J'ai toujours constaté que mes deux filles ne détestent pas se faire prendre la température, loin de là ; c'est pareil pour les lavements.